Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 08:47

 

La sexualité de la mère est souvent tabou, cachée, inexistante aux yeux de ses enfants. Pourtant cela n'a pas été le cas pour moi. Difficile de voir nos mères comme des femmes à part entière!

Pour la plupart d'entre nous, nous souhaiterions que celles qui ont bercés notre petite enfance, nous ont aimés, qui nous ont soutenus et aidés pour nous accompagner jusqu'à l'adolescence pour qu'enfin nous puissions prendre seuls notre envol, soient uniquement des "mamans".

Impossible souvent de les voir autrement que sur leur piédestal de mères aimantes.

Quand parfois certains de leurs comportements nous incitent à penser qu'elles ne sont pas uniquement cela et que nous nous rendons-compte, que pour d'autres hommes elles sont des objets de désirs, de fantasmes et qu'elles-mêmes peuvent avoir des pulsions et des plaisirs sexuels, nous préférons l'ignorer ou même le nier. Peut être est-ce trop difficile à admettre mentalement? Cela heurte notre subconscient qui a été tissé par notre amour d'enfant.

Je vais m'efforcer de faire abstraction de ces préjugés, et raconter la sexualité d'une mère, à travers mes souvenirs d'enfance et d'adolescence. Essayer de retransmettre les faits tels que je les ai perçus à ces moments là, en essayant de ne rien oublier ou dissimuler ni modifier et sans me permettre de juger qui que ce soit. Simplement dire la vérité, même si elle n'est pas toujours bonne et facile, à dire, pour comprendre les choses.

Les dialogues que j'ai voulu retranscrire ne sont certainement pas ceux qui ont été vraiment et exactement dits à ce moment là, mais j'ai essayé de les faire revivre au plus juste sans jamais en inventer ni dénaturer leur sens afin de produire un texte vivant pour la lecture et le moins ennuyeux possible.

 

-C., ma mère, avait 22 ans quand je suis arrivé dans son ventre: Elle m'a elle-même raconté que lorsqu'elle est allée faire sa dernière visite médicale, avant  l'accouchement, le gynécologue qui lui avait demandé de se déshabiller a été tellement subjugué par son corps qu'il l'a montré à toute son équipe médicale et sous toutes les coutures. Elle était très fière d'avoir été ainsi le centre d'intérêt et de se faire admirer par tous ces docteurs pendant un long moment.

-Je devais avoir juste 3 ans quand C. m'a donné ma première émotion sexuelle. J'étais dans sa chambre où les rideaux étaient tirés, certainement pendant une après-midi de sieste. Ma sœur était toute petite dans son berceau à côté du grand lit de mes parents. J'étais allongé, il faisait chaud. Ma mère était avec nous, en culotte et la poitrine nue. Elle chantonnait pour ma sœur qui pleurait. Puis elle prit le bébé avec elle dans ses bras et se mit à genoux face à moi. Je voyais ses longs poils noirs qui dépassaient de chaque coté de sa culotte tirebouchonnée et sur son ventre, au dessus de l'élastique. J'étais comme hypnotisé par cette image et je ne pouvais plus en détacher le regard jusqu'à ce que ma mère, qui s'était rendue-compte de ma curiosité, me dise en riant: "Qu'est-ce que tu regardes comme ça? Hein, mon petit vicieux chéri?"  

-Je n'étais probablement pas beaucoup plus âgé, quand une nuit, j'ai été réveillé par des bruits inhabituels. Je devais être dans un lit d'enfant à barreaux, tout près de mes parents qui couchaient dans leur grand lit juste à côté. Je ne dormais plus vraiment, mais je n'étais pas vraiment réveillé non plus. Il devait être très tard. Probablement venaient-ils de rentrer au petit matin, après une fête ou une sortie nocturne. Puis, il y eu encore des bruits. J'émergeais de nouveau à moitié de mon sommeil. Je les revois nus dans le lit tous les deux. Tout d'abord c'était la vision de mon père qui chevauchait ma mère qui était à genoux devant lui. Ensuite, celle de ma mère qui semblait assise ou accroupie sur mon père allongé. Plus tard, de nouveau réveillé par des bruits insolites, je vis mon père qui était allongé sur elle qui avaient les jambes largement ouvertes et repliées. Il lui donnait des gifles sur les joues tout en prononçant des mots que je ne comprenais pas vraiment. J'imagine aujourd'hui sans devoir beaucoup me tromper que cela devait être un genre d'insulte excitante du genre: "Tu aimes ça hein? C'est bon salope? ". Et ma mère paradoxalement, lui demandait de ne pas s'arrêter, mais au contraire lui répondait:" oui! Oui! Oui! De plus en plus fort, affirmant sa jouissance d'être à la fois possédée et en même temps d'être corrigée.

-Vers mes 5 ans, mon père était souvent absent de la maison. Parfois nous allions le rejoindre en fin de semaine près de son chantier et nous prenions le train. Il repeignait les pylônes métallique des voies ferrées SNCF. Nous dormions dans des pensions, c'était amusant car il y avait plein d'autres enfants avec qui nous pouvions jouer.

Parfois papa était absent tellement longtemps que je ne me rappelais presque plus de lui et quand je le revoyais pour quelques jours, j'étais très intimidé lorsque il me parlait ou voulait s'amuser avec moi. Quand les chantiers étaient trop éloignés pour aller le voir, nous restions à la maison, sans le voir.

Parfois, certains jours, un ami de maman venait la voir. C'était souvent le soir, ou parfois l'après midi. Maman faisait en sorte de nous coucher très vite, ma sœur et moi car l'homme le lui demandait. Il s'amusait avec elle en lui tapotant les fesses et en l'embrassant dans le cou. Je devais me dépêcher de finir de manger et d'aller aux toilettes pendant qu'elle changeait le bébé. Ces jours particuliers j'avais remarqué qu'elle prenait toujours une douche et mettait kimono avant que son ami arrive à la maison. Son prénom était Mario, mais elle ne l'appelait jamais devant moi et il ne m'a jamais adressé la parole directement. Ensuite, quelques temps après qu'elle nous ait couchés, elle venait voir si nous dormions. Parfois plusieurs fois de suite pour s'en assurer. Certaines fois je m'endormais très vite et d'autres fois je n'avais pas sommeil et je fermais seulement les yeux, faisant semblant de dormir. Lorsque je les entendais rire, je me relevais du lit, je soulevais un petit coin du double rideau de la porte vitrée qui donnait du couloir dans le salon et je regardais leurs ébats sexuels. Je ne me souviens pas avoir été choqué par ce que je voyais, certainement parce qu'à cet âge là, pour moi, ma mère ne faisait que s'amuser avec un homme, comme elle le faisait parfois, de la même façon avec un autre homme qui était mon père. Je pensais que c'étaient une sorte de jeu qui était réservé aux adultes et qui semblait beaucoup plaire à maman.

Malgré tout, je me doutais bien que je n'avais pas le droit de regarder et je me cachais pour le faire. J'aimais bien la regarder pendant leurs rapports sexuels, pour moi c'était spectacle dans lequel ma mère avait le premier rôle. Tout est resté gravé dans ma mémoire malgré mon jeune âge et le temps qui a passé depuis.

Quand j'arrivais à mon poste d'observation, la plupart du temps, elle avait déjà enlevé son kimono et elle était toute nue. J'étais bizarrement excité par la vue de ses petits seins pointus et le triangle de longs poils noirs au bas de son ventre. Souvent, c'était elle qui enlevait le pantalon de Mario et lui touchait le sexe et avait l'air de prendre un très grand plaisir à le prendre dans sa bouche. Parfois c'était lui qui posait sa bouche sous le triangle de son pubis. Maman avait l'air de beaucoup aimer ça, mais il ne le faisait pas souvent. Elle se plaçait parfois sur lui, comme je l'avais vu faire avec mon père. Plus rarement, c'était elle qui était en dessous avec les jambes ouvertes sur les épaules de l'homme. Parfois Mario lui demandait d'accepter de faire d'autres choses, que je ne comprenais pas trop au début, mais elle n'acceptait jamais tout de suite. Je me rappelle très bien qu'elle lui disait ces phrases: "non pas aujourd'hui", ou bien "je n'en ai pas envie maintenant, peut être tout à l'heure" et aussi "Tu sais bien que je n'arrive plus à me contrôler quand je le fais, j'ai peur de faire trop de bruit et de réveiller les enfants".

Quand elle refusait ainsi, il insistait beaucoup et lui faisait plein de câlins et de caresses.

Elle finissait toujours par céder à sa demande en disant à chaque fois quasiment les mêmes paroles, comme si cela avait été une sorte de rite pour elle: "Je le fais pour toi, tu sais, car tu es vraiment beaucoup trop gros pour moi," ou "Je suis d'accord, mais fais doucement s'il te plait au début", également  "Ne sois pas aussi brutal avec moi, je n'aime pas ça". Mario ne répondait jamais rien, il la regardait en jouant avec son sexe et elle finissait par se mettre à genoux sur le tapis juste devant  lui. Elle se tournait vers lui en ouvrant ses fesses avec ses mains. Aussitôt, je voyais qu'il la pénétrait avec son sexe par l'anus sans tenir compte des recommandations qu'elle avait faites juste quelques instants auparavant. Elle n'avait pas l'air d'être fâchée contre lui, au contraire, dès qu'il la sodomisait elle le suppliait de ne pas s'arrêter et de la prendre encore plus fort. Pendant ces moments là, je ne reconnaissais plus ma mère, surtout quand avant de jouir elle se parlait à elle même en disant qu'elle n'était qu'une salope, une enculée et une chienne et encore plein d'autres choses de ce genre difficiles à entendre pour mes oreilles d'enfant.

Très longtemps je n'ai pas compris son comportement ni le plaisir qu'elle prenait à subir ce qu'elle refusait quelques instants auparavant. Plus j'y pensais au cours de mon adolescence et moins j'arrivais à la comprendre. Pourquoi ne pas tout simplement dire "oui, j'aime ceci" et je le fais ou "non je n'aime pas ça" et il n'est pas question que je me prête à ça! Elle faisait tout à fait le contraire de qu'elle avait envie de faire. Mais peut être aussi jouait-elle à "faire semblant de ne pas avoir envie"? Il est certain que pour elle, c'était assez compliqué et difficile d'assumer les désirs qu'elle avait et qu'elle suscitait en se libérant complètement sexuellement (certainement à cause de l'éducation religieuse qu'elle avait reçu). Je pense qu'il lui était également impossible de pouvoir contrôler sa sexualité à cause de sa libido très exigeante.

Un jour, son ami Mario qui n'était pas venu depuis plusieurs semaines, (nous étions allés en vacances quelques temps chez mes grands parents) reparu à l'appartement. Je m'en doutais bien avant même de le voir, puisque ma mère cet fin d'après-midi là, avait remis son kimono. Je sentais qu'elle était particulièrement nerveuse parce qu'elle supportait mal toutes mes questions d'enfant et ce n'était pas son habitude. Elle me pressait d'aller au lit,  alors que généralement après avoir couché ma sœur, elle aimait bien me garder un petit moment avec elle pour jouer ou dessiner etc. Je partis donc au lit sans rien dire pour ne pas l'énerver d'avantage et fis semblant de dormir quand plus tard elle revint m'appeler doucement par l'entrebâillement de la porte. Ma petite sœur dormait depuis un bon moment déjà. Un bon moment après, j'étais presque endormi quand j'entendis des voix dans le salon. Je bondis du lit pour me poster derrière les rideaux et je m'aperçus que l'ami habituel était bien là, mais il y avait un autre homme qui était avec lui. J'entendis ma mère qui disait quelque chose comme "je l'ai couché, ne vous en faites pas il dort déjà depuis un moment". Je voyais qu'elle était encore très nerveuse, car elle allait et venait, passait de la cuisine au salon et parlait beaucoup en riant pour un rien. Je vis aussi qu'elle avait oublié de fermer complètement la ceinture de son kimono et qu'on voyait presque toute sa poitrine et qu'on apercevait par moment le noir de sa toison pubienne. Elle avait allumé une cigarette. Ils étaient assis tous les trois et avaient un verre devant eux. Mario se plaça à côté d'elle sur le bras du fauteuil et lui désigna l'autre homme que je trouvais vraiment vieux, (beaucoup plus que mon père en tous cas) assis en face d'eux et dit "alors? tu es d'accord ou pas? Décide-toi! Tu sais que je ne t'oblige pas et qu'on en a encore discuté la dernière fois! Oui ou non?" Ma mère répondis "oui je veux bien, mais toi, tu veux aussi? tu en es sur?". Mario dit "ce n'est pas vrai! oui j'en suis sur! Combien de fois devrais-je te le dire?" Puis il demanda à l'autre homme "Farid? Tu veux la voir maintenant? Alors demande le lui! Je t'ai expliqué comment elle aime qu'on fasse avec elle. L'autre répondit "d'accord j'ai compris" et s'adressant à maman il dit "Allez ma belle! Montre-moi ça!" Elle se leva, écrasa sa cigarette dans le cendrier et se mit au milieu de la pièce. Elle avait les joues rouges et respirait très vite. Elle ouvrit son kimono et le laissa glisser à ses pieds. Elle resta là, debout sans bouger, les bras ballants ne sachant plus trop quoi faire. Farid lui demanda de bouger un peu et elle le fit immédiatement. Elle tourna plusieurs fois sur elle même en levant les bras et on apercevait des poils noirs et fournis sous ses aisselle ainsi que son magnifique triangle si émouvant pour moi. Mario dit encore à Farid "Tu sais, je t'ai expliqué qu'elle adore être commandée et mise devant le fait accompli. Même si elle dit non d'emblée, il ne faut pas l'écouter. N'est-ce pas ma chérie?" Ma mère dit "tu exagères un peu! Je sais dire non aussi parfois! Même si je reconnais que j'ai parfois du mal à prendre des initiatives" L'homme lui demanda quel âge elle avait. Elle répondit quelle avait bientôt 28 ans. Il dit "Tu pourrais largement être ma fille, ça ne te gêne pas? Est-ce qu'il y a des pratiques ou des tabous pour toi? Des choses que tu ne veux absolument pas aborder dans le sexe?". Elle réfléchit un peu répondit que non, elle n'avait pas vraiment de tabous, mais qu'en fin de compte elle n'était pas très compliquée. Que son âge ne la gênait pas et qu'elle avait eu des relations sexuelles avant d'être mariée avec des hommes plus âgés que lui.

Mario dit en souriant :"Tu sais Farid, on ne le croirait pas, à la voir comme ça, avec ses petits seins de pucelle, mais elle a déjà deux gosses! Et je peux te dire que ce qu'elle apprécie particulièrement ce n'est pas les petits formats. Recto-verso de préférence! Mais jamais elle ne l'avouera! N'est-ce pas petite cochonne?". Elle ne répondit rien, s'assit sur l'accoudoir du fauteuil, alluma une autre cigarette, sans paraitre se soucier de la vue que pouvaient procurer ses jambes largement ouvertes.

Farid dit "A ce moment là Mario leva la main et dit: "Vous entendez?"; Maman se leva précipitamment et remit son kimono très vite. On sonna à la porte. Elle fit signe aux deux hommes de se taire et de s'asseoir tranquillement. Elle passa sa main dans ses cheveux, serra la ceinture de sa robe de chambre et ouvrit. J'entendis une voix féminine, mais je ne voyais pas qui c'était. Je pris peur et retournais à toutes jambes dans mon lit. Tout essoufflé et la tête farcie des dialogues et des scènes auxquelles je venais d'assister. Je ne comprenais pas le comportement de ma mère, surtout avec un homme qu'elle ne connaissait pas.  Je ne comprenais pas non plus tout ce qui avait été dit et quelle était la finalité de ces choses. Je les acceptais sans trop me poser de questions malgré tout: C'était des histoires d'adultes. Souvent, on me répondait à toutes les questions que je posais sur tout et n'importe quoi: "Tu verras bien quand tu seras plus grand! Donc j'appliquais cette méthode, ça me permettait aussi je pense de calmer mes angoisses d'enfant sans trop chercher d'explications aux questions restées sans réponses.

Je n'ai jamais su pour quelle raison Mario avait amené Farid à la maison. Je me pose encore cette question parfois, bien que j'ai quelques idées sur la question.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, maman avait des cernes énormes. Je lui ai dit que je n'aimais pas le vieux monsieur qui était venu avec Mario. Elle failli s'étouffer en entendant ma phrase d'enfant. Elle dit" Comment tu sais ça toi?" J'ai bafouillé un peu et j'ai répondu que j'avais entendu la sonnette et que je m'étais levé. Elle m'interrogea le visage blême: "Après que Mireille (notre voisine qui gardait ma sœur parfois) soit repartie, tu es resté à regarder encore longtemps?" Je répondis que non, pas trop et que j'étais reparti ensuite dans mon lit. Ma réponse ne sembla pas la rassurer, même si elle sourit de nouveau, égale à elle-même.

Jamais plus des amis ne sont venus lui rendre-visite dans cet appartement.

Quelques mois plus tard mon père  trouvait un autre emploi dans son vrai métier, le dessin industriel et nous avons quitté Paris pour la Seine et Marne. Il rentrait chaque jour à la maison et la vie était devenue beaucoup moins angoissante. Un an plus tard mon frère naissait, j'avais 7 ans.

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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