Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 15:11

clau01

Mars 1965, j’ai presque 13 ans et mon père est parti au Maroc pour le travail. On lui a fait un contrat dans une société minière qui exploite le phosphate. Maman est restée seule avec nous trois: Moi, ma sœur et mon frère, dans une maison louée près de Sèvres en région parisienne. Nous attendons quelques mois qu'il ait  fini sa période d'essai; ensuite il trouvera un logement et nous pourrons enfin le rejoindre. Depuis les fêtes de fin d'année, mon petit frère E. est chez mes grands parents et ma sœur M. chez sa marraine et son parrain, car maman a du se remettre à travailler dans une usine de cellophane depuis que papa est parti en début d'année. Elle a pas mal de problèmes financiers, car il est difficile d'envoyer de l'argent du Maroc, ce qu'il n'a su qu'une fois sur place. Maman m'a gardé avec elle, car je suis au collège et elle fait en sorte de perturber ma vie le moins possible en ne changeant pas trop mes habitudes d'adolescent. J'essaie d'être autonome et j'aide maman comme je le peux en m'occupant de ma chambre, mettant le couvert, faisant la vaisselle et parfois également quelques courses. Je suis content  de pouvoir continuer à faire de la gymnastique et du tennis les après-midi avec un copain dont le père est prof de sport. Un de ces jours là, c'était un jeudi, il y avait eu un problème de sécurité dans le gymnase à cause du chauffage, si j'ai bon souvenirs et je suis rentré directement à la maison juste après le repas de midi que je prenais à la cantine du collège.

Le père de mon copain me déposa à la maison. A cette heure-ci, maman n’était pas encore rentrée de son travail, mais j’avais ma clé. Je pris un bain bien chaud car j’avais des frissons par ce temps gris et glacé d'hiver. L’eau du bain me réchauffa. J’enfilais ma robe de chambre, de grosses chaussettes et j'allais dans la chambre de maman pour fouiner un peu partout à la recherche de "choses secrètes". J'adorais car ça m'excitait beaucoup depuis qu'une quinzaine de jours auparavant, par hasard, j'avais eu la surprise de m'apercevoir que dans un placard, le cadenas à chiffres qui fermait une malle métallique était resté ouvert. Depuis, dès que j'en avais l'occasion, connaissant les numéros, j'ouvrais la cantine et je passais mon temps à en faire l'inventaire. Elle contenait tout un tas d'objets personnels qui appartenaient à mon père, des actes de notaires et des vieux titres de propriété auxquelles je ne comprenais rien. Mais ce qui m'intéressais le plus dans tout cela, je dois l'avouer, c'était plusieurs dizaines de photos de ma mère nue ou à moitié dénudée. Sur certains clichés elle était très jeune, pas plus de 15 ou 16 ans. Pour la plupart elles étaient d'un assez grand format et en noir et blanc sauf quelques unes parmi les plus récentes qui étaient en couleur. Sur ces photographies, on pouvait voir ma mère poser dans toutes les positions, des plus soft aux plus osées. Certaines avaient été prises en extérieur mais pour la plupart c'était certainement des clichés de professionnels réalisés en studio . Dans la malle il y avait aussi toute une collection de godemichets de toutes les formes et de toutes les tailles (c'était la première fois que j'en voyais car je ne savais même pas que ça existait, ni comment ça s'appelait, mais vu certaines photos, je n'avais pas de doutes quant à leur usage... ) et aussi des piles de magazines pornographiques. Sur certains exemplaires qui étaient des sortes de romans photos, comme cela se faisait beaucoup à cette époque, je reconnus ma mère. Je remarquais très vite qu'elle n'avait jamais les 1ers rôles dans les scénarios classiques, mais que par contre, dans certains magazines qui montraient des scènes beaucoup plus trash, elle faisait souvent partie des "actrices" les plus représentées.

J'étais donc en train de consulter  mes découvertes quand tout à coup j'entendis le crissement des pneus d'une voiture sur le gravier dans la cour. Je paniquais un peu, mais j'arrivais malgré tout à ranger du mieux possible tout ce que j'avais sorti de la malle et je la remis dans le placard à sa place. Je retournais très vite dans ma chambre et regardais à l'extérieur de la maison. C'était la voiture de maman et aussi un autre véhicule. Vite, je m'allongeais sur mon lit, me demandant qui cela pouvait bien être et pour quelle raison maman inattendue ma mère rentrait si tôt car il n’était même pas 14h ! En plus elle n’était pas seule. J'entendis qu'elle tournait la clé dans la serrure et ensuite qu'elle parlait au chien pendant quelques instants puis elle l’enferma au garage et de retour dans la pièce dit « Voila, je suis à votre disposition… ».

Je sors de ma chambre en glissant à plat ventre sur le parquet et du haut de la mezzanine je jette un coup d’œil à travers la balustrade, dans le salon-salle à manger juste en dessous.

Maman est assise sur le canapé et il y a trois hommes debout près d’elle. Elle porte encore son manteau et a les jambes croisées et on voit  le haut de ses cuisses.

Un homme d’environ 55-60 ans, petit, avec une moustache, se trouve de l’autre côté de la table basse, face à elle sur un fauteuil. Deux autres hommes plus jeunes sont un peu en retrait: L'un très mat de peau, d’environ 45 ans, typé maghrébin, athlétique et un autre plus jeune, environ 25 ans qui est blond, mince.

Le plus âgé demande aux deux autres d’installer une grosse caméra sur son trépied et un système d’éclairage, une sorte de parapluie et de tirer les rideaux de la pièce.

Ma mère interpelle le plus âgé : « Je n'avais pas compris pas que vous deviez filmer dès aujourd’hui ! Ce n’était pas précisé ! Sinon je me serais déplacée» L'homme plus âgé répond « C'est toujours comme ça, il est exigé que tous les entretiens des castings soient filmés. D’ailleurs je vais vous demander de lire ce contrat que j’ai apporté et de le signer si vous êtes toujours d’accord».

Je vois maman tendre la main pour saisir les feuillets et commencer à lire avec attention. Au bout de quelques longues minutes Elle dit « C’est d’accord mais juste une précision : Vous avez les droits de diffusion intégrale des images qui vont être tournées maintenant? » L’homme à la moustache répondit affirmativement « Oui les images appartiennent à la société de diffusion, mais elles ne pourront être diffusées qu'avec votre accord après avoir touché le cachet quand vous aurez tourné. Auparavant il faut que votre candidature soit retenue suite au casting d'aujourd'hui».

A seulement à cet instant que je finis par comprendre ce que ma mère fait là avec ces hommes et ce que le mot casting doit vouloir signifier. Elle veut tourner un film porno et ils sont ici pour la tester en quelques sortes.

Je ressens des frissons d’excitation dans tout le corps, mais en même temps un sentiment de honte vis-à-vis de ma mère m'envahit. Je suis médusé et je continue à regarder intensément la scène qui se déroule juste en dessous de moi.

L’homme à moustache dit « appelles-moi Henry et voila Kader et Franck. Toi c’est C. c’est ça ? (je remarque qu’il la tutoie maintenant…) Attend, je regarde un instant le dossier… Tu es plus branchée genre soumission et humiliation d’après le questionnaire que tu nous as renvoyé, pas trop maso…Tu n’as mis aucune restriction stricte par rapport aux scènes que tu ne souhaites pas tourner ? C'est toujours d'actualité, on est d’accord ? Tu as lu et signé le contrat, et je vais te faire un premier chèque comme cela était prévu. C'est d'accord? »

Ma mère lui réplique que c’était bien clair pour elle, qu'elle s’était déjà engagée par écrit, avec la personne de la société  qu’elle avait rencontrée initialement pour faire ce casting et qu’elle avait accepté en connaissance de cause l'option la mieux rémunérée qui était celle de tourner les scènes pornos qu’on devait choisir pour elle, et elle ne comprenait pas pourquoi on lui posait encore toutes ces questions maintenant.

Henry : « C'était seulement pour que tout soit clair. Nous allons commencer! Dans un premier temps, je te le rappelle, je te pose des questions auxquelles je te demanderai de répondre en toute sincérité. Si tu ne te tiens pas à la stricte vérité, tu risques au bout d'un moment de dire n’importe quoi et on sera obligés de tout reprendre, ce que je ne souhaite pas du tout !

Pour ce qui est du tournage ensuite, je compte sur toi pour faire de ton mieux car je le but c'est de te pousser le plus possible dans tes retranchements... Voir ce dont tu es capable pour être tout à fait clair.

Maman que je sens un peu agacée dit qu'elle est bien consciente de la situation et qu'elle l'a compris.

Henry : Tu es sur qu’on ne sera pas dérangés ?»

Maman : « On ne sera pas dérangés, en ce moment je suis seule avec mon fils . Il ne rentrera pas avant 18h30. »

Henry : « Ne réfléchis pas trop à ce que doit être la bonne réponse, mais soit sincère. C'est ce qu'on attend! Ok ? Ne cherche surtout  pas à te mettre en valeur»

H : « Franck ! Moteur  caméra ! Tu as quel âge ? »- 36 ans

« Tu es mariée depuis quand? » - Depuis 14 ans.

« Pas d'amant? » -Des aventures, mais rien de vraiment suivi.

« Tu n’as qu’un garçon? Quel âge ? » -Il a 13 ans mais j'ai deux autres enfants un garçon et une fille, plus jeunes qui ne sont pas avec moi pour l'instant.

 « Ta fille te ressemble physiquement ?" -Non pas du tout ! Moi comme vous le voyez je suis très brune et M. ressemble à son père, qui est châtain-roux.

(Maman est une femme encore séduisante même si elle n'est plus vraiment mince depuis sa dernière grossesse, très brune, les cheveux épais, coupés courts. Elle a les yeux marrons foncés, elle n'est  pas très grande, et une assez petite poitrine).

« Justement on va voir un peu à quoi tu ressembles ! Enlève ton manteau et ta robe ! Tu portes quoi dessous? Juste un porte-jarretelle et un soutif! Quelle chatte dis donc ! Tu ne te rases pas? C'est pour cacher la cicatrice de la césarienne?» -Oui, c'était à mon dernier accouchement je laisse pousser naturel depuis.

« Egalement pour faire plaisir à tes mecs ? - Tu trouves que ça fait plus cochonne?" - Peut être parce que j’aime bien comme ça.

« Ah bon ça te plait de faire la cochonne ?  Remarque je m’en doutais un peu quand même ! Enlève tout ! » (J’aperçois ma mère qui enlève rapidement ses bas et les portes jarretelles et qui se rassoit sur le canapé.)

« Ton soutif aussi. Tu ne veux pas nous montrer tes nichons ? » Elle enlève son soutien gorge sans répondre, ses seins sont assez petits et tombants.

C.096

« Pas mal, après trois grossesses! Ecarte bien les cuisses et montre nous ta chatte! "Tourne-toi maintenant. Montre bien ton cul. Pas mal non plus! Super poilue dis donc! Tu pratiques la sodomie ?" - Oui, ça m'arrive.

Il fait signe d'arrêter la caméra.

Il s'approche de maman et dit   «Je te rappelle que tu es censée jouer ton propre rôle dans le film et ce qu'on attend de voir, tu n'es pas une jeune pucelle dans le film, mais une mère de famille arrivant à la quarantaine qui a envie de se faire défoncer car elle est en manque. Alors ouvres ta chatte et fais en sorte qu'elle le soit toujours devant la caméra.

Elle répond qu'elle a compris et que c'est d'accord.

Henry fait signe au cameraman de reprendre.

 « Tu as commencé à te masturber à quel âge? Comment tu as commencé? Avec des copines? » - Vers 10 ou 11 ans, J'ai découvert que ma mère le faisait et j'ai fini par faire la même chose!

"Tu l'as surprise ou elle ne savait pas que tu la matais? -Je l'espionnais dans sa chambre ou dans la salle de bain, elle ne s'en ai jamais rendu-compte.

"Parce que c'est arrivé plusieurs fois? -Oui pas mal de fois.

« Et les godes ? » - J’ai commencé à l’adolescence, vers 14 ans mais pas avec des vrais godes, c’étaient des flacons de toilette, des bouteilles, parfois d'autres chose. C'est mon premier amant qui m'a acheté mon premier gode.

« C’est quoi le plus gros que tu te sois mis? Quel diamètre ? » - Je n'ai jamais vraiment mesuré Un gros gode qui fait environ 7 ou 8cm je crois.

« Ca remplit bien la chatte dis-donc 7cm ! Et sinon le plus gros autre chose que des godes ?"     -Avec des tubes pour les balles tennis et de base-ball.

«Je vois ! Tu dois accepter la fist-fucking? Et par le cul? tu te godes aussi avec? »

(je suis vraiment très excité de l’entendre répondre à toutes ces questions. Mais je me dis qu’y répondre soi-même doit être un plaisir beaucoup plus  fort).

- Oui je me gode aussi par derrière avec de gros godes, mais pas très souvent,  la plupart du temps  je me sers de  godes  réalistes.

Mets toi allongée sur le tapis, Kader, vire-moi la table et ces chaises. Ensuite tu lui mets les pinces à seins, (Kader avec Franck poussent tous les meubles du tapis et ma mère s’allonge sur le dos au milieu de la pièce, ensuite Kader prend deux grosses pinces à boules métalliques qu’il lui accroche sur les tétons. Elle gémit assez fort).

 « Tu mouilles non ? » -Oui mais ça fait mal !

« Tu vas t’habituer t’inquiètes ! Ouvre bien ta chatte ! »

« Tu as déjà baisé à plusieurs je suppose ? » - Oui.

« Double pénétration ? Détailles-moi » - Oui. Je fais les doubles pénétrations.

« Je te dis de préciser ! » - Double vaginale et double pénétration  vagino- anale

« Pas de double anale? " - Si, mais sSeulement quelques fois.

« Mais pourquoi tu le dis pas tout de suite? Tu as encore des réticences? J’aurais plus vite fait de te demander ce que tu ne fais pas ! On gagnerait du temps je crois !

« La fellation tu pratiques bien sur ? Remarque toutes les femmes le font ! Mais est-ce que tu avales ? » - Non je n’avale pas ! De toutes façons il y a des préservatifs non ?

« Si tu avais bien lu les clauses tu aurais du voir que pour les pipes c’était sans capote ! » - De toutes façons je n'avale pas.

« Mets-toi à genoux, Kader mets-toi derrière et tu la pénètres quand je te le dis Ok ? C., écarte bien les cuisses et ta chatte.

« Et ton fils? Je suis certain que tu dois l’avoir sucé quand il était plus jeune! Toutes les femmes de ton genre le font ! Kader encule là! (Je vois Kader derrière elle qui lui passe son sexe plusieurs fois entre les fesses et qui s’enfonce en elle d’un seul coup, elle crie assez fort .

« Alors tu l’as sucé ? Mais dis-le salope ! Maman ne répond pas et continue à gémir très fort, tout en ouvrant sa chatte des deux mains. Je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir… Certainement les deux.

«Franck tu lui mets le collier de chien et tu prépares le speculum » Puis il s’adresse à Kader « Attaches lui les mains avec les bracelets et tapes lui un peu sur les fesses» Kader enlève son sexe de l’anus de ma mère qui tombe, couchée à plat-ventre sur le tapis, puis il lui saisit les mains et lui attache dans le dos avec des sortes de menottes et lui donne quatre ou cinq bonnes claques sur les fesses qui la font crier, pendant que Mario lui place un collier de chien en cuir autour du cou et dépose un long objet métallique à côté d’elle.

« Tiens la court à la laisse Franck et toi Kader  remonte-lui les bras dans le dos, comme ça elle ne bougera plus » Il s’adresse à maman en lui mettant l’objet métallique juste devant le visage : »Tu connais ? Mais celui-ci c’est la taille au dessus tu vois ? 27 cm de long et 7 cm de largeur. Pour les juments ! C’est fait exactement pour toi en fait ! » Elle essaye de dire quelque chose que je ne comprends pas car son collier doit la serrer.

(A ce moment là je ne supporte plus la scène et je regagne ma chambre à plat ventre et la tête dans un oreiller je commence à pleurer, j’entends à peine le bruit des voix en sourdine qui montent du salon. Au bout d’un moment je me calme. Mon excitation  et mon envie de voir la suite  étant les plus fortes je retourne à mon poste).

Ma mère est toujours à genoux, allongée sur un plaid, elle ne dit plus rien, mais je l’entends d’ici respirer très fort et gémir un peu. Je vois que le gros speculum est introduit presque complètement dans son vagin et Henry, derrière elle, est en train de tourner la molette doucement. Ca dure pendant un bon moment, puis se il relève en disant : « Elle le prend quasiment entier sans problème ! Et pourtant il est ouvert à fond je crois ! Essaies Kader pour voir, toi, tu as plus de force ». Ma mère avec des sanglots dans la voix dit « Vous allez me défoncer ! Arrêtez ! » Kader tourne encore 2 ou 3 fois le papillon et dit « Il est ouvert au maxi, on peut lui mettre le poing entier dans la chatte, une vraie jument ! ». Et il introduit sa main fermée jusqu’à mi-coude dans l’engin, sans forcer, sans même que son poing touche les parois en inox.

H : « Elle a l’air de bien supporter malgré tout. Tu n’auras plus besoin d’écarter la chatte avec tes mains maintenant, elle restera grande ouverte toute seule ! »

C. 102-copie-1

Ma mère ne dit rien, elle gémit toujours un peu de façon continue, elle me fait penser à un chat qui pleure ou à un petit bébé.

Moi à cet instant, je me branle comme un fou. Je m’écarte les fesses avec les deux mains, imaginant que je suis à la place de ma mère, devant ses trois hommes qui feraient ce qu’ils veulent de moi. A cet instant je sais que moi aussi j’ai envie d’être humilié et forcé, prêt à tout pour m’exciter le plus possible, à jouir,  sans limite.

Au bout d’un long moment Henry dit : « Retire-lui l'engin Kader » ! Kader lui enlève le speculum qui tombe sur le plaid et maman toujours tenue en laisse par le cou et les mains dans le dos, tombe à plat ventre.

H: « remets toi en levrette jolie cochonne ce n'est pas fini ! » Maman ne dit rien. Elle se remet à genoux, les cuisses écartées et nous montre son vagin et son anus distendus sans aucune pudeur.

« Franck, mets lui ta queue dans la bouche. Franck baisse son slip et lui met son sexe en érection devant le visage. Il tire un peu sur la laisse et ma mère happe son membre avec ses lèvres et j'ai l'impression qu'elle le suce avec plaisir.

Kader lui enlève les menottes pour qu’elle puisse se tenir en avant sur les mains, il se place derrière elle et accroupi sur ses reins et lui enfonce comme tout à l’heure son énorme sexe dans l’anus. Maman a un râle, un peu étouffée par le sexe qu’elle a dans la bouche.

Je vois très bien par derrière les fesses et l’anus poilu de Kader qui la sodomise violemment. Henry pendant ce temps a enfilé des gants en latex bleu et sans plus attendre, lui introduit le poing droit dans le vagin. Cette fois ma mère relève la tête avec une sorte de long rugissement, sa bouche ignore le sexe de Franck quelques instants pour profiter au maximum de cette double pénétration hors norme. Henry rentre très vite le poing ganté le plus profondément possible et le retire aussi vite, pendant que Kader la sodomise dans un va et vient qui affole ma mère.

Elle bouge, crie se débat, elle dit qu’elle adore qu’elle va jouir, mais dit aussitôt que c’est trop, qu’ils vont la défoncer, elle dit « assez ! je n’en peux plus » Mais je la vois reprendre en bouche le sexe de Franck qui se masturbe en même temps. Il la tient serré avec la laisse et par les cheveux pendant que Kader s’est tourné dans l’autre sens et continue à l’enculer de haut en bas, ce qui lui permet d’écarter les fesses de  maman et de voir le fisting d’Henry.

Puis Franck lâche la laisse et il la tient à deux mains par le collier. Il dit « Je viens, je vais jouir, continue, suce-moi à fond ! » et je le vois agité de 3 ou 4 spasmes pendant qu’il éjacule dans sa bouche. Elle lui tient le sexe d’une main et le masturbe pendant qu’elle continue à sucer et à avaler jusqu’à la dernière goutte sans quitter Franck des yeux.

Henry sort sa main une dernière fois de sa chatte pendant que Kader jouit presque en même temps que Franck. Elle tombe en avant sur le tapis comme désarticulée sans un mot.

Moi aussi j’ai joui en solitaire en regardant cette scène de folie. Je file dans ma chambre et me rhabille très vite.

Quand je retourne à mon point d’observation, plus rien ne traîne dans la pièce : La caméra a disparu, les meubles ont repris leur place, Kader et Franck ne sont plus là. Ma mère, toujours nue discute calmement avec Henry comme si rien ne c’était passé.

H : « Je suis très content pour une première fois et je pense qu’on pourra faire un truc bien avec les prises. Et vous? comment avez-vous vécu les choses ? Vous n’avez pas trop de douleurs ?

M : « Si j’ai quand même assez mal et je crois que je vais aller prendre un bon bain et me coucher tôt ce soir. Un moment avec le speculum j’ai eu peur, mais en fait j’ai fini par me calmer. C’est impressionnant après coup de savoir que j’ai eue toute cette longueur d’enfoncée en moi ! C'était presque comme un accouchement!

H : « Un peu excitant aussi peut-être ? La prochaine fois vous n’aurez plus peur car vous saurez  à quoi vous attendre !

M : « C’est obligé d’utiliser ce speculum pour juments ?

H : «  Ce n’est pas obligé, mais on gagne du temps quand on veut faire des scènes de fist. On pourrait utiliser un gros gode aussi, mais le speculum n’est pas souvent employé car la plupart des femmes refusent. Donc vous avez toutes les chances de faire un film, car c'est très impressionnant à voir quand c’est filmé comme ça, de dos et à quatre pattes. Sinon je voulais vous proposer quelque chose de personnel.

M : « Je vous écoute, dites-moi tout ! »

H : « A titre personnel, je tourne aussi du porno et j’ai un petit studio bien équipé en Belgique. Vous seriez éventuellement intéressée ? C’est très bien payé et tous les frais sont remboursés.

M : « En Belgique ? Pourquoi si loin ? Et ça veut dire quoi très bien payé ?

H : « En Belgique parce que je suis belge ! Bien payé oui mais tout dépend de la prestation ! Je recherche des scènes originales, un peu hors du commun si vous voulez, pour des publics avertis. Je ne tourne pas les films classiques qu’on voit dans toutes les productions X. J’essaie de me démarquer un peu. Les acteurs qui travaillent pour moi sont tous des amateurs dans votre genre, branchés cul et que je recrute personnellement.

M : « Laissez-moi vos coordonnées et je vous contacterai pour vous donner une réponse, après avoir réfléchi et d’après les renseignements que vous me donnerez.

H : « C’est convenu comme ça ! Je vous laisse ma carte. Si par ailleurs vous avez une connaissance féminine qui est intéressée ou qui souhaite vous accompagner pour le tournage, faites le moi savoir ! Je suis toujours preneur ! A partir du moment où c’est une femme dans votre genre, sexuellement libérée qui aime prendre du plaisir tout en voulant gagner pas mal d'argent.

Il se leva et sorti sans que maman ne bouge du canapé. Elle avait l’air très fatiguée.

Elle se releva avec difficulté et se rendit à la salle de bain.

Au bout de quelques instants j'entendis l’eau qui coulait et je descendis de ma chambre.

Sur la table du salon je remarquais la carte de visite qu’Henry avait laissée.

Jenotais le numéro de téléphone et je me rendis au café du coin ou les jeunes avaient l’habitude de se réunir. Là, j’attendis l’heure où j’étais censé finir ma leçon de tennis en sirotant un chocolat chaud, avec des milliers de questions et d’idées dans la tête.

C. 062

 

Par billy - Publié dans : adolescence - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus