enfance

Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 08:47

 

La sexualité de la mère est souvent tabou, cachée, inexistante aux yeux de ses enfants. Pourtant cela n'a pas été le cas pour moi. Difficile de voir nos mères comme des femmes à part entière!

Pour la plupart d'entre nous, nous souhaiterions que celles qui ont bercés notre petite enfance, nous ont aimés, qui nous ont soutenus et aidés pour nous accompagner jusqu'à l'adolescence pour qu'enfin nous puissions prendre seuls notre envol, soient uniquement des "mamans".

Impossible souvent de les voir autrement que sur leur piédestal de mères aimantes.

Quand parfois certains de leurs comportements nous incitent à penser qu'elles ne sont pas uniquement cela et que nous nous rendons-compte, que pour d'autres hommes elles sont des objets de désirs, de fantasmes et qu'elles-mêmes peuvent avoir des pulsions et des plaisirs sexuels, nous préférons l'ignorer ou même le nier. Peut être est-ce trop difficile à admettre mentalement? Cela heurte notre subconscient qui a été tissé par notre amour d'enfant.

Je vais m'efforcer de faire abstraction de ces préjugés, et raconter la sexualité d'une mère, à travers mes souvenirs d'enfance et d'adolescence. Essayer de retransmettre les faits tels que je les ai perçus à ces moments là, en essayant de ne rien oublier ou dissimuler ni modifier et sans me permettre de juger qui que ce soit. Simplement dire la vérité, même si elle n'est pas toujours bonne et facile, à dire, pour comprendre les choses.

Les dialogues que j'ai voulu retranscrire ne sont certainement pas ceux qui ont été vraiment et exactement dits à ce moment là, mais j'ai essayé de les faire revivre au plus juste sans jamais en inventer ni dénaturer leur sens afin de produire un texte vivant pour la lecture et le moins ennuyeux possible.

 

-C., ma mère, avait 22 ans quand je suis arrivé dans son ventre: Elle m'a elle-même raconté que lorsqu'elle est allée faire sa dernière visite médicale, avant  l'accouchement, le gynécologue qui lui avait demandé de se déshabiller a été tellement subjugué par son corps qu'il l'a montré à toute son équipe médicale et sous toutes les coutures. Elle était très fière d'avoir été ainsi le centre d'intérêt et de se faire admirer par tous ces docteurs pendant un long moment.

-Je devais avoir juste 3 ans quand C. m'a donné ma première émotion sexuelle. J'étais dans sa chambre où les rideaux étaient tirés, certainement pendant une après-midi de sieste. Ma sœur était toute petite dans son berceau à côté du grand lit de mes parents. J'étais allongé, il faisait chaud. Ma mère était avec nous, en culotte et la poitrine nue. Elle chantonnait pour ma sœur qui pleurait. Puis elle prit le bébé avec elle dans ses bras et se mit à genoux face à moi. Je voyais ses longs poils noirs qui dépassaient de chaque coté de sa culotte tirebouchonnée et sur son ventre, au dessus de l'élastique. J'étais comme hypnotisé par cette image et je ne pouvais plus en détacher le regard jusqu'à ce que ma mère, qui s'était rendue-compte de ma curiosité, me dise en riant: "Qu'est-ce que tu regardes comme ça? Hein, mon petit vicieux chéri?"  

-Je n'étais probablement pas beaucoup plus âgé, quand une nuit, j'ai été réveillé par des bruits inhabituels. Je devais être dans un lit d'enfant à barreaux, tout près de mes parents qui couchaient dans leur grand lit juste à côté. Je ne dormais plus vraiment, mais je n'étais pas vraiment réveillé non plus. Il devait être très tard. Probablement venaient-ils de rentrer au petit matin, après une fête ou une sortie nocturne. Puis, il y eu encore des bruits. J'émergeais de nouveau à moitié de mon sommeil. Je les revois nus dans le lit tous les deux. Tout d'abord c'était la vision de mon père qui chevauchait ma mère qui était à genoux devant lui. Ensuite, celle de ma mère qui semblait assise ou accroupie sur mon père allongé. Plus tard, de nouveau réveillé par des bruits insolites, je vis mon père qui était allongé sur elle qui avaient les jambes largement ouvertes et repliées. Il lui donnait des gifles sur les joues tout en prononçant des mots que je ne comprenais pas vraiment. J'imagine aujourd'hui sans devoir beaucoup me tromper que cela devait être un genre d'insulte excitante du genre: "Tu aimes ça hein? C'est bon salope? ". Et ma mère paradoxalement, lui demandait de ne pas s'arrêter, mais au contraire lui répondait:" oui! Oui! Oui! De plus en plus fort, affirmant sa jouissance d'être à la fois possédée et en même temps d'être corrigée.

-Vers mes 5 ans, mon père était souvent absent de la maison. Parfois nous allions le rejoindre en fin de semaine près de son chantier et nous prenions le train. Il repeignait les pylônes métallique des voies ferrées SNCF. Nous dormions dans des pensions, c'était amusant car il y avait plein d'autres enfants avec qui nous pouvions jouer.

Parfois papa était absent tellement longtemps que je ne me rappelais presque plus de lui et quand je le revoyais pour quelques jours, j'étais très intimidé lorsque il me parlait ou voulait s'amuser avec moi. Quand les chantiers étaient trop éloignés pour aller le voir, nous restions à la maison, sans le voir.

Parfois, certains jours, un ami de maman venait la voir. C'était souvent le soir, ou parfois l'après midi. Maman faisait en sorte de nous coucher très vite, ma sœur et moi car l'homme le lui demandait. Il s'amusait avec elle en lui tapotant les fesses et en l'embrassant dans le cou. Je devais me dépêcher de finir de manger et d'aller aux toilettes pendant qu'elle changeait le bébé. Ces jours particuliers j'avais remarqué qu'elle prenait toujours une douche et mettait kimono avant que son ami arrive à la maison. Son prénom était Mario, mais elle ne l'appelait jamais devant moi et il ne m'a jamais adressé la parole directement. Ensuite, quelques temps après qu'elle nous ait couchés, elle venait voir si nous dormions. Parfois plusieurs fois de suite pour s'en assurer. Certaines fois je m'endormais très vite et d'autres fois je n'avais pas sommeil et je fermais seulement les yeux, faisant semblant de dormir. Lorsque je les entendais rire, je me relevais du lit, je soulevais un petit coin du double rideau de la porte vitrée qui donnait du couloir dans le salon et je regardais leurs ébats sexuels. Je ne me souviens pas avoir été choqué par ce que je voyais, certainement parce qu'à cet âge là, pour moi, ma mère ne faisait que s'amuser avec un homme, comme elle le faisait parfois, de la même façon avec un autre homme qui était mon père. Je pensais que c'étaient une sorte de jeu qui était réservé aux adultes et qui semblait beaucoup plaire à maman.

Malgré tout, je me doutais bien que je n'avais pas le droit de regarder et je me cachais pour le faire. J'aimais bien la regarder pendant leurs rapports sexuels, pour moi c'était spectacle dans lequel ma mère avait le premier rôle. Tout est resté gravé dans ma mémoire malgré mon jeune âge et le temps qui a passé depuis.

Quand j'arrivais à mon poste d'observation, la plupart du temps, elle avait déjà enlevé son kimono et elle était toute nue. J'étais bizarrement excité par la vue de ses petits seins pointus et le triangle de longs poils noirs au bas de son ventre. Souvent, c'était elle qui enlevait le pantalon de Mario et lui touchait le sexe et avait l'air de prendre un très grand plaisir à le prendre dans sa bouche. Parfois c'était lui qui posait sa bouche sous le triangle de son pubis. Maman avait l'air de beaucoup aimer ça, mais il ne le faisait pas souvent. Elle se plaçait parfois sur lui, comme je l'avais vu faire avec mon père. Plus rarement, c'était elle qui était en dessous avec les jambes ouvertes sur les épaules de l'homme. Parfois Mario lui demandait d'accepter de faire d'autres choses, que je ne comprenais pas trop au début, mais elle n'acceptait jamais tout de suite. Je me rappelle très bien qu'elle lui disait ces phrases: "non pas aujourd'hui", ou bien "je n'en ai pas envie maintenant, peut être tout à l'heure" et aussi "Tu sais bien que je n'arrive plus à me contrôler quand je le fais, j'ai peur de faire trop de bruit et de réveiller les enfants".

Quand elle refusait ainsi, il insistait beaucoup et lui faisait plein de câlins et de caresses.

Elle finissait toujours par céder à sa demande en disant à chaque fois quasiment les mêmes paroles, comme si cela avait été une sorte de rite pour elle: "Je le fais pour toi, tu sais, car tu es vraiment beaucoup trop gros pour moi," ou "Je suis d'accord, mais fais doucement s'il te plait au début", également  "Ne sois pas aussi brutal avec moi, je n'aime pas ça". Mario ne répondait jamais rien, il la regardait en jouant avec son sexe et elle finissait par se mettre à genoux sur le tapis juste devant  lui. Elle se tournait vers lui en ouvrant ses fesses avec ses mains. Aussitôt, je voyais qu'il la pénétrait avec son sexe par l'anus sans tenir compte des recommandations qu'elle avait faites juste quelques instants auparavant. Elle n'avait pas l'air d'être fâchée contre lui, au contraire, dès qu'il la sodomisait elle le suppliait de ne pas s'arrêter et de la prendre encore plus fort. Pendant ces moments là, je ne reconnaissais plus ma mère, surtout quand avant de jouir elle se parlait à elle même en disant qu'elle n'était qu'une salope, une enculée et une chienne et encore plein d'autres choses de ce genre difficiles à entendre pour mes oreilles d'enfant.

Très longtemps je n'ai pas compris son comportement ni le plaisir qu'elle prenait à subir ce qu'elle refusait quelques instants auparavant. Plus j'y pensais au cours de mon adolescence et moins j'arrivais à la comprendre. Pourquoi ne pas tout simplement dire "oui, j'aime ceci" et je le fais ou "non je n'aime pas ça" et il n'est pas question que je me prête à ça! Elle faisait tout à fait le contraire de qu'elle avait envie de faire. Mais peut être aussi jouait-elle à "faire semblant de ne pas avoir envie"? Il est certain que pour elle, c'était assez compliqué et difficile d'assumer les désirs qu'elle avait et qu'elle suscitait en se libérant complètement sexuellement (certainement à cause de l'éducation religieuse qu'elle avait reçu). Je pense qu'il lui était également impossible de pouvoir contrôler sa sexualité à cause de sa libido très exigeante.

Un jour, son ami Mario qui n'était pas venu depuis plusieurs semaines, (nous étions allés en vacances quelques temps chez mes grands parents) reparu à l'appartement. Je m'en doutais bien avant même de le voir, puisque ma mère cet fin d'après-midi là, avait remis son kimono. Je sentais qu'elle était particulièrement nerveuse parce qu'elle supportait mal toutes mes questions d'enfant et ce n'était pas son habitude. Elle me pressait d'aller au lit,  alors que généralement après avoir couché ma sœur, elle aimait bien me garder un petit moment avec elle pour jouer ou dessiner etc. Je partis donc au lit sans rien dire pour ne pas l'énerver d'avantage et fis semblant de dormir quand plus tard elle revint m'appeler doucement par l'entrebâillement de la porte. Ma petite sœur dormait depuis un bon moment déjà. Un bon moment après, j'étais presque endormi quand j'entendis des voix dans le salon. Je bondis du lit pour me poster derrière les rideaux et je m'aperçus que l'ami habituel était bien là, mais il y avait un autre homme qui était avec lui. J'entendis ma mère qui disait quelque chose comme "je l'ai couché, ne vous en faites pas il dort déjà depuis un moment". Je voyais qu'elle était encore très nerveuse, car elle allait et venait, passait de la cuisine au salon et parlait beaucoup en riant pour un rien. Je vis aussi qu'elle avait oublié de fermer complètement la ceinture de son kimono et qu'on voyait presque toute sa poitrine et qu'on apercevait par moment le noir de sa toison pubienne. Elle avait allumé une cigarette. Ils étaient assis tous les trois et avaient un verre devant eux. Mario se plaça à côté d'elle sur le bras du fauteuil et lui désigna l'autre homme que je trouvais vraiment vieux, (beaucoup plus que mon père en tous cas) assis en face d'eux et dit "alors? tu es d'accord ou pas? Décide-toi! Tu sais que je ne t'oblige pas et qu'on en a encore discuté la dernière fois! Oui ou non?" Ma mère répondis "oui je veux bien, mais toi, tu veux aussi? tu en es sur?". Mario dit "ce n'est pas vrai! oui j'en suis sur! Combien de fois devrais-je te le dire?" Puis il demanda à l'autre homme "Farid? Tu veux la voir maintenant? Alors demande le lui! Je t'ai expliqué comment elle aime qu'on fasse avec elle. L'autre répondit "d'accord j'ai compris" et s'adressant à maman il dit "Allez ma belle! Montre-moi ça!" Elle se leva, écrasa sa cigarette dans le cendrier et se mit au milieu de la pièce. Elle avait les joues rouges et respirait très vite. Elle ouvrit son kimono et le laissa glisser à ses pieds. Elle resta là, debout sans bouger, les bras ballants ne sachant plus trop quoi faire. Farid lui demanda de bouger un peu et elle le fit immédiatement. Elle tourna plusieurs fois sur elle même en levant les bras et on apercevait des poils noirs et fournis sous ses aisselle ainsi que son magnifique triangle si émouvant pour moi. Mario dit encore à Farid "Tu sais, je t'ai expliqué qu'elle adore être commandée et mise devant le fait accompli. Même si elle dit non d'emblée, il ne faut pas l'écouter. N'est-ce pas ma chérie?" Ma mère dit "tu exagères un peu! Je sais dire non aussi parfois! Même si je reconnais que j'ai parfois du mal à prendre des initiatives" L'homme lui demanda quel âge elle avait. Elle répondit quelle avait bientôt 28 ans. Il dit "Tu pourrais largement être ma fille, ça ne te gêne pas? Est-ce qu'il y a des pratiques ou des tabous pour toi? Des choses que tu ne veux absolument pas aborder dans le sexe?". Elle réfléchit un peu répondit que non, elle n'avait pas vraiment de tabous, mais qu'en fin de compte elle n'était pas très compliquée. Que son âge ne la gênait pas et qu'elle avait eu des relations sexuelles avant d'être mariée avec des hommes plus âgés que lui.

Mario dit en souriant :"Tu sais Farid, on ne le croirait pas, à la voir comme ça, avec ses petits seins de pucelle, mais elle a déjà deux gosses! Et je peux te dire que ce qu'elle apprécie particulièrement ce n'est pas les petits formats. Recto-verso de préférence! Mais jamais elle ne l'avouera! N'est-ce pas petite cochonne?". Elle ne répondit rien, s'assit sur l'accoudoir du fauteuil, alluma une autre cigarette, sans paraitre se soucier de la vue que pouvaient procurer ses jambes largement ouvertes.

Farid dit "A ce moment là Mario leva la main et dit: "Vous entendez?"; Maman se leva précipitamment et remit son kimono très vite. On sonna à la porte. Elle fit signe aux deux hommes de se taire et de s'asseoir tranquillement. Elle passa sa main dans ses cheveux, serra la ceinture de sa robe de chambre et ouvrit. J'entendis une voix féminine, mais je ne voyais pas qui c'était. Je pris peur et retournais à toutes jambes dans mon lit. Tout essoufflé et la tête farcie des dialogues et des scènes auxquelles je venais d'assister. Je ne comprenais pas le comportement de ma mère, surtout avec un homme qu'elle ne connaissait pas.  Je ne comprenais pas non plus tout ce qui avait été dit et quelle était la finalité de ces choses. Je les acceptais sans trop me poser de questions malgré tout: C'était des histoires d'adultes. Souvent, on me répondait à toutes les questions que je posais sur tout et n'importe quoi: "Tu verras bien quand tu seras plus grand! Donc j'appliquais cette méthode, ça me permettait aussi je pense de calmer mes angoisses d'enfant sans trop chercher d'explications aux questions restées sans réponses.

Je n'ai jamais su pour quelle raison Mario avait amené Farid à la maison. Je me pose encore cette question parfois, bien que j'ai quelques idées sur la question.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, maman avait des cernes énormes. Je lui ai dit que je n'aimais pas le vieux monsieur qui était venu avec Mario. Elle failli s'étouffer en entendant ma phrase d'enfant. Elle dit" Comment tu sais ça toi?" J'ai bafouillé un peu et j'ai répondu que j'avais entendu la sonnette et que je m'étais levé. Elle m'interrogea le visage blême: "Après que Mireille (notre voisine qui gardait ma sœur parfois) soit repartie, tu es resté à regarder encore longtemps?" Je répondis que non, pas trop et que j'étais reparti ensuite dans mon lit. Ma réponse ne sembla pas la rassurer, même si elle sourit de nouveau, égale à elle-même.

Jamais plus des amis ne sont venus lui rendre-visite dans cet appartement.

Quelques mois plus tard mon père  trouvait un autre emploi dans son vrai métier, le dessin industriel et nous avons quitté Paris pour la Seine et Marne. Il rentrait chaque jour à la maison et la vie était devenue beaucoup moins angoissante. Un an plus tard mon frère naissait, j'avais 7 ans.

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 08:09

J'avais 10 ans, presque 11, et j'étais en vacances au village de mon enfance, celui de mes grands parents. Mon cousin F. qui devait avoir 14 ou 15 ans, un grand brun avec un semblant de moustache qu'il n'avait jamais encore rasé, s'arrêtait de temps en temps nous voir quand il passait avec son vélo. Il venait de la région parisienne et était en vacances avec ses parents qui possédaient une petite maison au village, héritée de leurs parents.

Un jour, ma grand mère demanda à F. si ça ne le dérangerait pas de venir me chercher de temps en temps  pour s'amuser avec moi, faire du vélo avec lui. Elle avait besoin d'un peu de temps libre pour effectuer ses taches ménagères et s'occuper de ses poules lapins etc..

Un après midi, F. venait me chercher pour partir avec lui et rejoindre les autres enfants du village. Grâce à ses idées et son expérience, nous faisions un tas de jeu très amusants qu'il organisait. Jeux de balles, de raquettes, de cartes, avec des voitures ou des coureurs miniatures, et très souvent avec nos vélos. Le point commun de tous ces jeux c'est qu'il y a la plupart du temps un challenge à accomplir ou bien des gages pour le perdant. C'était unanime, tous les jeunes raffolaient de ça!

Un jour, il pleuvait, comme on ne pouvait pas jouer dehors F. m'emmena chez ses parents qui étaient absents. On joua aux cartes, au "pouilleux". Il avait établi un principe personnel au jeu: Celui qui perdait devait enlever un vêtement. Il tira les rideaux de la pièce et le jeu commença en faisant promettre de ne jamais parler de tous cela à qui que se soit. Je promis.

Très rapidement, comme je perdais presque à chaque fois, je me suis retrouvé avec pour tout vêtement qu' un seul t shirt. J'avais remarqué, malgré mon jeune âge que F. trichait souvent, à son avantage pour me faire déshabiller. Quand je n'eut plus rien sur le dos (lui était encore en slip et chemise) il me dit de me rhabiller pour aller finir le jeu ailleurs. On se rendit dans une grange par une échelle et on se retrouva dans le foin et la paille. Je du me remettre tout nu et lui se remit en slip. Là il me montra la manière de glisser sur la paille comme sur un toboggan, de sauter du haut des meules de foin en faisant des cabrioles et des roulades,

Bizarrement, je ne suis pas du tout gêné d'être nu devant lui, moi qui était suis pourtant très timide. C'est même paradoxalement le contraire, je suis très content de pouvoir m'exhiber ainsi devant mon cousin parce qu'il me regarde avec intérêt, je suppose. Une fois bien essoufflés, il décide de reprendre jeu de cartes là ou on l'avait laissé. Complètement nu et continuant à perdre au jeu de cartes, F. décide d'autres gages. Je dois monter sur le tas de paille en écartant les jambes avec les mains sur les hanches, me mettre à quatre pattes les fesses tournées vers lui, écarter les fesses avec mes mains le plus possible, me coucher sur le dos face à lui en tenant mes talons avec mes mains le plus haut possible etc. J'exécute mes gages et tout ce qu'il continue à me demander de faire sans rechigner, prenant goût au challenge. 

Tout à coup je m'aperçois qu'il remarque que je suis en érection. Il se met debout et s'approche de moi et enlève son slip. Je remarque son sexe beaucoup plus imposant que le mien et aussi les poils sur le pubis que je n'ai pas. Je remarque également que son sexe est très raide, arqué, avec le bout décalotté . A partir de cet instant là je dois avouer que cela me met dans un état d'excitation inconnu jusqu'à présent. Je commence à avoir le cœur qui bat dans ma poitrine, les mains moites et je n'arrive pas à détacher les yeux de son sexe.

Il le remarque certainement, car je suis haletant et j'ai les joues en feu. Immédiatement il m'explique comment je dois lui faire une fellation avec ses mots d'adolescent. Je refuse dans un premier temps, par amour propre, prétextant que c'est sale. Il réplique qu'il a pris une douche le matin même qu'il est donc parfaitement propre et qu'il va d'abord me le faire et qu'ensuite ce sera mon tour. Je ne résiste pas très longtemps à ses arguments, (l'honneur étant sauf) j'accepte. Je suis debout, il me tient par les hanches et pince mon sexe du bout des lèvres. C'est chaud et doux, mais ça ne dure que quelques instants.

" A ton tour maintenant!" dit-il. Je remarque qu'il est très rouge, qu'il a très chaud. Il s'allonge en se tripotant sans arrêt. Je m'agenouille à ses côtés et commence à prendre son sexe dans ma bouche. Pui je me positionne comme il veut, accroupi au dessus de lui en tenant son sexe avec ma main. Il me touche entre les fesses faire le mieux possible. Je suis très maladroit et il me conseille sans cesse sur la façon de faire avec ma bouche, avec ma langue et de le masturber en même temps. Je lui donne satisfaction et ça dure pendant un bon moment jusqu'à ce qu'il me dise d'arrêter.

 

Aujourd'hui, longtemps après cette journée, dont je me rappelle les moindres détails tant ils m'ont marqués, pour la première fois de ma vie j'ose dire que j'ai aimé ça dès la première fois.

Ce n'est pas  facile pour moi de le révéler même après tant d'années. Encore aujourd'hui j'ai du mal à me l'avouer à moi-même, à l'assumer et surtout à le mettre noir sur blanc et de le confier à celles (ou ceux) liront ce texte. Mais en même temps je dois avouer c'est aussi très jouissif.

 

Avant de se séparer cet après midi là, F. me dit qu'il avait beaucoup aimé ce que je lui avait fait. Il me demanda si moi j'avais apprécié. Je ne voulus pas lui répondre.

Il me fit jurer à nouveau que je garderai tout ça pour moi, comme un secret entre nous deux, que ça ne regardait personne d'autre et que si j'en parlais, de toutes façons ça se retournerait contre moi, car tout le monde se moquerait de moi. Je lui promis encore une fois le silence.

Pendant le reste des vacances j'ai souvent eu l'occasion de retrouver F. Nous avons plusieurs recommencé ces "jeux interdits", mais cette fois il n'y avait plus besoin de gages. Quand nous nous retrouvions seul chez lui ou dans une grange, la cave chez mes grands parents, une cabane de jardin, un chemin ou une haie discrète; je lui faisais une fellation. Il me demandait la plupart du temps (quand nous nous sentions en parfaite sécurité)  d'enlever mon short et mon slip, il me masturbait un peu jusqu'à ce que j'atteigne l'érection. Il me caressait les fesses et parfois me mettais les doigts dans l'anus. Ensuite il me demandait de prendre son sexe dans ma bouche. Je le faisaiss toujours avec plaisir. Jamais il ne m'a obligé ou menacé de quoi que ce soit. Je dois encore une fois admettre que je le faisais parce que j'aimais ça, ça me plaisait, ça m'excitait.

Depuis ces jeux sexuels, j'avais commencé à me masturber régulièrement, presque chaque soir dans mon lit et pour augmenter mon excitation je repensais à son sexe dans ma bouche, au plaisir que je donnais à F. et très souvent je me doigtais l'anus, comme il me le faisait.

On avait convenu d'un code tous les deux pour dire qu'il venait me chercher pour une fellation: Il disait "tu viens jouer au black man?" Je ne savais pas pourquoi il avait choisi cette phrase mais c'était un petit secret de plus entre nous et je m'y conformais. Une fois, alors qu'il n'était pas venu me voir depuis plusieurs jours, c'est moi qui étais aller frapper chez ses parents en disant fièrement: "j'ai envie de jouer à black man!" Je crois qu'il avait été très étonné de mon comportement.

Un jour ma grand mère (qui ne parlait pas l'anglais évidemment) a fait ce commentaire en entendant encore une fois cette phrase: "Aujourd'hui vous préférez donc les jeux étrangers? " Et comment! ma chère mémé!

Un jour, nous roulions à vélo dans les chemins. Il faisait très beau. F. s'arrêta dans un pré ou il y avait un talus. F. Il me demanda de me cacher derrière et d'enlever mon short et mon slip, ce que je fis. J'avais l'habitude. Il commença à me tripoter et me masturber doucement. Il introduit ses doigts dans mon anus après les avoir mouillés de sa salive. Il enleva lui aussi son pantalon et baissa son slip. Il était en érection. Les joues en feu je commençais déjà à faire un geste vers lui quand il me fit un signe négatif et me dit  de me retourner et de me coucher sur le talus. J'étais presque à 45°. Il écarta mes jambes, me plia un peu les genoux et il s'allongea sur moi. Je sentais très bien son gland contre mon anus, mais il n'alla pas jusqu'au bout des choses, il ne me pénétra pas. Aujourd'hui encore je ne sais pas pourquoi il ne l'a pas fait, car s'il m'avait pénétré de toutes façons je n'aurais pas protesté et je pense qu'il le savait. Peut être avait-il peur de passer à l'acte complètement? Peut être ne voulait il pas "m'abimer"? Avait -il peur que j'en parle un jour à quelqu'un? Aujourd'hui encore je ne le sais vraiment pas.

Puis il se releva sans rien dire, juste en me donnant une tape sur les fesses et en souriant sans que je comprenne pourquoi.

 

C'était la dernière journée de vacances en sa compagnie. Le lendemain, avec ses parents ils avaient quittés le village un peu à l'improviste.

 Je demandais à Thierry le meilleur camarade de mon âge de l'époque, s'il savait pourquoi F. était parti. Il me répondit que des gens disaient qu'il s'amusait souvent avec les enfants à de drôles de jeux. Que c'était pour ça que ses parents ne voulaient plus rester au village. Etonné, je lui demandais avec quels gamins? Thierry me dit qu'un jour F. avait voulu le faire déshabiller et qu'il avait refusé, mais que beaucoup d'autres avaient bien voulu avec des gages. Certains enfants en avaient parlé. Il ne savait rien d'autre.

Je n'arrivais pas très bien à dormir pendant quelques jours, car j'avais peur qu'avant de partir, les adultes aient fait parler mon cousin F.

Pour m'occuper et penser à autre chose, j'allais m'amuser avec trois filles d'une famille que mes grands parents connaissaient bien. Ces filles et leurs parents avaient quittés la région parisienne pour s'installer définitivement au village. Je trouvais l'aînée C. particulièrement jolie. Elle avait 2 ans de plus que moi et j'avais tout de suite remarqué ses petits seins qui pointaient sous son maillot. Mais c'était plutôt avec M. une de ses sœurs  jumelles, (de 2 ans de moins que moi) que j'avais le plus la côte. Elle avait confié à mon copain Thierry que j'étais "trop petit" pour intéresser C. sa sœur aînée.

Néanmoins, les jeux interdits avec les garçons étaient terminés pour moi et je me disais qu'il y avait peut être d'autres jeux interdits (mais un peu moins) à faire avec ces filles!

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 08:50

Ma première émotion sexuelle, la première dont  je me rappelle, en tous cas, m'a été donnée par ma mère. Je devais avoir 3 ans 1/2 environ, puisque ma sœur était bébé et nous étions dans la chambre de maman. Ma sœur était dans son berceau, il faisait chaud et nous étions là pour faire la sieste, il me semble. J'étais couché en slip, sur le lit de mes parents et ma mère elle aussi ne portait qu'une culotte. Nous nous reposions dans la pénombre, rideaux tirés. A un moment, maman s'est levée pour prendre le bébé qui pleurait pour la coucher avec nous. Elle lui parlait, essayait de la calmer tout en étant à genoux. Tout cela a du me faire sortir un peu de ma torpeur et d'un œil, je les regardais toutes les deux s'agiter. Maman tout bas disait: Chut mon bébé, tu vas déranger ton grand frère! Moi, pas vraiment réveillé, mais malgré tout conscient,  je ne bougeais pas, ce qui ne m'empêchait pas de voir .

Je fixais sa toison pubienne de poils noirs qui s'échappait de sa culotte blanche sans élastique et  tirebouchonnée, au niveau des aines et sur le ventre.

Je ne me souviens pas si ce jour là j'ai eu une érection, je ne le crois pas... Mais c'était malgré tout c'était une grande émotion sexuelle.

 

La seconde expérience (plus qu'émotion) m'a été donnée un peu plus tard par une gamine, une voisine, chez mes grands-parents avec qui je m'amusais. Nous jouions à la dinette je crois et aussi au papa et à la maman. Dans l'atelier de son grand- père, tout à coup elle baissa son slip et me montra son sexe et me demanda de "faire voir" le mien. Je baissais le mien immédiatement. Je l'examinai de près sous toutes les coutures et elle fit la même chose avec moi. Elle s'appelait Eliane. Je ne me souviens pas que nous ayons été plus loin, mais la scène s'est reproduite souvent, à chaque fois pratiquement que nous jouions ensemble. Plus tard alors que je venais de me marier pour la première fois, nous nous trouvions chez ma grand mère et Eliane qui se trouvait chez la sienne vint me rendre visite. Nous étions très contents de nous revoir depuis toutes ces années.

Elle a eue une phrase ambigüe que j'ai gardé en mémoire: "Tu te souviens comme on s'amusait bien tous les deux quand nous étions petits? J'ai adoré nos jeux et après tout ce temps passé j'y pense encore très souvent et toujours  avec énormément de plaisir" .

Elle dit ça en me regardant d'un air amusé et taquin, car ma jeune femme était là et entendait ce qu'elle disait sans en comprendre le sens exact naturellement. J'en suis resté sans voix et c'est quand elle a prononcé cette phrase que le détail des jeux que nous faisions m'est revenu soudain en mémoire. Elle était devenu une très belle femme rousse aux yeux verts que j'ai trouvé particulièrement intelligente et sensible. J'ai fini par répondre en la regardant dans les yeux: "oui moi aussi je me souviens et qu'est-ce que j'aimais aller jouer chez ta grand-mère,  avec toi à l'époque! On ne devrait pas grandir trop vite".

 

Ensuite vers 10 ans j'ai eu des plaisirs secrets avec ma cousine C. (qui avait un an de plus que moi) et était venue avec nous en vacances avec nous (mes parents, ma sœur M. et mon petit frère qui venait de naitre) dans une petite maison inoccupée qui appartenait à la famille. C'était un tout petit village du Berry. Pour descendre à la rivière qui se trouvait tout près il fallait prendre un chemin creux qui serpentait dans les rochers. On habitait en région parisienne à cette époque et pour nous cet endroit était presque le paradis, petits et grands. Mon père passait ses journée à la pêche et maman tachait de nous occuper avec des jeux et nous emmenait chaque après-midi nous baigner à la rivière.

La maison était petite, il y avait une cheminée qui sentait la suie dans laquelle parfois nous faisions des gaufres, surtout quand le temps était à la pluie. Il y avait deux chambres, un petit cabinet de toilette et la pièce principale avec la cheminée. Mes parents et le bébé occupaient la première et ma cousine, ma sœur et moi étions dans l'autre. Avec C. nous dormions dans l'ancien lit bateau, très haut, pas très large, je me souviens et ma sœur dans un petit lit à côté de nous.

Une nuit alors que je dormais C. me tira et me fit signe d'écouter et mit son doigt devant sa bouche. J'entendis comme quelqu'un qui gémissait et également les ressorts du lit qui grinçaient dans la chambre d'à côté. Elle vint près de moi et mit sa bouche contre mon oreille et chuchota: "Je crois que ton père et ta mère font l'amour, tu entends?" Je répondis aussi doucement que possible à son oreille: "Comment tu le sais?" (je savais à peu près cette signification sans vraiment connaitre aucun détail) Elle chuchota de nouveau: "J'ai déjà vu papa et maman le faire, un après-midi chez moi, ne bouge pas je vais aller voir." Elle descendit du lit et à 4 pattes elle se dirigea vers l'autre chambre tout doucement. Me redressant sur un coude je la distinguais à peine car il faisait très sombre , je vis quand même qu'elle me refit encore le signe de me taire et j'obéis et me rallongeais.

Un bon moment après elle remonta dans le lit. On entendait toujours le bruit du sommier et les cris étouffés de ma mère. Elle me dit à l'oreille "ils sont tout nus sur le lit et ta mère est assise sur ton père à quatre pattes. " Elle rajouta "je crois qu'ils le font, mais pas pareil que mon père et ma mère. Eux  c'était mon père qui était sur ma mère"

Je ne savais plus trop quoi dire." Pourquoi maman avait elle ces gémissements? Mon père lui faisait peut être mal en lui mettant son sexe entre les fesses, comme le décrivait C.?"

C. se rapprocha de moi et me demanda si je l'avais déjà fait?

Je lui répondis que non (question idiote je trouvais!) Elle me dit: Moi je l'ai déjà fait avec deux garçons. Tu veux que je te montre? Je ne répondis rien. Elle enleva sa chemise de nuit et baissa le bas de mon pyjama et saisit mon sexe qu'elle commença à tripoter , puis elle prit une de mes mains et me la mit sur sa vulve et me l'appuya très fort dessus, me montrant ce qu'elle voulait pendant un quelques instants. Elle n'avait qu'un peu de poils au pubis et pas de poitrine du tout . Je la frottais, en appuyant comme elle voulait. Ensuite elle me dit "nique moi" et elle se mit en dessous de moi en écartant les jambes. Elle frottait son ventre et son sexe contre les miens mais je ne la pénétrais pas. Je ne pense pas qu'elle savait vraiment comment le faire; pas plus que moi. Quand j'y pense aujourd'hui, je me dis que les deux garçons n'avaient certainement pas été plus loin non plus....

Par la suite cet été là, nous avons recommencé plusieurs fois nos jeux, pendant les nuits quand tout le monde dormait mais aussi parfois la journée, dans des endroits isolés, lorsque nous nous retrouvions seuls. Jamais nous n'avons été plus loin que ces simulacres de coït copiés sur les grandes personnes.

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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