Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 08:52

C'était l'été... les "grandes vacances" étaient là! enfin. Fini pour presque trois mois, la mafia de l'internat, les cours, les profs débiles et les pions .

En attendant août et les congés de mon père pour partir vers la France via l'Espagne en voiture,  nous avions la fin du mois de juin à passer à la maison. Il était prévu que nous irions à la plage passer quelques semaines en juillet. Le matin j'allais retrouver les copains chez l'un ou l'autre. Nous nous baladions en vélo, sans but précis mais sans nous ennuyer non plus. Des filles se joignaient à la petite bande parfois, mais elles étaient toujours moins nombreuses que les garçons et faisaient l'objet de toutes les convoitises. Durant la journée, sous les yeux de tous elles étaient "intouchables" pour la plupart, on pouvait espérer qu'elle seraient moins farouches pendant les quelques "boums" (interdites aux parents) qui ne manqueraient pas d'avoir lieu pendant les vacances.

Il faisait chaud pendant ces mois d'été au Maroc et la sieste était de rigueur au début de l'après midi. Ensuite, chaque jour, j'allais rejoindre les autres, copains et copines, à la piscine.

Mon frère, ma sœur et moi-même avions chacun notre chambre depuis le début des vacances. Auparavant mon petit frère dormait dans la même pièce que moi, mais mes parents avaient décidé d'aménager pour lui celle qui jusqu'à présent servait de bureau. Même si je l'aimais bien, j'étais très content de ne plus l'avoir constamment avec moi.  Ma sœur avait également sa chambre: Elle nous en interdisait l'entrée et nous prenions un malin plaisir à y pénétrer à l'improviste et particulièrement quand elle se déshabillait... Elle hurlait et maman prenait sa défense... Cela ne nous empêchait pas de recommencer dès le lendemain...

Je trouvais les débuts d'après-midi de siestes ennuyeuses... Je ne dormais pas. Je lisais la plupart du temps ou je rêvassais. Mais il faisait tellement chaud dehors qu'il fallait bien attendre quelques heures pour que la température baisse un peu avant de pouvoir sortir.

Mon copain G. m'avait prêté quelques livres de photos et de textes pornographiques piqués à ses parents. Je les cachais tout en haut d'un placard et je me masturbais en regardant les belles suédoises blondes avec les cuisses grandes ouvertes et leurs magnifiques poitrines. Il y avait un bouquin qui me plaisait particulièrement car il contenait des photos faites par des amateurs et ça se voyait : Elles n'étaient pas d'excellente qualité pour la plupart, mais je les trouvais très excitantes, car elle "faisaient vraies". Des femmes de 20 à 50 ans, parfois plus âgées, posaient sans aucune pudeur devant l'objectif par série de 4 à 6 pauses pour chacune d'entre elle. Elles offraient pour mon plus grand plaisir la vision de leurs chattes poilues et parfois mouillées et de leurs fesses écartées, parfois de leurs seins fatigués... Elles n'avaient rien de top modèles, mais c'était des femmes ordinaires, plus ou moins jolie mais rien extraordinaire. Je me souviens qu'à la fin du magazine il y avait une adresse pour celles qui désiraient envoyer leurs photos et aussi un modèle de lettre pour donner l'autorisation de publier leurs clichés. Il était précisé que seules les photos non retouchées et dont les pauses étaient les plus naturelles pourraient faire l'objet d'une publication dans le prochain numéro. J'avais remarqué que les pages centrales (la lauréate du précédent numéro) de l'exemplaire que G. m'avait confié avaient été arrachées et je me dis que j'allais le faire râler en lui demandant s'il les utilisaient pour se faire plaisir le soir dans son lit.

J'étais généralement en slip sur le lit et les volets étaient presque complètement fermés, mais entrebâillés  malgré tout pour laisser passer assez de lumière pour pouvoir lire. Un jour, je vis comme une sorte d'ombre qui passait devant ma fenêtre. Celle-ci donnait sur le pignon, derrière la maison. Tout de suite je n'y prêtais pas attention, mais cela recommença. Sans me lever, je me tournais pour observer sans laisser rien paraitre. L'ombre revint et je m'aperçus que c'était quelqu'un qui observait à travers la fenêtre. Au bout de quelques instants je me levais tranquillement, comme pour me rendre aux toilettes, puis je montais au grenier et regardais discrètement par une lucarne. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que c'était notre jeune voisine, son papa était marocain et sa maman était alsacienne je crois, qui était grimpée sur une caisse en bois qu'elle avait du tirer jusque sous ma fenêtre pour regarder dans ma chambre. A cette heure de l'après-midi personne ne risquait de la surprendre car il n'y avait personne dehors. Nous la connaissions bien, elle se prénommait Malika, son frère était un copain et elle venait parfois à la maison pour voir ma sœur, qui était pourtant plus jeune qu'elle. Jusque-là je ne lui avais jamais prêté  particulièrement attention. J'avais à peine remarqué quelle était jolie. Sa curiosité un peu perverse m'amusait et me flattait malgré tout et je décidais de jouer le jeu. Je retournais dans ma chambre et pris les bouquins porno que je commençais à feuilleter. Je vis de nouveau l'ombre passer dans ma chambre. Elle devait être de nouveau à son poste d'observation. J'enlevais négligemment mon slip. L'ombre ne bougeait pas. Je me tournais petit à petit vers la fenêtre tout en faisant attention de bien rester dans le trait de lumière et je commençais à me toucher le sexe. Aucune réaction, elle continuait donc à me regarder. Maintenant j'étais complètement en érection  et je commençais à me masturber réellement, de plus en plus vite et de plus en plus fort. L'ombre bougea et je vis parfaitement que cette fois Malika était carrément montée sur le rebord de la fenêtre et qu'elle me regardait franchement, en me faisant signe d'approcher et d'ouvrir la fenêtre. Un peu embarrassé par mon érection je fis ce qu'elle demandait et tout de suite, remontant sa robe au dessus de ses genoux, elle se laissa glisser dans ma chambre. J'allais lui parler, mais elle mit un doigt sur ses lèvres et immédiatement entoura ses bras autour de mon cou et posa sa bouche sur la mienne. Contrairement à ce que j'avais pensé d'elle, ce n'était certainement pas son premier baiser car elle se servait très bien de sa langue dans ma bouche. Elle enleva très vite et sans que je lui demande, son foulard et l'espèce de longue robe couleur pêche qu'elle portait. Dessous c'était étonnant, elle était en short et en t shirt noirs. Ses cheveux étaient très bruns et très longs, retenus en queue de cheval. Elle s'allongea sur la descente de lit et me demanda à l'oreille si la porte était fermée à clé. Je lui répondis que personne ne viendrait dans ma chambre et que tout le monde se reposait. Elle sembla rassurée et sourit et je trouvais ses dents magnifiques. Des dents de carnassière. Elle m'attira près d'elle mais je lui indiquais qu'on serait mieux sur le lit plutôt que par terre. Elle fit "non" de la tête et enleva son t-shirt en dévoilant des petits seins avec des tétons étonnamment longs. Elle fit la moue en les regardant et me sourit encore. Je m'allongeais près d'elle comme elle voulait et tout de suite elle plaça son visage au dessus de moi et prit mon sexe dans sa bouche en me masturbant légèrement. Je n'avais jamais eu d'érection aussi forte. Elle suçait aussi bien qu'elle embrassait. J'essayais de lui enlever son short mais je n'y arrivais pas! Tout en continuant sa fellation elle le dégrafa elle même et l'ouvrit. Elle ne portait rien dessous. Je lui fis signe de l'enlever, mais elle voulu seulement  le baisser en dessous des fesses. Sa toison pubienne de brune était vraiment fournie et montait haut sur son ventre en rejoignant son nombril par une fine bande de poils noirs. Je trouvais ça très excitant. Pendant qu'elle me suçait je devais lui pincer le bout des seins et tout de suite elle respirait très fort et gémissait. Je remarquais avec surprise qu'en même temps elle se pénétrait l'anus avec ses doigts. Elle prit ma main pour la mettre entre ses cuisses. C'était la première fois que je faisais ça. C'était très ouvert, doux, gluant et ça sentait fort: Une odeur excitante. Je voulais qu'elle enlève son short complètement, mais elle continuait à me sucer encore et encore. J'allais jouir mais je n'osais pas le faire dans sa bouche. Elle m'empêcha de me retirer quand j'éjaculais et je pense qu'elle jouissait aussi avec mes caresses, mais aussi certainement par les pénétrations anales de ses doigts.

Elle se releva, me regarda un instant avec des yeux pétillants et coquins et avala. Puis elle mit son nez dans mon cou en m'embrassant et dit très doucement "c'était bon?" Je ne répondis rien mais j'attirais son visage et je l'embrassais pendant de longues minutes. Je n'avais pas envie quitter sa bouche et je suis certain qu'à cet instant c'était la même chose pour elle. Elle n'avait pas encore16 ans.

Par billy - Publié dans : adolescence - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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