Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 14:56

068 1000

Nous sommes au début du mois de septembre 1966, au Maroc. Le mois dernier j'ai eu 14 ans. La nouvelle année scolaire va commencer bientôt, dans moins d'un mois au lycée français de Marrakech, je suis encore en vacances d'été jusqu'au 30 septembre, mais auparavant nous devons nous rendre préalablement, mon père et moi, dans l'établissement pour préparer la rentrée à l'internat. Nous en profiterons pour faire des achats en ville et aller rendre visite à mes correspondants qui sont des amis de mes parents. (pour les internes qui n'ont pas de famille sur place, il faut quelqu'un de confiance, responsable, en cas de souci de santé ou de discipline etc.)

Vendredi 6 septembre, jour marqué à jamais dans ma mémoire, comme le point de départ d'une sexualité particulière qui allait durer plusieurs années. Cependant ce matin là, rien ne laissait présager ça et nous partons, papa et moi, en voiture, tôt le matin, pour éviter les grosses chaleurs. Nous arrivons au lycée Victor Hugo en début de matinée, nous nous rendons directement à l'internat pour prendre possession du coin de dortoir qu'on m'a affecté, enfin nous réglons le détail des inscriptions, les différentes formalités et remplissons tous les papiers en vue de  la prochaine rentrée scolaire.

Vers 11h00 tout est terminé et nous allons nous rafraichir en allant boire un pot en ville. En cette saison au Maroc il règne une chaleur orageuse écrasante à cette heure de la journée. Pendant le  déjeuné pris rapidement, mon père me demande si je souhaite venir avec lui chez les amis ou si je préfère faire autre chose, car nous ne repartirons qu'en fin de soirée, après diner, à la fraiche. J'imagine qu'il souhaite certainement passer l'après midi seul avec Marie, l'épouse du couple de mes correspondants, une jolie petite Belge blonde d'une trentaine d'années, à la poitrine avantageuse et aux yeux bleus pétillants. Comme je n'ai pas envie de passer ma journée à l'attendre, je préfère aller de mon côté et nous nous fixons rendez-vous ici à 19h. J'ai l'idée d'aller voir Estéban, le surveillant d'internat, qui m'avait débarrassé de Mo, mon "meilleur ami" du lycée, un marocain de 17 ans qui m'avait pris en main dès le début de l'année scolaire précédente, sous le prétexte pervers de me protéger et qui en fait, avait bien su profiter de moi et de mon besoin de sexualité, à chaque fois qu'il l'avait souhaité et de la façon qu'il avait voulu. C'est aussi Estéban, qui pour la première fois m'a fait enfin arriver à jouir par la sodomie passive, alors que je n'avais eu qu'un seul rapport avec lui, alors que Mo qui profitait pourtant de moi presque chaque nuit n'avait jamais réussi à me faire connaitre cela.

Je me rends tout d'abord chez un copain du lycée, pour lui demander qu'il m'accompagne chez Estéban, car cela me gène d'y aller seul; mais un voisin me dit que toute la famille est en excursion pour quelques jours. Un peu désemparé et ne sachant plus trop quoi faire, je décide d'aller chez les parents d'Estéban, mais c'est loin du lieu ou je me trouve et situé dans la vieille ville. Je prends un taxi pour m'y rendre, car ce n'est pas évident de trouver une adresse dans ce dédale de rues. Heureusement un commerçant fini par m'indiquer la porte de la maison. Je frappe avec le heurtoir et un homme vient m'ouvrir: je demande Estéban. Il me dit d'attendre un moment et c'est une jolie marocaine d'environ 45 ans qui se présente comme étant sa maman qui vient me saluer et me dire que son fils se trouve chez un ami pas très loin d'ici et que quelqu'un va m'y accompagner. Je la remercie et le domestique me précède dans les rues de la médina. En effet ce n'est pas loin, mais avec toutes ces petites rues, sans guide, je n'aurais jamais trouvé! Mon accompagnateur me laisse à la porte de la maison et repart aussitôt. Presque immédiatement un homme, noir, vient m'ouvrir. Il est torse-nu, vêtu seulement d'un bermuda, grand et corpulent il doit avoir dans les 40 ou 45 ans. Il me lance un regard interrogateur et me demande gentiment avec un fort accent portugais ce que je veux. Je lui dis que je cherche mon ami Estéban. Il répond qu'il est sorti pour aller déjeuner, mais qu'il devrait bientôt revenir, que si je veux, je n'ai qu'à entrer l'attendre. J'entre et me retrouve dans un patio avec dans son milieu un bassin en mosaïque ou coule une fontaine. Tout est carrelé en faïence bleue et blanche. C'est vraiment très joli. Il y a plusieurs pièces qui donnent sur la cour centrale où j'aperçois des canapés et de très beaux tapis partout. L'homme se présente en disant qu'il s'appelle Raphaël, qu'il est originaire de Guinée Bissau une ancienne colonie portugaise et me demande mon nom. Quand je le lui dis, je vois immédiatement qu'il réagit. Il dit avec un sourire entendu "Ah effectivement Estéban m'a parlé de vous! Vous préférez entrer dans le salon ou rester dans le patio? seulement à l'intérieur il fait très chaud à cette heure-ci." Je lui réponds qu'effectivement je préfère rester ici car c'est très agréable avec la fraicheur donnée par la végétation et l'eau qui coule. Je prends place sur un pouf et il revient sans tarder avec une cruche de jus d'oranges pressées, du thé à la menthe et un assortiment de "majouns", une sorte de petits gâteaux secs fourrés.

"Mettez vous à l'aise! faites comme moi enlevez votre chemise! Faites comme chez vous je vous en prie!" S'exclame le colosse africain. J'enlève ma chemisette avec plaisir car elle est trempée de sueur et je choisis un grand verre de jus d'orange.

Prenez des gâteaux, vous verrez ils ont été faits ce matin! Vous avez déjà gouté les majouns au beurre de Marrakech?

Je dois préciser que le "beurre de Marrakech" est un mélange de résine et de feuilles hachées de cannabis mis dans une pâtisserie pour ceux qui ne fument pas, le plus souvent consommé par les femmes et aussi par les jeunes. Cette préparation donne les mêmes effets que  le cannabis fumé, mais ils sont plus lents et par contre durent plus longtemps.

Mo m'avait incité plusieurs fois à gouter ces gâteaux, m'expliquant en détails que leur consommation augmentait le plaisir des filles qui pratiquaient l'amour à l'espagnole (la sodomie, pour ne pas perdre leur virginité) sous entendant que c'était exactement la même chose pour les garçons passifs. "Avec ça" disait il "tu ne seras plus du tout timide pour faire ce que tu aimes le plus". Mais j'avais toujours refusé, malgré, ma curiosité de tenter cette expérience, car consommer ce genre de produit à l'internat pouvait couter l'exclusion définitive. Ici c'était différent, je ne risquais rien et, espérant découvrir des choses nouvelles, je décidais d'en croquer quelques un,

Une demi heure plus tard, Estéban n'était toujours pas arrivé et je m'en inquiétais auprès de Raphaël, lui disant que j'allais finir par partir s'il ne revenait pas bientôt. Mais il me conseilla de patienter en me proposant de me baigner dans la petite piscine, un grand bassin de forme carrée, carrelé de faïence. Je lui dis que je n'avais pas de maillot. Il rétorqua qu'il pouvait me fournir une serviette, mais qu'il n'y avait pas de maillot de bain, que je pouvais me baigner sans rien, que d'ailleurs ici, tout le monde le faisait.

Je me souviens que l'effet des gâteaux, déjà à ce moment là, commençait à se faire sentir et qu'effectivement ça diminuait ma timidité et ma vigilance et j'acceptais son offre de baignade sans qu'il ait besoin d'insister plus que ça. J'enlevais mon jean et mon caleçon pour m'assoir dans l'eau fraiche. J'avais de l'eau jusqu'au cou, c'était très agréable et je posais ma tête sur le bord du bassin en fermant les yeux. Un petit moment après, Raphaël m'interpella gaiement en disant qu'il allait également venir se rafraichir. Il se déshabilla complètement et je remarquais immédiatement son sexe très épais et long qui lui battait la cuisse pendant qu'il avançait vers moi. Comme il était totalement épilé, on pouvait encore mieux se rendre-compte de ce format exceptionnel qui ne me laissait pas vraiment indifférent pour être tout à fait franc. Je me surpris à m'interroger sur la façon dont j'allais réagir s'il me proposait maintenant une relation sexuelle ou simplement une fellation. Mais il me proposa simplement eencore une boisson et des biscuits. Je le remerciais et répondis que j'allais aller me servir moi-même. Je sortis du bassin et me dirigeais vers la petite table où je mangeais encore plusieurs petits gâteaux fourrés, accompagnés d'un verre de jus d'orange pressé. Je sentais que Raphaël, pendant ce temps là, ne me quittait pas des yeux. Moi, c'était son énorme queue qui attirait irrésistiblement mon regard, et il ne manqua pas de le remarquer. Il sortit du bassin et s'approcha de moi tranquillement, prenant bien son temps afin de se faire admirer, ce qui accentua mon trouble. Arrivé tout près de moi il me demanda tout à coup "depuis quand exactement tu es "bon ami" avec Estéban?" Je lui répondis que je le connaissais depuis le début de l'année scolaire dernière, parce qu'il était surveillant de notre dortoir. En souriant il me dit sans "En disant "bon ami", tu comprends ce que je voulais dire? Je remarquais qu'il me tutoyait pour la première fois et je lui répondis en ressentant le feu sur mes joues: "c'était au début du mois de mai dernier". " Ah seulement? Tu sais, il a été tellement étonné par toi et par ta franchise, qu'il m'a raconté comment il t'avait questionné de façon intime et détaillée. Il t'a trouvé très expérimenté pour un garçon de ton âge." et il rajouta "Mais où tu l'a vraiment surpris, c'est que tu aimes vraiment ça et tu assumes. Tu es docile et tu ne le fais pas par intérêt. Je trouve aussi que c'est particulièrement rare et très excitant. C'est Mo qui t'avait pris en main au début? J'aimerais que tu me racontes tout ça en détails une autre fois, car je connais bien Mo et je suis certain qu'il t'a fait connaitre pas mal de choses? Tu as quel âge exactement? je dis " j'ai 14 ans" et j'osais rajouter "et vous?" "Ah oui, 14 ans! Tu fais plus je trouve. Moi j'ai 44 ans..." me répondit-il.  Puis, il inséra délicatement les bouts des doigts entre mes fesses, et me regardant dans les yeux il dit: "Tu as le sentiment que la différence d'âge est un problème? ne t'inquiètes pas, ce qui compte c'est l'envie".

Je remarquais qu'il était presque complètement en érection à présent. Je ne pus réprimer plusieurs violents frissons, peut être à cause des gâteaux, mais aussi des paroles me concernant qu'il venait de prononcer et moi aussi j'avais une érection.

 Puis Raphael me dit "tu ne veux pas qu'on rentre maintenant? c'est plus confortable à l'intérieur!" Je lui dis que pour le moment, je préférais attendre Estéban ici, près du bassin. Il dit "c'est comme tu voudras! peut être plus tard alors!"

A cet instant même, Estéban entra dans le couloir qui menait au patio. Il était accompagné d'un petit homme, d'au moins 50 ou 60 ans, maigre, qui était vêtu d'une sorte de djellaba en coton blanc et qui portait un petit bonnet également blanc. Estéban fut très étonné de me voir là, nu et en érection au bord de la piscine, auprès de son ami Raphaël. "Comment es tu arrivé là?" dit-il. Je lui expliquais sans vraiment entrer dans les détails. Il s'approcha de moi, entoura mon épaule de son bras de et me chuchota à l'oreille "Tu es venu parce que tu avais envie de ma grosse queue? et peut être aussi parce que je t'en avais promis encore d'avantage si tu venais chez moi? allez dis-moi la vérité! tu es venu avec l'intention de te faire mettre comme la dernière fois?" Blessé par ses propos et par le ton volontairement grossier qu'il employait envers moi, mais ne voulant surtout pas lui montrer qu'il m'avait vexé, je lui répondis sur le même ton, en lui disant qu'effectivement j'aimais les gros sexes, mais qu'il n'était pas le seul à en posséder un de cette taille, tout en dirigeant mon regard vers Raphael. Du coup, changeant de conversation, il me demanda soudain à quelle heure je devais repartir. Je lui répondis que j'avais rendez vous avec mon père vers 19h". "Ah! ça va!' dit-il "on pourra prendre tout notre temps cette fois." Puis il me désigna l'homme qui était à ses côtés "Je te présente Amar! C'est un homme dangereux!" Et ils rirent tous les deux. L'homme rajouta "mais tout le monde m'appelle Hamar" (si on prononce le H aspiré en arabe, cela se traduit par âne: d'ou le jeu de mot).

Ils avaient l'air bizarre tous les deux, les yeux qui brillaient et des rires un peu niais. Ils avaient dû boire de l'alcool ou fumer. Peut être les deux. Mais en fin de compte, je me dis que je n'étais pas beaucoup mieux qu'eux. Complètement désinhibé par les gâteaux au beurre de Marrakech, je ne me posais plus aucune question. J'étais curieux de voir ce qu'Estéban allait me proposer d'encore mieux, comme il l'avait laissé entendre dans sa chambre à l'internat. Je me sentais prêt à tout découvrir sans aucune angoisse. C'était très bizarre et agréable à la fois comme état d'esprit. J'avais un nœud brulant dans le ventre, une sorte de boule de chaleur qui irradiait dans mon sexe et jusque dans mon rectum.

Estéban me demanda pourquoi je n'étais pas venu comme prévu à son anniversaire et je répondis vaguement que cela n'avait pas été possible, inventant je ne sais plus quelle histoire. Il dit plus fort: "En tous cas vous n'aviez pas l'air de vous ennuyer tous les deux, j'ai l'impression d'être arrivé juste au mauvais moment" mais tout de suite il rajouta: "Je t'en prie, continue Raphaël! Fais comme si je n'étais pas là, je suis partageur et les amis de mes amis... tu connais le dicton? De toutes façons je dois m'absenter. J'ai seulement accompagné Amar jusqu'ici mais je repars immédiatement. Puis il me dit à l'oreille en me souriant d'un air entendu "Attends moi patiemment, je vais revenir, , profite bien de tout".

Et tout de suite après, il sortit dans la rue, mais je surpris son petit signe pour Amar et le clin d'œil adressé à Raphaël. Je ne savais plus quoi faire à présent,: Je me trouvais vraiment idiot d'avoir attendu aussi longtemps pour rien. Raphaël s'aperçu certainement de mon état d'esprit et s'approchant de moi, me dit "Ne t'en fais donc pas! Il va revenir! Allez viens, fais moi plaisir, on va aller à l'intérieur." Je le suivis dans un salon où se trouvaient un grand tapis bleu qui couvrait tout le sol et deux larges banquettes décorées  de coussins à frange dorées.

"Allez, installe-toi là" me dit il en m'indiquant celle qui se trouvait au fond de la pièce. Il ajouta plus doucement: "J'ai bien vu tes yeux sur moi, tout à l'heure avant l'arrivée d'Estéban! Tu ne vas pas me dire le contraire maintenant? je ne répondis rien, car j'avais la tête toute bizarre, qui tournait un peu, surement à cause l'effet de la résine des gâteaux. Je n'avais pas envie d'expliquer interminablement des évidences. J'avais seulement décidé de laisser faire les choses comme elles venaient. Je ne voulais pas me l'avouer à cet instant là, car mon amour-propre en souffrait, mais en réalité, j'étais quand même venu ici dans l'espoir de me "faire mettre" comme disait Estéban. Il était vrai que depuis le début des vacances je ne pensais qu'à revivre les moments intenses passés dans sa chambre.

J'ai vite compris que j'allais avoir bien plus que ce à quoi que je m'attendais avec Raphaël, car en m'entrainant près de lui il me dit: "maintenant tu vas faire exactement tout ce que je te dis!". Il enleva le peignoir qu'il avait enfilé à l'arrivée des deux autres et, nu, un coussin sous la tête, il s'allongea sur le divan, me fit assoir à califourchon sur ses jambes, face à lui, et me dit que je devais le masturber. Son sexe en érection était large, aussi gros que celui d'Estéban mais plus long et de couleur marron foncé, avec un énorme gland plus clair, rouge violacé. Raphaël n'était pas beau, de plus il était presque obèse. Je ne sais pas si c'est parce qu'il dégageait une sorte d'autorité naturelle ou le fait qu'il soit noir, mais son personnage me subjuguait. Le vieil Amar, s'était assis sur un pouf, à trois ou quatre mètres de nous et nous regardait avec attention. Je me souviens parfaitement encore aujourd'hui que cela ne me gênait absolument pas, mais qu'au contraire je ressentais du plaisir à ce qu'il me regarde, dans cette attitude soumise.

Pour être à la hauteur de la réputation qu'Estéban m'avait faite, je fis en sorte de le masturber avec application, très lentement, en mettant de la salive pour faire glisser son gland dans ma main, comme Mo m'avait appris. Pendant que je le branlais, Raphaël commença à me pincer le bout des tétons de plus en plus fort et cette douleur agissait directement sur mon sexe et mon anus en me donnant le besoin irrésistible de me faire pénétrer. Mon cœur battait très fort et mon souffle s'accélérait. L'excitation devenait si intense que ça me donna également l'envie de le sucer. Tout en continuant à le masturber, je pris l'extrémité de son sexe dans ma bouche, mais aussitôt il me gifla en disant "Je ne t'ai rien demandé! Pour le moment tu me branles et pour le reste c'est moi qui décide". Puis il appela Amar en disant "Si tu en as envie toi, viens t'occuper de lui, il n'attend que ça". Puis il s'assit au milieu du canapé, les pieds au sol et me fit tourner face à lui, à genoux, entre ses jambes écartées. Pendant que je me plaçais comme il le voulait, j'aperçus Amar qui s'approchait tout en enlevant sa djellaba. En dessous il ne portait qu'une sorte de pantalon bouffant de couleur bleue pâle, mais n'avait pas de chemise et on pouvait voir son torse maigre. Amar dit avec un fort accent arabe: "je préfère qu'il me branle avant, d'accord?" " Comme tu veux! on va faire autrement alors!" répondit Raphaël. Il me fit faire demi-tour et je me retrouvais à genoux face à Amar qui enlevait son saroual, laissant apparaitre un sexe énorme en semi érection, très épais et long, c'était étonnant pour un homme aussi chétif. Je n'avais jamais imaginé qu'un sexe d'homme de cette taille puisse exister. "Tu comprends maintenant, pourquoi Estéban disait que c'était un homme dangereux?" lança Raphaël en riant, et il m'attira par les hanches pour que je rapproche du bord canapé où il était assis, tout en se masturbant langoureusement. Il lança soudain: "Maintenant réponds! Je veux que tu nous dises de façon claire si tu as envie de nous deux en même temps? Oui ou non? "

Je ne répondis pas immédiatement, car je me rendais-compte, malgré mon jeune âge, que prononcer le mot "oui" c'était reconnaitre faire partie de ceux qui acceptent tout, sans aucune limite, même les choses les plus dégradante.. Dire "oui" était  difficile pour moi, car c'était accepter de m'abandonner aux mains ces deux hommes, dont l'un avait l'âge de mon père et l'autre celui de mon grand-père, alors que c'était la première fois de ma vie que je les rencontrais. J'avoue que cela me faisait un peu peur à ce moment là.

Mais je ne voulais pas me résoudre non plus à prononcer le mot "non" parce que cela allait me priver d'un plaisir que je n'avais connu vraiment qu'une seule fois, mais que j'avais imaginé, cent fois.. Dire "non", pour être honnête avec moi-même, c'était renoncer à ce que j'étais venu chercher là et à ce que ce qui était en train de se passer.

Dans ce moment d'excitation intense et bizarre où je me trouvais, je suis certain, après y avoir réfléchis de nombreuses fois, bien plus tard, que j'aurais vraiment tout accepté d'eux, même si l'envie leur avait pris de me proposer tout ce qu'ils auraient pu imaginer de plus bizarre et pervers. Je pense qu'à ce moment là, je n'aurais rien trouvé à redire.

Sur le moment, je me souviens que je regrettais seulement qu'ils ne comprennent pas le désir que j'avais qu'ils m'imposent leur volonté sans tenir-compte de moi et sans qu'ils aient à me demander mon avis sur quoi que ce soit. Cela aurait été tellement plus simple.

Mais, contrairement à ce que j'espérais il répéta à nouveau sa question: "Tu ne l'as encore jamais fait à plusieurs?" Je balançais négativement la tête de gauche à droite. Il continuait à se triturer le sexe qui était incroyablement raide maintenant: "Est que tu en as envie?" Je fis une petite moue dubitative. Il insista: "Bon, maintenant ça suffit! je veux que tu nous dises si tu en as envie ou pas? " Me rendant-compte que les choses pouvaient tourner court si je m'entêtais à rester silencieux, je laissais de côté mon orgueil à 2 balles et je m'abandonnais en frissonnant de plaisir anticipé. Je répondis: "Oui, j'accepte. Faites comme vous voulez."

Amar, debout devant moi me saisit par les cheveux d'une main, sans violence, mais avec fermeté et dit "Tu avais envie de sucer habibi? Alors mets-le dans ta bouche et branle-moi en même temps, il parait que tu le fais bien!". Ce vieux type maigre au sexe énorme et aux testicules pendantes n'était pas très attirant, mais franchement, malgré tout, je dois reconnaitre sa personnalité atypique avait quelque chose d'intrigant pour moi.

Alors je pris malgré tout son sexe dans ma main, dont j'arrivais tout juste à faire le tour, et commençais à le masturber sans grande conviction, alors que Raphaël derrière moi me caressait le sexe et les fesses tout en me faisant comprendre par des attouchements précis, qu'il voulait que je les écarte et que je me cambre. J'écartais donc les genoux et creusais les reins le plus possible comme il me le demandait et il commença à me doigter. Très progressivement, je me dilatais au fur et à mesure qu'augmentait le nombre de ses doigts, sans que je ressente la moindre douleur. Excité, je me mis à masturber Amar avec plus d'ardeur, fermant les yeux à demi. Je n'étais toujours pas décidé malgré tout à lui faire la fellation qu'il m'encourageait à lui prodiguer une fois encore en me tirant plus fort par les cheveux. Puis Raphaël commença à me malaxer le sexe, tout en continuant à me pénétrer de ses gros doigts et cette fois je commençais à gémir très fort et sans aucune retenue. Il me dit doucement l'oreille: "tu dois le prendre dans ta bouche". Ouvrant  les yeux, je me rendis compte qu'Amar s'était assis au bord du pouf, les jambes écartées. Il avait les yeux un peu hagards, la bouche humide et ma masturbation l'avait mis en complète érection. C'était incroyablement énorme. Il m'attira fermement entre ses cuisses, puis il se mit à me pincer très fort les tétons, à me les tordre et à me les tirer dans tous les sens.

Excité par cette intense et exquise douleur, comme dans un état second, je cessais de résister quand il me plaça fermement l'extrémité de son énorme engin entre les lèvres et je commençais à lui sucer le gland avec empressement. Raphaël me saisit les bras d'une main et me les maintint fermement dans le dos, alors que j'étais toujours à genoux sur le tapis. "Laisse toi aller tu vas voir, je suis sur que tu vas aimer." Mais paniqué d'être immobilisé de cette façon, je voulu résister, alors qu'Amar me tenait toujours par les cheveux. Raphaël continuait à me demander d'une voix douce mais ferme de me calmer. Je l'écoutais et repris ma sérénité petit à petit. Puis, je compris que maintenant il ne se servait plus de ses doigts, mais qu'il me sodomisait vraiment et à fond, car son bassin cognait fortement contre mes fesses et je sentais à certains de ses coups de reins, ses testicules toucher les miennes et que de ne pas pouvoir bouger augmentait mon plaisir. Sa grosse queue noire massait ma prostate au plus profond de moi, c'était le plaisir que je recherchais. Puis, Amar cessa de me pincer le bout des seins pour me maintenir la tête avec ses deux mains. Il m'insultait en arabe, puis aussi dans son mauvais français, disant que je suçais bien et qu'il n'avait jamais encore rencontré quelqu'un aimer ça autant que moi: Ca m'excitait énormément, je l'avoue, d'être bousculé de cette façon. Puis j'entendis Raphaël dire qu'il allait jouir, alors que son sexe qui allait et venait en moi faisait un bizarre bruit de succion. Il me lâcha les mains et se retira tout à coup pour me faire pivoter sur moi-même. Il me plaça son sexe entre les lèvres en disant "Allez suce! Tu vas aimer ce que je vais te donner" Amar en profita pour se placer derrière moi. Il était tellement pressé, tellement excité, qu'il me pénétra sans aucun autre préliminaire, d'un seul mouvement. Immédiatement je ressentis une vive douleur qui me fit grimacer et gémir, mais dilaté et mouillé comme j'étais, ça ne dura que quelques instants et la douleur se transforma très vite en plaisir. Je sentais son énorme morceau m'ouvrir et me remplir complètement. Il dit "je te la mets jusqu'aux couilles, petit enculé". Puis il commença à baiser de plus en plus fort. Il me secouait tellement qu'il était difficile pour moi de pouvoir garder le sexe de Raphaël entre mes lèvres qui, alors que son orgasme arrivait à son paroxysme, me traita de tous les noms, et il éjacula son sperme en trois ou quatre longues giclées. Je fermais les yeux et j'avalais tout. Je m'écartais les fesses avec les mains le plus possible pendant qu'il prenait plaisir à ralentir sa cadence et aussi à parfois se retirer complètement de moi quelques instants avant de me pénétrer de toute sa longueur ou bien seulement avec son gland.

Le plaisir devenait si intense que je suppliais Amar pour qu'il m'encule plus vite et plus violemment. Sans cesser de me pénétrer, il s'assit pratiquement sur le bas de mon dos et cette façon de faire me donna l'impression que son sexe avait encore augmenté de volume, ce qui me fit jouir presque immédiatement à deux reprises, presque coup sur coup. Puis à son tour le vieux me fit me retourner vers lui, me saisit la tête de ses deux mains, mit son sexe dans ma bouche et il jouit un peu de sperme très liquide, en poussant un cri rauque. J'avalais tout cette fois encore et je basculais, m'affalant sur le tapis.

520 1000

Un moment après, alors que je reprenais petit à petit mes esprits, allongé sur le tapis, je fus intrigué par des éclairs lumineux, je levais la tête et je me rendis-compte qu'Estéban était là, dans un coin de la pièce et photographiait au flash. Depuis quand exactement? Je ne m'en étais pas rendu-compte, mais j'imaginais bien qu'il n'avait pas dû se gêner pour nous mitrailler sous tous les angles. Que voulait-il faire de ces photos exactement?

Voyant que je l'avais aperçu, il me dit, avec l'air sérieux "Je t'avais dit que si tu venais me voir tu ne serais pas déçu!" il rajouta en rangeant son appareil photo reflex: "Il faudra que tu viennes passer quelques jours à Essaouira, au cours de prochaines vacances, j'ai un ami qui me prête sa villa. Tu verras c'est un cadre magnifique, en bord de mer et tranquille en dehors de la ville. Tu penses pouvoir te joindre à nous? Je répondis que je ne savais pas encore, peut être que oui, mais que de toutes façons il faudrait que j'ai l'autorisation. Il réfléchit quelques secondes et dit -"nous en reparlerons tranquillement après la rentrée, mais effectivement, tu devras demander à tes parents".

Il réfléchit quelques instant et rajouta -"il faudrait qu'un ami puisse venir aussi pour t'accompagner, sinon je ne pense pas que tu puisses avoir cette autorisation. Tu as une idée de qui ça pourrait être?". Je dis - "Il faut d'abord que j'en parle, j'ai le temps d'y réfléchir et il faudra que je cherche un prétexte également". Il acquiesçât en disant -"Oui tu as raison on a le temps d'y penser, mais j'y tiens absolument, tu sais! En attendant va prendre une douche bien fraiche, tu en as bien besoin non?" Encore tout essoufflé et en sueur, je ne me fis pas prier pour accepter ce qu'il me suggérait.

Encore nu, en passant devant lui alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je sentis son regard intense fixé sur moi.

Alors que j'étais sous le jet de la douche depuis seulement quelques instants il me rejoignit. Il était en slip.

- "Assied toi sur le banc je vais te laver".

Je m'assis sur le siège en bois où le jet de la douche tombait toujours sur moi. Estéban commença à me frotter le dos et la poitrine à l'aide d'un gant enduit d'argile. Je me rendis-compte tout de suite qu'il était en érection. Il me demanda de me remettre debout et commença à me laver le bas du dos, les cuisses et les jambes. - " Tu as vraiment une belle queue" dit-il en me caressant le sexe "elle est vraiment longue et je trouve que c'est excitant,  mais franchement, ce qui me plait le plus chez toi, ce sont tes jolies fesses musclées" Il resta quelques minutes sans rien dire et ajouta -"C'est vraiment rare, crois-moi, pour un garçon de ton âge d'avoir un cul comme le tien! Incroyable! Tu aussi large que certaines femmes qui pratiquent depuis des années! Tu sais, tout à l'heure, tu ne t'en es pas rendu-compte, mais j'étais là, depuis le moment où vous êtes allés à l'intérieur avec Raphaël et Amar". Il rajouta en souriant: -"Avec Raphaël ça s'est bien passé, je n'en suis pas surpris car comme il est membré à peu près comme moi, je savais que ça allait le faire, mais avec Amar, honnêtement au début, j'ai cru qu'il allait te défoncer... Mais en fin de compte, il n'a pas fallu longtemps pour que tu commences à apprécier!" Il sourit franchement en disant "Je n'en reviens toujours pas! Il faudra qu'on te prenne en double la prochaine fois, je suis sur que c'est ce qu'il te faut pour te calmer. Dis-moi espèce de petit cochon, tu avales la fumée de façon tellement naturelle... On voit que tu aimes ça... Ca donne l'impression que tu pratiques depuis longtemps, je me trompe?" Je fis "non" de la tête et dis "J'ai toujours fait ça depuis j'ai commencé à sucer mon cousin quand j'avais 10 ans. Au début ça me dégoûtait d'avoir le sperme dans ma bouche, mais F., mon cousin me disait que je devais avaler, alors je le faisais. Maintenant j'aime bien." je rajoutais " Mo disait que si je suis dilaté, c'est parce que j'ai commencé trop jeune à me doigter, mais Gisèle dit que c'est naturel, que c'est de famille, que je suis comme ça, en fait, elle pense que je tiens de ma mère".

- "Ah bon?" dit-il "ta mère est large? Comment tu l'as su?"

Je lui racontais, sans trop entrer vraiment dans les détails, comment j'avais assisté, sans qu'elle le sache, au casting que maman avait fait pendant que mon père était parti au Maroc et qu'il était difficile pour lui de nous envoyer de l'argent. Le monsieur responsable du casting lui avait dit qu'il n'avait jamais vu une femme comme elle".

- "Elle faisait un casting? Et ensuite elle a tourné un film porno?"

- "Je ne sais pas, je pense que oui, car elle était partie 2 ou 3 jours en Belgique avec un copain et je sais que Henry, le responsable du casting habitait la bas."

- "En Belgique? oui tu as raison ça devait être pour le tournage. Tu sais comment elle se faisait appeler par Henry ta mère?"

- "Oui il l'appelaient Claudia".

- "Claudia? je vais essayer de me renseigner si elle est connue dans le milieu du X. Et cette Gisèle dont tu parlais, c'est qui au fait?

- "Gisèle est ma meilleure amie. Elle a 25 ans, mais c'est ma confidente. Elle me raconte tout sur elle et moi je lui raconte tout sur moi aussi."

L'effet des gâteaux commençait à diminuer petit à petit et je me rendis-compte que j'étais allé un peu trop loin dans mes explications, il avait tellement hâte de tout savoir que j'avais peur qu'il ne garde pas ces secrets pour lui. Je répliquais simplement "Je t'expliquerai un autre  jour, ce serait trop long maintenant."

Il dit "Comme tu veux, tu me raconteras tout cela si tu en as envie une autre fois. Si tu viens à Essaouira peut être? Au sujet des photos tu serais d'accord pour en faire d'autres?" je fis la tête encore une fois de celui qui hésite. Il insista "Je commence à te connaitre et je pense que ça t'exciterait de te faire photographier ou filmer! J'ai raison?"

- Oui il avait raison ça m'excitait déjà juste de penser que je pourrai faire comme maman, mais je répliquai "Peut être, je ne sais pas on verra bien! Je ne sais même pas si je pourrais aller à Essaouira de toutes façons.

- "C'est vrai" dit-il "je suis un peu trop pressé" Il rajouta  "J'ai même pris pas mal de photos cet après-midi. Tu voudras les voir quand elles seront développées?" Je fis oui de la tête et dis "tu vas les montrer à qui ces photos?

- "A personne en particulier, ne t'en fais pas c'est seulement pour moi" Dit-il. Bon et bien rhabille toi maintenant, tu as vu l'heure? Ton père va s'inquiéter, je vais appeler un taxi pendant ce temps".

Vingt minutes plus tard j'avais rejoins mon père où nous avions rendez-vous. La nuit était presque tombée et la chaleur était beaucoup moins intense, nous allions pouvoir rouler sans trop souffrir, car il y avait presque deux heures de routes pour retourner chez nous. Papa me demanda comment j'avais passé l'après-midi, si je ne m'étais pas trop ennuyé. Je lui répondis que j'étais allé chez un copain de l'internat et que tout c'était super bien passé, qu'on s'était baigné et qu'on avait filmé et pris des photos. Il me demanda ne pas dire à maman que nous n'étions pas restés ensemble et dit que c'était un petit secret entre hommes. Je promis et j'en profitais pour lui dire qu'on m'avait invité à Essaouira pour un concert de musique (je savais que ce concert existait) et que j'aimerais bien y aller. Il me dit qu'il allait y réfléchir, en parler avec maman, mais qu'à priori il n'y voyait pas d'inconvénient à partit du moment où je n'allais pas y aller tout seul.

Il me restait à convaincre maman et aussi trouver quelqu'un qui voudrait bien m'y accompagner. J'avais bon espoir d'y arriver et j'avais vraiment envie de revivre encore des instants comme l'après-midi que je venais de passer.

305 1000

 

Par billy - Publié dans : adolescence - homosexualité - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus