adolescence

Samedi 2 janvier 6 02 /01 /Jan 18:30

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C'est ce samedi  25 mars que je dois aller chez Gisèle pour gagner de l'argent de poche en faisant la nurse pour Jean-Michel, son fils de 3 ans. Cela m'est déjà arrivé deux ou trois fois lorsque Hanane sa jeune "fatma" marocaine n'était pas disponible. Gisèle est invitée quasiment  chaque week-end à des soirées et à des fêtes depuis qu'elle n'est plus en couple. Les européennes célibataires ne sont pas nombreuses, à part les plus jeunes filles qui habitent avec leurs parents mais ces dernières sont surveillées de très près. Ce soir cela se passe au "7": c'est le numéro de la villa ou les français coopérants (jeunes enseignants ou ingénieurs récemment diplômés effectuant leur service national) habitent en communauté. C'est une des adresses réputées de la petite ville minière, pour les expatriés européens qui s'y retrouvent chaque weekend pour faire la fiesta: danser, s'amuser, boire et draguer.

Mes parents accompagnés de mon frère et de ma sœur sont partis dans la matinée pour passer Pâques à la plage et y installer pour la toute première fois cette année, notre tente qui restera en place pour tout l'été. Ils reviendront lundi soir. Papa avait hésité car il trouvait que c'est un peu tôt pour la saison (car nous ne sommes qu'à la fin mars en cette année 1967). Ils n'ont pas vraiment insisté pour que j'aille avec eux car ils comprennent bien que j'ai besoin d'indépendance et de liberté pour vivre petit à petit ma propre vie.

Je suis resté seul avec notre gros et gentil chien qui se demande, en me faisant des yeux tristes si je vais l'emmener avec moi ou pas. Je ne me laisse pas apitoyer et lui promets en lui remplissant ses gamelles d'eau et de pâtée que je reviendrai dès le lendemain matin. Il est déjà presque 14h. J'enfile les bretelles de mon sac à dos où j'ai entassé quelques bouquins, des affaires de rechange et ma trousse de toilette, puis j'enfourche mon vélo et file chez Gisèle. Quand j'arrive je suis étonné de voir que Paco est là. En effet l'ex mari de Gisèle a quitté le foyer depuis plus de six mois. Il m'explique qu'il part passer Pâques dans sa famille dans le nord du Maroc, mais que cela n'a été décidé qu'au dernier moment. Il est donc venu récupérer son fils et il m'attendait pour me prévenir, sachant que je devais le garder ce soir. Il tient absolument à me payer quand même, même si je suis un peu gêné de prendre ce billet que je n'ai pas vraiment gagné; mais il insiste et j'accepte malgré tout. Je lui demande, alors qu'il part en tenant la main de Jean-Michel, où se trouve Gisèle et il m'indique la salle de bain en disant

-" Il va te falloir de la patience car elle en a encore pour un sacré moment, tu sais!" Je lui souris en lui faisant un signe de la main qui signifie que je ne suis pas pressé.

Alors que Paco vient juste de partir, contrairement à ce qu'il pensait, la porte de la salle de bain s'ouvre et Gisèle entre dans la salle de séjour. Elle est nue à l'exception d'une serviette nouée sur la tête. C'est seulement la deuxième fois que je la vois ainsi et je ne peux m'empêcher d'être interloqué en voyant sa toison pubienne châtain clair car jamais je n'avais imaginé qu'une chatte puisse avoir des poils aussi longs. Pourtant j'avais déjà vu pas mal de toisons de filles nues, même si pour être honnête ce n'était qu'en photos. En fin de compte je n'ai jamais vu réellement d'autres femmes nues que ma mère et Jacqueline, la mère de mon copain G. qui étaient bien fournies, comme la plupart des brunes mais cependant bien moins que Gisèle.

- " Excuse moi de t'avoir fait venir pour rien Billy! Tu as raté le weekend à la plage avec tes parents du coup!"

-"Je ne voulais pas y aller de toutes façons, ce n'est pas grave. Paco m'a donné de l'argent de toutes façons. Je dois aller chez G. mon copain, je ne sais pas s'ils ont prévu de partir eux aussi."

- "Je ne pense pas, parce que Jacqueline m'a dit qu'ils étaient invités au "7" pour l'anniversaire de Ginette. Si tu veux tu peux venir avec moi ou tu peux rester ici, c'est comme tu préfères."

Sans aucune pudeur, comme si je ne n'existais pas, elle se passait la serviette entre les cuisses et entre les fesses, posant un pied après l'autre sur une chaise. Son manque de pudeur ne me laisse pas indifférent.

-"Je ne sais pas encore ce que G. voudra faire."

- "Il peut très bien venir ici avec toi après la soirée, pour te tenir compagnie, car je ne sais pas encore si je rentrerai ici: c'est comme vous voudrez, il y a de la place. Tu veux que je te sorte le carton du placard?" Elle souriait et me fit un petit clin d'œil, me faisant comprendre de quoi il s'agissait.

Je décidais de tenter d'avantage:

- "Oui je veux bien! Et aussi celui de tes photos?" Elle ne sembla pas surprise ni fâchée par ma demande, mais hésitait malgré tout.

- "Tu es bien certain que si G. les voit il n'en parlera à personne?"

- "Ne t'en fait pas, si je lui dis de ne rien dire il n'en parlera pas."

- " Bon je suis d'accord, mais ça risque de vous mettre dans tous vos états les garçons! Vous allez faire des folies ensuite, tous les deux seuls ensemble!" Elle alla chercher les boîtes en carton dans sa chambre et me la déposa entre les mains.

-"Mais non, tu sais bien qu'avec lui je ne ressens rien, c'est juste un de mes meilleurs potes."

- " Oui je veux bien te croire, mais tu m'as quand même dit qu'un jour vous vous êtes sucés à tour de rôle et qu'ensuite il t'avait sodomisé non? Et si cette fois c'est toi qui l'enculais pour changer? Il appréciera sans doute et toi aussi, qui sait?"

-"Mais non je te répète qu'avec les hommes je suis toujours passif et qu'avec lui je ne l'ai fait qu'une fois sans rien ressentir d'agréable, au contraire." Elle rit:

- " Tu es pareil que moi, pour que ça te plaise il faut que ce soit déjà d'un bon format!"

- "Oui c'est vrai, mais ça aussi je te l'ai déjà dit, il me faut des gros gabarits pour que je puisse arriver à jouir sans avoir besoin de me masturber."

- " Et quelle est la posture où tu arrives à prendre ton plaisir le plus facilement ?"

- "Quand je suis allongé face à mon partenaire avec un coussin posé sous les fesses et qu'il me tient les cuisses en me les écartant les le plus possible, c'est comme ça que j'éprouve le maximum de sensations."

- " Tu m'étonnes! Dans cette position ça va encore plus loin qu'en levrette parce que le gland de ton partenaire appuie juste comme il faut sur la prostate!"

- "Oui à quatre pattes j'aime aussi, mais dans cette position pour que je parvienne à prendre mon pied il faut que ce soit vraiment un très gros diamètre.

- " Comme celui de Amar par exemple?"

- "Oui je reconnais que ça a été pour moi une expérience incroyable et inattendue!" Elle reprit la conversation au sujet de mon copain.

- " Et G.? Il tient les deux rôles? "

- " Oui il fait les deux: Mais lui, il n'est pas comme moi, il n'aime que les hommes."

-" Oui c'est vrai, toi c'est différent et c'est mieux.. tu fais le mec avec les filles et tu fais la fille avec les mecs!." elle riait nerveusement en m'effleurant l'entrejambe et me tapotant les fesses. Elle sauta du coq à l'âne encore une fois:

-" Au fait tu as trouvé la mallette dans l'atelier de ta mère avec son journal intime?

-"Oui heureusement le numéro du cadenas n'a pas été changé, je te raconterai en détail plus tard, je vais vite chez G. pour voir ce qu'il fait et ensuite je reviens te dire si je vais avec toi au "7" ou pas. Tu m'attends!"  

J'enfourchais mon vélo et filais chez mon copain. La R16 était garée devant la porte, donc ils n'étaient donc pas encore partis. J'entrais dans le jardin et Ahmed le jardinier, un jeune marocain d'environ 19 ans me salua d'un grand sourire en me demandant si j'allais rester ici ce soir.

Je le connaissais bien car avec G. on le branchait parfois, pour savoir ce qu'il pensait du sexe. Un jour il nous avait dit qu'il se rasait le pubis et les testicules et il avait alors baissé son short et nous avait même fait voir comment il arrivait à le faire avec une simple lame de rasoir... Nous avions peur qu'il se coupe, mais en même temps c'était émoustillant de regarder cette grosse et lourde queue brune décalottée en semi-érection. G. n'avait pu s'empêcher de la toucher du bout des doigts et j'avais compris immédiatement qu'ils étaient déjà allés plus loin tous les deux. Pour dire la vérité si l'occasion s'était présentée à moi, je ne l'aurais pas refusée, car les sexes de ce format me troublent dès que je les vois. Une fois, G. m'avait confié qu'il avait surpris Ahmed monté sur un figuier; il s'était aperçu que c'était pour guetter sa mère dont la fenêtre de la chambre donnait juste en face. Il lui avait demandé s'il ne se sentait pas trop gêné de l'épier ainsi, avec en plus son père présent dans la maison? Le jeune marocain lui avait dit que Jacqueline savait qu'il la regardait, et qu'elle se promenait nue chez elle intentionnellement. Pour pousser Ahmed dans ses retranchements il l'avait menacé de tout raconter. Paniquant à l'idée de se faire virer, le garçon avait fini par tout lui révéler en détails. Tout avait débuté quelques semaines plus tôt, quand Jacqueline, un matin, lui avait ouvert la porte en chemise de nuit. A partir de ce jour, d'après le jardinier, elle le recevait systématiquement en petite tenue: Le plus souvent en nuisette, parfois en robe de chambre ouverte sans rien dessous, parfois enveloppée dans une simple serviette. Après avoir été questionné, Ahmed disait qu'au début il ne savait pas pourquoi cette femme qui avait l'âge de sa mère le provoquait ainsi. C'est seulement plus tard qu'il avait compris qu'elle prenait plaisir à se montrer nue, car elle se comportait comme si elle avait été parfaitement seule dans la maison, sans sembler lui prêter attention.

Après avoir hésité un moment, j'osais demander à G. s'il pensait que sa mère avait eu des relations plus intimes avec le jeune jardinier: Il hésita et finit à contrecœur par m'avouer qu'il n'en savait rien, parce que Ahmed lui avait juré le contraire, en invoquant Allah, qu'il n'avait jamais rien fait d'autre que de "chouffer" en se branlant."

G. semblait vouloir y croire, bien qu'il soit peu plausible que ce jeune étalon arabe se contente uniquement de regarder sa chaude et jolie quarantenaire patronne déambuler nue devant lui.

Puis je finis par comprendre que ce n'était pas l'attitude de sa mère qui faisait nier l'évidence à G., il connaissait trop bien son côté sombre pour ça, mais d'avantage parce qu'Ahmed lui accordait ses faveurs et qu'il était jaloux que ce jeune marocain viril ne se contente pas de sa personne, mais qu'il apprécie également la croupe épanouie de l'expérimentée Jacqueline.

J. le père de G. m'accueilli chaleureusement. Il m'aimait bien depuis que j'étais allé à plusieurs reprises en camping à la plage avec eux. Moi aussi je l'appréciais car il accordait beaucoup de temps à son fils, donc à moi-même durant ces weekends à la mer, nous apprenant à plonger, piloter les bateaux, pêcher et même parfois tirer à la carabine à plombs. Mon père, malheureusement, n'était pas autant disponible que lui pour ces distractions.

Il me dit de l'attendre quelques instants pendant qu'il prévenait son fils de ma présence. Il me précisa que G n'était pas très en forme depuis le matin. Jacqueline, sa femme entendant ma voix, apparu dans un bruit de chasse d'eau. Elle sortait des toilettes, drapée dans un court peignoir qui ne cachait que l'essentiel. Elle se dit surprise de me voir à cette heure; alors qu'elle me faisait la bise, la serviette se détacha et tomba à ses pieds et je pus vérifier pendant le bref instant où elle se baissait sans aucun stress pour la ramasser, que ses nichons étaient toujours aussi fermes et son mont de Vénus toujours aussi fourni, large et bombé qu'il l'était dans mes souvenirs de vacances. Nullement mise mal à l'aise par l'incident, un sein complètement en dehors de la sortie de bain, elle me dit qu'elle pensait que nous étions partis à la plage pour le week-end et je lui expliquais donc que je devais faire la nounou mais que tout cela était tombé à l'eau puisque Paco était venu récupérer son fils etc.  Que j'étais venu pour voir ce que faisait G. ce soir, car j'avais envie d'aller à la soirée anniversaire du "7". Justement mon copain arrivait et je lui fis part de mes projets. Il me dit qu'il ne pouvait pas sortir car il avait une gastro depuis la veille.

-"Pourquoi tu ne restes pas toi ici avec moi, plutôt?" Je le remerciais de la proposition mais lui dis que j'avais promis à Gisèle de l'accompagner; mais que si le lendemain il allait mieux, il n'avait qu'à venir me rejoindre chez elle dans la matinée et que nous pourrions déjeuner et passer le reste de l'après-midi ensemble. Il dit que c'était d'accord. Je lui dis au revoir avec un petit signe de la main à ses parents signifiant: "à tout à l'heure!".

En grimpant sur mon vélo je croisais de nouveau Ahmed qui prit un air hypocrite pour me chuchoter:

- "Tu ne restes pas ici ce soir avec ton copain?" Cette phrase m'éclaira et je compris tout à coup que la gastro de G. ne serait que passagère et dès que les parents seraient partis pour la soirée, le marocain lui appliquerait un remède personnel à base de testostérone. J'eus un bref instant le regret d'être passé à côté d'un moment qui promettait d'être excitant, car j'envisageais réellement que la journée se termine bien pour moi aussi. Cela faisait plus de quinze jours que je n'avais eu aucune relation sexuelle, à part des masturbations, accompagnées parfois de pénétrations, mais qui malgré tout, me laissaient sur ma faim. Depuis quelques nuits il m'arrivait de rêver de fesses et de seins de femmes et encore plus souvent d'énormes queues viriles en érection.

De retour chez Gisèle, il était à peine plus de 16h, je lui expliquai que G. était malade, qu'il n'avait pas pu pas venir et que j'avais décidé d'aller avec elle à la soirée. Elle sembla satisfaite de s'y rendre en ma compagnie. Elle s'était habillée d'une robe indienne, (le début de la mode hippie se faisait sentir) qui pour une fois n'était pas extrêmement courte, mais qui lui moulait si excessivement les hanches, les fesses et le pubis que cela en était indécent. Je lui dis que je devais retourner chez moi pour mettre un pantalon propre et une chemisette, car n'ayant pas prévu cette sortie, je n'avais pris que des shorts de sport et des tee shirt. Elle répondit qu'elle allait certainement pouvoir trouver quelque chose que je puisse mettre dans les affaires que Paco avait encore dans son armoire. Et en effet, un instant plus tard elle apporta un bermuda blanc assez sympa. Je l'essayais devant elle, mais elle fit la moue affirmant que comme j'avais de plus grosses fesses que son ex mari et qu'on distinguait nettement les élastiques du slip sous le pantalon. Mon reflet dans un miroir me le confirma. Idem avec les autres pantalons qu'elle me fit essayer. Il ne me restait plus qu'à repartir à la maison.

- " Tu ne vas pas retourner maintenant jusque chez toi Billy, tu n'as qu'à ne rien mettre dessous et comme ça on ne risquera pas de voir les élastiques. Se rendant compte que je commençais à sourire car j'avais oublié une fois de plus qu'elle ne blaguait que rarement, elle rajouta:

-" Ne souris pas! Je suis très sérieuse! Personne ne s'en apercevra! Ou bien si tu préfères je te prête un de mes slips brésilien comme celui-ci... Regarde!" elle souleva sa robe indienne et arbora une petite culotte mauve qui ne cachait pas plus d'un tiers de sa touffe. (je me disais en moi-même qu'à part un panty de grand-mère, rien n'aurait pu dissimuler entièrement sa toison).

-" Giselle, je te laisse décider ce que tu trouves le mieux pour moi." L'expression de son visage changea tout à coup et elle me fixa soudain avec un air que qui me sembla sévère et presque cruel:

- " Si tu veux me laisser prendre les décisions à ta place, je crains que tu ne te rendes pas vraiment compte jusqu'où je suis capable de te mener Billy." Cette phrase me fit de nouveau comprendre que cette jeune femme était vraiment particulière; c'était une sorte de femelle autoritaire qui à certaines occasions, j'en étais presque certain maintenant, était capable de dépasser les limites de l'acceptable et peut être même d'aborder parfois l'inavouable. Cependant, intrigué, je fis celui qui n'avait pas vraiment compris le message d'avertissement qu'elle me destinait et je répliquais d'un air candide:

-" Mais justement! je n'ai pas peur! bien au contraire."

-" Ah oui? J'ai plutôt l'impression que ça t'excite!" Je laissais plusieurs secondes de silence et en la fixant dans les yeux, je répliquais pour entrer dans son jeu:

-"Ou, ça m'excite de savoir que tu pourrais faire de moi ce que tu as envie." Puis m'avisant que j'étais peut être allé trop loin avec ma réponse, je rajoutais: "mais j'ai confiance en toi." Immédiatement je sentis qu'elle se prenait au jeu, car ses joues étaient soudain devenues toutes rouges et ses yeux brillants d'excitation trahissaient son émotion. Elle marmonna comme pour elle-même:

-" Inconcevable, je n'y crois pas! quel petit obsédé! je sens que je vais être folle de ça!" Puis reprenant à haute voix:

- " Tu sais que devras accepter mes choix, sans à chaque instant me poser tout un tas de questions?"

A ce moment là, je me souviens m'être demandé jusqu'où Gisèle pourrait m'entrainer et si tout cela n'allait pas me mener plus loin que je ne l'aurais souhaité. Mais, je me rassurais en me disant dans que de toutes façons j'aurais toujours la possibilité d'arrêter ce "petit jeu" dès que je le souhaiterais.

Puis elle secoua légèrement la tête, un léger sourire énigmatique aux lèvres et dit:

-" Commençons tout de suite alors, histoire de voir si tu as vraiment saisi. Tu vas bien me regarder en face et me dire que tu accepteras mes choix, quoi que je te demande, même si cela n'est pas toujours tes désirs du moment. Je restais muet, hésitant à proférer cette promesse qui pouvait m'engager à commettre  des actes qui pourraient parfois me dépasser et que je ne pourrais peut être plus contrôler... Elle perçut mon moment de flottement et j'imagine qu'elle eut peur que je me rétracte. Elle redevint la Gisèle que j'avais toujours connu, ses traits avaient repris leur douceur habituelle et ses yeux leur sérénité.

-" Ne panique pas Billy! Je ne vais pas exiger de toi des trucs exagérés. Mais je vois bien que tu apprécies te soumettre sexuellement, que c'est un de tes traits de caractère comme prendre plaisir à dominer les mecs est un des miens." Un ange passa et elle reprise de manière plus vive:

 - " Mais si tu ne te sens pas capable de m'accompagner dans cette aventure, dis-le maintenant et on s'en tient là; cela ne nous empêchera pas de redevenir amis, comme avant!" Son petit discours me semblait juste dans son  analyse et de plus la dernière phrase me rassura sur ses intentions. Je décidais de me jeter à l'eau:

-" Je t'ai déjà dit que je te faisais confiance Gigi, et je promets de faire tout ce que tu voudras. Je te le jure." Elle arbora un grand sourire, mais elle avait les yeux noyés de larmes d'émotion. Elle m'ébouriffa la tête de sa main et chuchota, comme si quelqu'un avait pu entendre :

-" Tu te rases encore le cul comme Momo te le demandait mon petit cochon? ou bien depuis ta rupture avec lui tu as arrêté de le faire?"

 -"Oui, je continue à me raser de temps en temps, j'en ai pris l'habitude et je trouve que ça fait plus propre ."

-" Oui effectivement c'est plus net et pour te lubrifier c'est plus facile n'est-ce pas petite salope? (je remarquais soudain et c'était nouveau, qu'elle employait des mots humiliants envers moi) Quand on commence à se raser ça repousse d'avantage et en plus, ça pique. Alors quand on a commencé à le faire on est obligé de continuer, alors qu'avec l'épilation, les poils repoussent moins vite et plus fins. Remarque, je te dis ça, mais moi je laisse tout naturel".

-"Partout? Même entre les fesses?" Elle baissa son string jusqu'au chevilles avant de répondre en se tournant et en ouvrant ses fesses de ses mains:

-" Regarde par toi-même! je n'ai pratiquement pas de poils!' elle se tourna vers moi et écarta au maximum sa vulve de ses doigts "Ni sur les grandes lèvres d'ailleurs et ils sont toujours restés très fins et blond clair." Elle se tut un instant et rajouta avec une moue: -"Par contre, à chaque fois qu'un mec me voit nue la première fois, il semble étonné par la taille de mon triangle pubien. D'ailleurs on me dit souvent que ma grosse touffe, ça fait cochonne mais que c'est très excitant! Dis moi ce que tu en penses vraiment, toi." Je décidais de la provoquer un peu:

-"Oui c'est vrai que c'est excitant de voir ta chatte très poilue, comme négligée, mais je préfère comme ça qu'une minette lisse comme celle d'une gamine. Et franchement, je pense que tu dois aimer qu'on se dise en la voyant que tu es une cochonne, sinon tu t'épilerais, ou au moins tu te l'entretiendrais un peu, non?" Ses yeux avaient repris leur éclat scintillant. Je n'arrivais pas à déterminer si c'était de l'excitation ou de l'irritation parce que j'avais percé un de ses secrets intimes. Elle ne tarda pas à me renvoyer la balle:

- "Oui, tu as raison, c'est très excitant pour moi que les hommes me trouvent inconvenable; mais pour toi dis-moi c'est la même chose non? si tu te rases l'anus ce n'est pas uniquement pour l'hygiène, c'est aussi pour qu'au premier coup d'œil on sache que tu aimes la bite? avoue!"  Pour la provoquer et l'allumer d'avantage, j'admis sans détours:

-"Oui c'est vrai, j'aime la bite, j'aime sucer et me faire enculer et c'est pour le faire comprendre, un peu comme une sorte message que Momo m'obligeait à me raser régulièrement." Voyant ce que je venais de reconnaitre, elle décida de me tester aussi sect:

-" Enlève ton slip et aussi ton tee shirt et mets toi à quatre pattes que je vois ça, ensuite tu vas me déclarer à voix haute que tu aimes sucer et te faire mettre, pendant que je te prends des photos.

C'était excitant d'obéir et je me rendis-compte que cela me mettait en érection totale: Je me mis nu, elle revint avec son appareil photo et je me mis à genoux face à elle. Elle se plaça aussitôt derrière moi, précisant qu'elle désirait commencer par des clichés de 3/4 dos, tout en stipulant que malgré tout,  je ne devais pas un seul instant cesser de fixer l'objectif. Pendant qu'elle m'incitait à répéter en boucle la phrase prescrite: "j'aime sucer et me faire mettre", elle tournait autours de moi, prenant de nombreux clichés, m'indiquant au fur et à mesure les positions à prendre pour que je sois ouvert le plus possible: A genoux en cambrant les reins, sur le dos, cuisse et fesses grandes ouvertes, et bien d'autres positions encore.

Puis tout à coup, elle posa sans plus d'explications son appareil sur le canapé et s'assit sur un pouf cuisses écartées et me regarda d'un air dubitatif:

- " On remarque tout de suite que tu te fais souvent sodomiser car tu es bien élargi. Pas nécessaire de te t'écarter les fesses pour te pénétrer à mon avis et malgré qu'à priori tu tiennes ça de ta mère, comme tu le supposes, être aussi ouvert à ton âge, c'est curieux et déconcertant ! Il est certain que cela doit ravir certains messieurs particulièrement bien équipés!"

Sur ces paroles elle repartit dans sa chambre et revint avec une chemisette rouge à petits carreaux qu'elle posa sur le dossier d'une chaise, de coupe trop classique à mon goût.

- " Tu la mettras pour la soirée, ce sera quand même plus chic que ton tee-shirt!"

 J'enfilais ensuite le bermuda: Pas de marques d'élastiques cette fois. J'étais prêt. Sa petite auto était garée devant la maison et elle s'installa au volant laissant remonter sa robe jusqu'en haut des cuisses, comme si je n'existais pas.

Un quart d'heure plus tard, nous étions devant "le 7". Il y avait pas mal de monde d'arrivé déjà. Des gens de tous les âges se trouvaient dans le jardin et encore d'avantage à l'intérieur. Gisèle semblait connaitre pratiquement tout le monde et allait de groupe en groupe pour les saluer, souvent en leur faisant la bise. Avisant un groupe de jeunes de mon âge, je me dirigeais vers eux. Naturellement ils me chambrèrent par rapport à ma chemisette à la coupe classique qu'ils n'avaient pas l'habitude de me voir porter. Il n'y avait pratiquement que des garçons parmi ces jeunes, les filles étaient beaucoup plus intéressées par les jeunes coopérants de 25-30 ans que par nous qui n'en avions que 14 ou 15!

Puis j'avisais Jacqueline qui était assise sur un canapé, entourée d'au moins une demi-douzaine d'hommes, pour la plupart d'âge mur, positionnés en demi cercle face à d'elle. Pas de trace de son mari. Elle portait un chemisier blanc qui laissait apercevoir la dentelle ajourée de son soutien gorge et une jupe plissée jaune citron qui dévoilait ses cuisses. Je me plaçais dans le cercle, face au divan: Une vue plongeante s'offrit à moi et me permit de constater que sa culotte était assortie au soutien gorge, ce qui bien évidemment ne laissait aucun doute sur le fait qu'elle non plus ne s'épilait pas, mais cela ne semblait pas la gêner le moins du monde. Elle me vit et me fit un signe de la main pour que je m'approche d'elle. Elle me lança:

"- Ah te voila Billy! Tu es là depuis longtemps? Tu es venu avec ta grande amie Gisèle? Je ne la vois pas! Ou se cache-t-elle? Approche! Viens près de moi!" J'allais vers elle et elle lança de sa voix cassée de fumeuse: "Vous connaissez Claudia? C'est son fils aîné, le meilleur copain du mien, je l'adore!" Je remarquais très vite que l'un de ces hommes que j'avais déjà aperçu lors d'une soirée précédente l'un de ceux qui avaient fait des commentaires sur le physique et la réputation de maman avait réagi lorsqu'il avait entendu prononcer son prénom. C'était un marocain de plus de 50 ans, moustachu, grand et de très forte corpulence qui se tourna vers son voisin le plus proche, un compatriote plus jeune, frisé et très mat de peau à qui il fit une sorte de grimace et un clin d'œil accentué, qui semblait signifier: "Tu parles si on s'en souvient!"

Jacqueline se rendit-compte également de la réaction des deux types et à leur intention, dit en souriant sur le ton de la plaisanterie: -" Il a été abandonné, le pauvre! Il est tout seul pendant que ses parents indignes sont partis tout le weekend à la plage!"

 Puis deux autres hommes environ du même âge, mais vêtus de façon traditionnelle de djellabas blanches, s'approchèrent des deux premiers pour demander ce qui me semblait être des explications me concernant moi ou maman. En tous cas ils me regardaient tout en écoutant leurs interlocuteurs en hochant la tête. A ce moment Gisèle arriva de je ne sais où et m'apercevant me tendit son verre de punch:

-" Tiens! C'est trop sucré pour moi, je vais plutôt prendre un  verre de rosé de Boulaouane et puis ça va te détendre un peu car tu sembles crispé." Je la remerciais et lui demandais discrètement si elle connaissait ces types qui semblaient bien connaitre ma mère et qui semblaient parler de moi entre eux. A voix basse elle me confia qu'ils étaient des personnalités hauts placés; le plus corpulent, celui que je connaissais déjà était commissaire de police accompagné par un de ses inspecteurs; ceux vêtus des djellabas étaient des hauts fonctionnaires du ministère de la justice. Je lui demandais pourquoi ils étaient là à une soirée privée d'anniversaire, Gisèle me répondit que si on voulait faire des soirées tranquilles, sans être ennuyés il y avait quasi obligation de les inviter, qu'il fallait en passer par là.

-" Bien évidemment, ils laissent leurs femmes à la maison et apprécient danser et se distraire avec les femmes des expatriés européens... C'est le tribut à payer, en quelque sorte..." Au bout de quelques instants elle rajouta en clignant des yeux -" mais comme cela tout le monde y trouve son compte!"

L'inspecteur à la peau mate fit un petit signe de la main dans notre direction et Gisèle fit un signe interrogatif, pointant son index contre sa poitrine. Le type fit "oui" du menton et elle se leva pour le rejoindre. Ils s'isolèrent dans un coin. Je n'avais pas de doute, maintenant j'étais le sujet de la conversation. Gisèle hocha la tête de nombreuses fois en écoutant ce qu'il disait tout en me fixant de temps à autre. Les trois autres les regardaient de loin. Puis Gisèle m'appela. Je finis d'avaler mon verre de punch et allait la rejoindre. Le type avec qui était Gisèle me tendit la main en me souriant: -"ça va Billy? Gisèle, que je connais bien, vient de me parler de toi. Je m'appelle Fouad. Tu sais, tu ressembles beaucoup à Claudia et c'est un compliment. Le commissaire Abdullah, mon chef, est un ami de ta maman et d'après Mme Jacqueline, comme tu es seul ce weekend, il tient absolument à ce que tu viennes au méchoui qu'il organise accompagné de ton amie Gisèle " Je jetais un coup d'œil vers Giselle qui me faisait des signes désespérés d'accepter.

J'étais sidéré par le fait qu'il ait dit que ma mère était une amie de ce commissaire, sans même citer le nom de mon père du coup je n'avais rien compris au sujet de l'invitation et je lui demandais si ce méchoui était pour ce soir.

-" Evidemment Billy! en fin de soirée, par pour demain!" il sortit une boite à cigarettes en métal de sa poche de veston.

-"Tu en veux une?" Je refusais en remerciant, comprenant de quelles sortes de cigarettes il s'agissait. Il rit et lança d'un air entendu: "Tu préfères peut être les cornes de gazelles fourrées au beurre de Marrakech? Il n'y a rien de mieux pour être en forme pour les fins de soirée!" et immédiatement il alla m'en chercher quelques unes sur un plateau qu'il plaça dans une serviette en papier en guise de cornet. Je le gardais à la main, ne sachant pas trop quoi en faire. Je m'étonnais un peu que ce genre de gâteaux soit comme cela à la portée de tout le monde, mais je finis par dire:

-"Merci, j'ai déjà gouté des gâteaux fourrés comme ça, mais ce n'était pas des cornes de gazelles."

-" Et bien vas-y! Ne te prive pas alors! Ce sont les meilleurs gâteaux du Maroc et puis la pâte d'amande fait durer l'effet plus longtemps!" Et il me fit un clin d'œil complice. Je ne voulu pas en manger tout de suite, car je savais l'influence de cette mixture sur mes sens. Gisèle s'approchait pour m'apporter un autre verre de punch, tout en me parlant à l'oreille:

-" Vas y doucement quand même! sinon tu risques de ne pas finir la soirée sur tes deux jambes. Donne-moi les biscuits je vais les mettre dans mon sac à main, les manger maintenant ne serait pas raisonnable. Mais dis-donc ils semblent bien connaitre ta mère! Je ne sais pas trop ce qu'ils cherchent en nous invitant mais c'est l'occasion pour moi de connaitre le milieu aisé des fonctionnaires marocains. Et toi, je te répète: mollo sur le punch, même s'il n'est pas très fort, c'est traitre! Je n'ai pas envie de te ramener sur mon dos." Aussitôt je la pris par le bras et lui confiais:

-"Le gros moustachu je l'ai déjà vu, c'était également dans une soirée et il n'arrêtait pas de regarder maman pendant qu'elle dansait. Il parlait d'elle avec un autre type, un français qui racontait plein de trucs sur elle."

- " Quels genres de trucs?"

-"Des remarques sur son physique et sur sa sexualité".

- "Ils disaient quoi? raconte!"

- "Je ne me souviens plus exactement, mais des choses du genre qu'elle avait une belle cambrure de reins avec de jolies fesses, et qu'il était connu que les femmes dans son genre avec une petite poitrine pratiquent la sodomie. Le français disait aussi à qu'elle avait la réputation de faire l'amour à plusieurs.  ça semblait leur plaire, mais en même temps ils en plaisantaient."

-" Et tu penses disaient la vérité?"

-"Oui, je savais bien qu'il y avait des choses vraies et justement c'est ce qui m'énervait. Ce qui me contrariait le plus, c'est qu'ils en parlent tout en se moquant d'elle."

- "Donc ce qui t'a vexé c'est surtout parce qu'ils la tournaient en ridicule? Pas forcement parce qu'ils la connaissaient de façon intime?"

-"Oui, je ne supportais pas qu'elle soit l'objet de leurs plaisanteries. Je sais bien que maman aime les hommes qu'elle n'a pas d'interdit et parce qu'elle a un besoin important de sexe et, mais je n'aime pas qu'elle soit ridiculisée."

- "Pourquoi tu dis qu'elle n'a pas d'interdit?"

-"Parce que j'ai pu le voir et tout entendre pendant son casting. Elle avait précisé au responsable qu'elle acceptait sans aucune réserve, toutes les scènes qu'on voudrait lui faire tourner. J''ai vu aussi quels genres de photos elle avait accepté de faire quand elle posait  quand elle était plus jeune."

- " Si elle avait refusé de faire certains trucs, elle aurait été moins bien payée. Quand on décide de tourner du porno, il serait ridicule de rejeter certaines pratiques: On accepte tout ou on ne se lance pas la dedans...   Enfin moi, c'est mon avis."

-"Oui tu as raison, mais je peux te dire que même si maman a fait ça parce c'est vrai qu'elle avait un gros besoin d'argent elle y a quand même pris du plaisir. Tu sais, j'ai lu des passages de son journal intime où elle a décrit le casting à la maison et ensuite ses trois jours de tournage en Belgique. Elle raconte avoir pris énormément de plaisir pendant certaines scènes".

- "Je suis surprise car je ne la voyais pas prendre du plaisir devant les caméras. Je pensais qu'elle faisait seulement ça pour l'argent, à cause de vos problèmes financiers. Dans son journal elle précise quelles sont les scènes qui l'ont fait jouir?"

 -"Oui, particulier les doubles pénétrations et les fists."

-" Tu devrais recopier les passages les plus intéressants, car rien ne dit qu'un jour ou l'autre elle ne cachera pas son journal dans un autre endroit." Elle s'interrompit quelques instants et me regarda avec des yeux devenus brillants tout à coup. "Au fait tu as l'expérience du double toi?"

-"Oui, je l'ai déjà fait avec deux hommes comme je te l'ai déjà raconté."

- " Oui je me souviens, tu m'as expliqué que tu te faisais enculer et en qu'en même temps tu suçais l'autre mec; mais est ce que tu t'es déjà fait pénétrer par les deux mecs en même temps?"

-"Non, Estéban l'avait envisagé mais ça ne s'est pas fait. Et toi?"

Il te reste encore des choses à découvrir alors! Tant mieux! oui ça m'est arrivé quelque fois de partouzer, mais j'étais bourrée à chaque fois, donc je n'ai que des souvenirs imprécis." Elle n'alla pas plus loin dans ses explications, je me demandais si elle disait vrai sur les souvenirs incertains ou si elle n'avait pas envie d'en parler. Je décidais de discuter d'autre chose.

 Pour le journal intime de maman, j'y ai pensé et j'ai déjà commencé à recopier quelques passages car certaines pages sont vraiment en mauvais état souvent moisie et l'encre est souvent délavée.

-" J'espère que tu me les feras lire! Bon je vais voir si Jacqueline est invitée demain aussi chez le commissaire de police. En attendant tu devrais danser et t'amuser avec tes amis. Il y a des filles qui n'arrêtent pas de regarder dans ta direction je t'assure!"

Elle avait raison et aussi le sens de l'observation car en effet, Brigitte et Marylène R. deux sœurs qui avaient un an de différence d'âge, M. l'aînée ayant deux ans de moins que moi, n'arrêtaient pas de me fixer de toute évidence. Une autre fille que je n'avais jamais vu les accompagnait. Elle devait arriver de France car elle n'était pas du tout bronzée, contrairement à nous. Je me rapprochais d'elles et je leur fis la bise à toutes les trois. Les joues de la jolie blondinette à la peau blanche rosirent. Je me dis que celle-ci était toute mignonne et encore toute innocente et elle me plut immédiatement. Je ne pouvais me douter à cet instant, que quelques mois plus tard, au cours des vacances d'été ce ne serait malheureusement pas elle avec qui j'allais avoir mes premières vraies relations hétérosexuelles, car elle serait déjà repartie vers la France à ce moment là, mais avec les deux sœurs qui l'accompagnaient, les deux à seulement quelques semaines d'intervalle. Avec Brigitte, qui à treize ans mouillait déjà comme une fontaine dès qu'on lui mettait la main dans la culotte et avec Marylène qui n'en était pas à son coup d'essai et qui à quatorze ans pratiquait l'amour à l'Espagnole tout en se branlant le clitoris qu'elle avait très gros, ce qui m'avait très étonné la première fois que je l'avais vu.

Je discutais depuis plus d'une heure avec les trois filles; des copains s'étaient depuis joints à nous et nous avions entamé une série de slows quand Giselle s'approcha de moi et me demanda discrètement de la rejoindre dans le jardin. Un peu dépité de devoir cesser de danser avec une fille qui me plaisait et qui pour une fois répondait favorablement à mes avances, j'obtempérais malgré tout et fis la bise aux trois filles en leur précisant que j'espérais bien les revoir à la piscine ou ailleurs les jours prochains.

Je rejoignis Giselle sur la terrasse. Je remarquais immédiatement ses yeux brillants et le petit rictus qui lui pinçait la bouche lorsqu'elle était alcoolisée. Elle n'y alla pas par quatre chemins pour annoncer ce qu'elle avait à me dire:

" -Tu as tapé dans l'oeil du commissaire Abdullah, Fouad vient de m'en parler. Ils ont décidé de partir maintenant. Tu es d'accord pour que nous allions chez eux?"

"-Maintenant? Il est à peine minuit! On ne peut pas attendre encore un peu et profiter de la soirée? On ira plus tard!"

" - Non, tu dois partir en même temps qu'eux, sinon ils irons sans nous." J'étais désappointé par cette réponse, pour une des rares fois où je passais une bonne soirée!  Elle rajouta:

"- Et puis ils veulent absolument que je prenne des photos de la soirée et c'est une chance à saisir pour moi, je n'aurais peut être jamais d'occasion aussi belle pour me faire connaitre et aussi pour me faire admettre dans leur société!

Elle me tendit le paquet de cornes de gazelles que je commençais à grignoter en buvant un nouveau verre de punch. Elle rajouta avec les yeux qui flamboyaient:

"- De toutes façons je ne te laisse pas le choix, je ne devrais même pas te rappeler ça! attends ici, ils te feront signe quant ils partiront, moi je passe à la maison chercher mon matériel photo et je vous rejoins".

En plus je devais y aller seul? Je n'étais pas rassuré! -"je préfère t'accompagner Gigi, ensuite nous irons tous les deux ensemble et je ferai ce que tu as prévu."

- "Mais je n'ai rien prévu! il y aura beaucoup d'invités, d'ailleurs tu verras que de nombreuses personnes qui sont ici, vont suivre aussi! Qu'est ce que tu imagines? C'est le rhum qui te monte à la tête ou quoi?" Elle fit demi tour et me planta au milieu de la pièce. J'avais l'impression que la musique était plus forte, la lumière plus vive. La plupart des gens se déhanchaient sur "happy together". Je fermais les yeux un instant. Gigi devait avoir raison, l'alcool m'étourdissait, mais cela ne me rendait pas euphorique, comme les autres fois lorsqu'il m'était arrivé de consommer un peu trop, au contraire. Peut être était-ce l'effet cumulé du punch avec les gâteaux fourrés? De toutes façons je n'avais plus d'autre alternative que d'attendre, alors qu'à cet instant, si j'avais eu le choix je serais rentré à la maison, mais c'était à l'autre bout de la ville et y aller à pied n'aurait pas été prudent. Et puis, pour être honnête je n'avais pas envie de me fâcher avec Giselle qui me laissait entrevoir des instants plein de sensations nouvelles et c'était quelque chose d'excitant. Je patientais.

L'attente ne dura pas longtemps; Fouad vint vers moi et me demanda si je venais avec eux et j'acquiesçais du menton tout en me levant de ma chaise.

- "Suis moi" alors dit il en me tenant légèrement par le coude -" tu as un peu trop bu non?" dit il en souriant.

-"ça va aller, pas de soucis" répliquais-je, m'efforçant de répondre avec un sourire forcé.

Nous rejoignîmes une grosse voiture américaine noire qui était garée dans la rue sous la garde d'un policier baraqué.

- " Mets-toi à l'arrière, si tu veux, je vais conduire. Il fit signe au policier de monter devant avec lui. M. Abdullah nous a précédé avec sa voiture."

 J'ouvris la portière pour m'asseoir sur l'imposante banquette, lorsque je m'aperçus qu'il il y avait déjà un des deux haut fonctionnaire marocain qui y était installé. Il me souris avec bienveillance et je posais la tête sur le dossier, j'étais bien, parfaitement détendu maintenant. Fouad en démarrant dit quelque chose en arabe que je ne compris pas, une sorte de plaisanterie qui les fit rire discrètement. Je lui demandais si l'endroit où nous allions était loin. - " Nous en avons environ pour tente minutes, repose-toi un peu, tu sais Billy la soirée ne fait que commencer!"

Je décidais de suivre son conseil et je fermais les yeux. Mon délassement fut de courte durée, car seulement quelques minutes plus tard, mon voisin posa une question à Fouad. J'ouvris les yeux et vis ce dernier chercher l'interlocuteur du regard dans l'énorme rétroviseur de la Ford; il lui répondit une courte phrase en arabe qu'il termina en français, probablement pour que je comprenne, disant que je ne créerai aucune souci car les biscuits et le punch me rendaient adorable. Il rajouta de nouveau une phrase en marocain où je saisis le prénom Claudia. J'essayais avec difficulté d'ordonner mes idées pour essayer de comprendre le sens de toutes ces paroles, lorsque mon voisin qui s'était placé au milieu de la banquette, tout près de moi, saisis doucement ma main dans la sienne et l'accompagna sous sa robe djellaba. Je découvris sans surprise que la braguette était grande ouverte, dénudant un sexe d'une rigidité de bois, malgré sa taille commune. Je n'étais plus assez clair pour tenter de refuser quoi que ce soit. Je dois reconnaitre que bien au contraire, le fait que cet homme important, ce notable, désire mes caresses, engourdissait mon bon sens et sans qu'il ne me l'ai demandé de façon formelle, je me mis à le masturber lentement. Au bout de quelques instants, il dégrafa totalement son pantalon et attira ma tête vers son entrejambe. Je pris son sexe dans ma bouche sans désir particulier, mais sans répugnance non plus, et commençais à le pomper. Il ne put réprimer un gros soupir de plaisir qui attira l'attention des passagers avant: Le policier se tourna à demi et commença à nous observer avec intérêt ma bouche qui montait et descendait sur le membre du vieux juge avec intérêt. Levant les yeux vers le rétro, je remarquais que Fouad, lui non plus, ne perdait pas un seul instant de la scène. Ces regards qui m'observaient, alors que j'étais en train de faire une fellation provoquèrent en moi d'un seul coup une réaction de plaisir intense, la même que celle que je ressentais lorsque Momo ou Estéban me faisaient avouer à haute voix que j'aimais sucer et me faire mettre par des grosses bites.

Dans un français approximatif, le grand policier déclara soudain que c'était la première fois qu'il voyait un aussi jeune garçon faire une aussi belle pipe. Il semblait ne pas trouver ses mots et poursuivit sa phrase en arabe. Fouad lui répondit brièvement dans la même langue, puis en me regardant, me dit en français:

- " Notre ami Ahmed, le policier se demandait si tu vas jusqu'au bout des choses". Voyant mon air étonné, alors que je continuait à branler doucement la bite que j'avais sortie de ma bouche, il poursuivit: " Pour être plus clair, il veut savoir si tu avales le sperme et si tu te fais enculer."  Je ne répondis rien, je soulevais simplement les sourcils vers lui en signe d'interrogation qui voulait dire: " qui sait? c'est possible!" et je me remis à sucer en les fixant dans les yeux. Le policier marmonna quelque chose entre ses dents dont je ne saisis pas le sens; ça m'était égal, j'étais trop chargé et excité pour me poser ces questions. Puis Fouad nous annonça que nous arrivions à destination et mon partenaire remit son pantalon et me dit à l'oreille dans un français parfait, ce qui me surpris car jusqu'à présent il n'avait pas dit un mot -" A plus tard j'espère, Billy, j'ai beaucoup apprécié! Tu as les lèvres vraiment douces et tu fais ça tellement bien!". Notre auto se gara dans une immense propriété en plein bled, de hauts murs et d'énormes figuiers de barbarie l'entouraient. Fouad avait dû présenter sa carte aux trois gardiens de l'entrée qui finirent par soulever la barrière après qu'ils aient vérifié son nom sur une liste que l'un d'eux avait en main.

- "Tu as vu Billy? c'est du sérieux! il n'y a que des invités triés sur le volet ce soir qui pourront entrer chez M. Abdullah! Il a pris ses précautions pour être certain de ne pas être dérangés par des personnes mal intentionnées." Je ne savais pas trop ce qu'il voulait dire par là... et j'avais le cerveau qui fonctionnait au ralenti de toutes façons et je ne me posais plus aucune question.

Gisèle était là pour m'accueillir, j'étais surpris mais ravi qu'elle soit déjà là. Elle s'était changée et  comme à son habitude, elle portait une jupe ultra courte, genre jupe de tennis et un débardeur sans soutif, très échancré, qui révélait sa petite poitrine tombante. Elle portait un gros sac photo dont la courroie lui sciait l'épaule et lui dénudait presque entièrement le sein droit.

- "Dis donc tu as l'air complètement à l'ouest! Comment ça s'est passé pour venir jusqu'ici?"

-"J'étais à l'arrière avec un des deux juges en djellaba, Fouad conduisait et un gendarme était à côté de lui."

- " Et?"

-"Le vieux a voulu que je le masturbe et que je le suce."                      

- " Evidemment il ne t'ai pas venu à l'esprit de refuser? Et ensuite? Tu n'es pas en train de me dire qu'ils te sont passé dessus tous les trois?"

-"Non, j'ai seulement  ce que je viens de te dire, rien d'autre et si tu m'avais emmené avec toi il ne se serait rien arrivé du tout, je te signale!"

- " Que je sois près de toi ou pas, je te rappelle que tu t'es engagé à te plier à mes décisions, ce n'est plus à toi de faire comme bon te semble ou agir comme le souhaite le premier venu!"

-"Pardon, Gigi je ne pensais pas que ce que j'ai fait avec ce vieux était aussi grave!"

- " Tu n'as rien compris, Billy! Ce que tu as fait, comme tu dis, ce n'est pas la première fois! Donc non, rien de grave! Mais je veux que tu comprennes que dorénavant, c'est moi seule qui fixe quand, comment et avec qui tu peux avoir ce comportement! Nous sommes d'accord ou pas?" Ses yeux flamboyaient de colère contenue.

J'acquiesçais du menton. Un instant je fus tenté de lui dire qu'elle se hâte de décider et que j'avais hâte qu'elle me dise ce qui avait été envisagé pour moi.

Aujourd'hui, tant d'années ayant passé, je peux bien le reconnaitre, à cette époque j'étais chaud bouillant et je n'avais qu'une envie: C'était de me faire défoncer. Peut importe par qui, tout ce qui m'importait c'est que ce soit  par de gros morceaux bien raides.

G01

 

Par billy - Publié dans : adolescence - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 08:52

C'était l'été... les "grandes vacances" étaient là! enfin. Fini pour presque trois mois, la mafia de l'internat, les cours, les profs débiles et les pions .

En attendant août et les congés de mon père pour partir vers la France via l'Espagne en voiture,  nous avions la fin du mois de juin à passer à la maison. Il était prévu que nous irions à la plage passer quelques semaines en juillet. Le matin j'allais retrouver les copains chez l'un ou l'autre. Nous nous baladions en vélo, sans but précis mais sans nous ennuyer non plus. Des filles se joignaient à la petite bande parfois, mais elles étaient toujours moins nombreuses que les garçons et faisaient l'objet de toutes les convoitises. Durant la journée, sous les yeux de tous elles étaient "intouchables" pour la plupart, on pouvait espérer qu'elle seraient moins farouches pendant les quelques "boums" (interdites aux parents) qui ne manqueraient pas d'avoir lieu pendant les vacances.

Il faisait chaud pendant ces mois d'été au Maroc et la sieste était de rigueur au début de l'après midi. Ensuite, chaque jour, j'allais rejoindre les autres, copains et copines, à la piscine.

Mon frère, ma sœur et moi-même avions chacun notre chambre depuis le début des vacances. Auparavant mon petit frère dormait dans la même pièce que moi, mais mes parents avaient décidé d'aménager pour lui celle qui jusqu'à présent servait de bureau. Même si je l'aimais bien, j'étais très content de ne plus l'avoir constamment avec moi.  Ma sœur avait également sa chambre: Elle nous en interdisait l'entrée et nous prenions un malin plaisir à y pénétrer à l'improviste et particulièrement quand elle se déshabillait... Elle hurlait et maman prenait sa défense... Cela ne nous empêchait pas de recommencer dès le lendemain...

Je trouvais les débuts d'après-midi de siestes ennuyeuses... Je ne dormais pas. Je lisais la plupart du temps ou je rêvassais. Mais il faisait tellement chaud dehors qu'il fallait bien attendre quelques heures pour que la température baisse un peu avant de pouvoir sortir.

Mon copain G. m'avait prêté quelques livres de photos et de textes pornographiques piqués à ses parents. Je les cachais tout en haut d'un placard et je me masturbais en regardant les belles suédoises blondes avec les cuisses grandes ouvertes et leurs magnifiques poitrines. Il y avait un bouquin qui me plaisait particulièrement car il contenait des photos faites par des amateurs et ça se voyait : Elles n'étaient pas d'excellente qualité pour la plupart, mais je les trouvais très excitantes, car elle "faisaient vraies". Des femmes de 20 à 50 ans, parfois plus âgées, posaient sans aucune pudeur devant l'objectif par série de 4 à 6 pauses pour chacune d'entre elle. Elles offraient pour mon plus grand plaisir la vision de leurs chattes poilues et parfois mouillées et de leurs fesses écartées, parfois de leurs seins fatigués... Elles n'avaient rien de top modèles, mais c'était des femmes ordinaires, plus ou moins jolie mais rien extraordinaire. Je me souviens qu'à la fin du magazine il y avait une adresse pour celles qui désiraient envoyer leurs photos et aussi un modèle de lettre pour donner l'autorisation de publier leurs clichés. Il était précisé que seules les photos non retouchées et dont les pauses étaient les plus naturelles pourraient faire l'objet d'une publication dans le prochain numéro. J'avais remarqué que les pages centrales (la lauréate du précédent numéro) de l'exemplaire que G. m'avait confié avaient été arrachées et je me dis que j'allais le faire râler en lui demandant s'il les utilisaient pour se faire plaisir le soir dans son lit.

J'étais généralement en slip sur le lit et les volets étaient presque complètement fermés, mais entrebâillés  malgré tout pour laisser passer assez de lumière pour pouvoir lire. Un jour, je vis comme une sorte d'ombre qui passait devant ma fenêtre. Celle-ci donnait sur le pignon, derrière la maison. Tout de suite je n'y prêtais pas attention, mais cela recommença. Sans me lever, je me tournais pour observer sans laisser rien paraitre. L'ombre revint et je m'aperçus que c'était quelqu'un qui observait à travers la fenêtre. Au bout de quelques instants je me levais tranquillement, comme pour me rendre aux toilettes, puis je montais au grenier et regardais discrètement par une lucarne. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que c'était notre jeune voisine, son papa était marocain et sa maman était alsacienne je crois, qui était grimpée sur une caisse en bois qu'elle avait du tirer jusque sous ma fenêtre pour regarder dans ma chambre. A cette heure de l'après-midi personne ne risquait de la surprendre car il n'y avait personne dehors. Nous la connaissions bien, elle se prénommait Malika, son frère était un copain et elle venait parfois à la maison pour voir ma sœur, qui était pourtant plus jeune qu'elle. Jusque-là je ne lui avais jamais prêté  particulièrement attention. J'avais à peine remarqué quelle était jolie. Sa curiosité un peu perverse m'amusait et me flattait malgré tout et je décidais de jouer le jeu. Je retournais dans ma chambre et pris les bouquins porno que je commençais à feuilleter. Je vis de nouveau l'ombre passer dans ma chambre. Elle devait être de nouveau à son poste d'observation. J'enlevais négligemment mon slip. L'ombre ne bougeait pas. Je me tournais petit à petit vers la fenêtre tout en faisant attention de bien rester dans le trait de lumière et je commençais à me toucher le sexe. Aucune réaction, elle continuait donc à me regarder. Maintenant j'étais complètement en érection  et je commençais à me masturber réellement, de plus en plus vite et de plus en plus fort. L'ombre bougea et je vis parfaitement que cette fois Malika était carrément montée sur le rebord de la fenêtre et qu'elle me regardait franchement, en me faisant signe d'approcher et d'ouvrir la fenêtre. Un peu embarrassé par mon érection je fis ce qu'elle demandait et tout de suite, remontant sa robe au dessus de ses genoux, elle se laissa glisser dans ma chambre. J'allais lui parler, mais elle mit un doigt sur ses lèvres et immédiatement entoura ses bras autour de mon cou et posa sa bouche sur la mienne. Contrairement à ce que j'avais pensé d'elle, ce n'était certainement pas son premier baiser car elle se servait très bien de sa langue dans ma bouche. Elle enleva très vite et sans que je lui demande, son foulard et l'espèce de longue robe couleur pêche qu'elle portait. Dessous c'était étonnant, elle était en short et en t shirt noirs. Ses cheveux étaient très bruns et très longs, retenus en queue de cheval. Elle s'allongea sur la descente de lit et me demanda à l'oreille si la porte était fermée à clé. Je lui répondis que personne ne viendrait dans ma chambre et que tout le monde se reposait. Elle sembla rassurée et sourit et je trouvais ses dents magnifiques. Des dents de carnassière. Elle m'attira près d'elle mais je lui indiquais qu'on serait mieux sur le lit plutôt que par terre. Elle fit "non" de la tête et enleva son t-shirt en dévoilant des petits seins avec des tétons étonnamment longs. Elle fit la moue en les regardant et me sourit encore. Je m'allongeais près d'elle comme elle voulait et tout de suite elle plaça son visage au dessus de moi et prit mon sexe dans sa bouche en me masturbant légèrement. Je n'avais jamais eu d'érection aussi forte. Elle suçait aussi bien qu'elle embrassait. J'essayais de lui enlever son short mais je n'y arrivais pas! Tout en continuant sa fellation elle le dégrafa elle même et l'ouvrit. Elle ne portait rien dessous. Je lui fis signe de l'enlever, mais elle voulu seulement  le baisser en dessous des fesses. Sa toison pubienne de brune était vraiment fournie et montait haut sur son ventre en rejoignant son nombril par une fine bande de poils noirs. Je trouvais ça très excitant. Pendant qu'elle me suçait je devais lui pincer le bout des seins et tout de suite elle respirait très fort et gémissait. Je remarquais avec surprise qu'en même temps elle se pénétrait l'anus avec ses doigts. Elle prit ma main pour la mettre entre ses cuisses. C'était la première fois que je faisais ça. C'était très ouvert, doux, gluant et ça sentait fort: Une odeur excitante. Je voulais qu'elle enlève son short complètement, mais elle continuait à me sucer encore et encore. J'allais jouir mais je n'osais pas le faire dans sa bouche. Elle m'empêcha de me retirer quand j'éjaculais et je pense qu'elle jouissait aussi avec mes caresses, mais aussi certainement par les pénétrations anales de ses doigts.

Elle se releva, me regarda un instant avec des yeux pétillants et coquins et avala. Puis elle mit son nez dans mon cou en m'embrassant et dit très doucement "c'était bon?" Je ne répondis rien mais j'attirais son visage et je l'embrassais pendant de longues minutes. Je n'avais pas envie quitter sa bouche et je suis certain qu'à cet instant c'était la même chose pour elle. Elle n'avait pas encore16 ans.

Par billy - Publié dans : adolescence - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 15:11

clau01

Mars 1965, j’ai presque 13 ans et mon père est parti au Maroc pour le travail. On lui a fait un contrat dans une société minière qui exploite le phosphate. Maman est restée seule avec nous trois: Moi, ma sœur et mon frère, dans une maison louée près de Sèvres en région parisienne. Nous attendons quelques mois qu'il ait  fini sa période d'essai; ensuite il trouvera un logement et nous pourrons enfin le rejoindre. Depuis les fêtes de fin d'année, mon petit frère E. est chez mes grands parents et ma sœur M. chez sa marraine et son parrain, car maman a du se remettre à travailler dans une usine de cellophane depuis que papa est parti en début d'année. Elle a pas mal de problèmes financiers, car il est difficile d'envoyer de l'argent du Maroc, ce qu'il n'a su qu'une fois sur place. Maman m'a gardé avec elle, car je suis au collège et elle fait en sorte de perturber ma vie le moins possible en ne changeant pas trop mes habitudes d'adolescent. J'essaie d'être autonome et j'aide maman comme je le peux en m'occupant de ma chambre, mettant le couvert, faisant la vaisselle et parfois également quelques courses. Je suis content  de pouvoir continuer à faire de la gymnastique et du tennis les après-midi avec un copain dont le père est prof de sport. Un de ces jours là, c'était un jeudi, il y avait eu un problème de sécurité dans le gymnase à cause du chauffage, si j'ai bon souvenirs et je suis rentré directement à la maison juste après le repas de midi que je prenais à la cantine du collège.

Le père de mon copain me déposa à la maison. A cette heure-ci, maman n’était pas encore rentrée de son travail, mais j’avais ma clé. Je pris un bain bien chaud car j’avais des frissons par ce temps gris et glacé d'hiver. L’eau du bain me réchauffa. J’enfilais ma robe de chambre, de grosses chaussettes et j'allais dans la chambre de maman pour fouiner un peu partout à la recherche de "choses secrètes". J'adorais car ça m'excitait beaucoup depuis qu'une quinzaine de jours auparavant, par hasard, j'avais eu la surprise de m'apercevoir que dans un placard, le cadenas à chiffres qui fermait une malle métallique était resté ouvert. Depuis, dès que j'en avais l'occasion, connaissant les numéros, j'ouvrais la cantine et je passais mon temps à en faire l'inventaire. Elle contenait tout un tas d'objets personnels qui appartenaient à mon père, des actes de notaires et des vieux titres de propriété auxquelles je ne comprenais rien. Mais ce qui m'intéressais le plus dans tout cela, je dois l'avouer, c'était plusieurs dizaines de photos de ma mère nue ou à moitié dénudée. Sur certains clichés elle était très jeune, pas plus de 15 ou 16 ans. Pour la plupart elles étaient d'un assez grand format et en noir et blanc sauf quelques unes parmi les plus récentes qui étaient en couleur. Sur ces photographies, on pouvait voir ma mère poser dans toutes les positions, des plus soft aux plus osées. Certaines avaient été prises en extérieur mais pour la plupart c'était certainement des clichés de professionnels réalisés en studio . Dans la malle il y avait aussi toute une collection de godemichets de toutes les formes et de toutes les tailles (c'était la première fois que j'en voyais car je ne savais même pas que ça existait, ni comment ça s'appelait, mais vu certaines photos, je n'avais pas de doutes quant à leur usage... ) et aussi des piles de magazines pornographiques. Sur certains exemplaires qui étaient des sortes de romans photos, comme cela se faisait beaucoup à cette époque, je reconnus ma mère. Je remarquais très vite qu'elle n'avait jamais les 1ers rôles dans les scénarios classiques, mais que par contre, dans certains magazines qui montraient des scènes beaucoup plus trash, elle faisait souvent partie des "actrices" les plus représentées.

J'étais donc en train de consulter  mes découvertes quand tout à coup j'entendis le crissement des pneus d'une voiture sur le gravier dans la cour. Je paniquais un peu, mais j'arrivais malgré tout à ranger du mieux possible tout ce que j'avais sorti de la malle et je la remis dans le placard à sa place. Je retournais très vite dans ma chambre et regardais à l'extérieur de la maison. C'était la voiture de maman et aussi un autre véhicule. Vite, je m'allongeais sur mon lit, me demandant qui cela pouvait bien être et pour quelle raison maman inattendue ma mère rentrait si tôt car il n’était même pas 14h ! En plus elle n’était pas seule. J'entendis qu'elle tournait la clé dans la serrure et ensuite qu'elle parlait au chien pendant quelques instants puis elle l’enferma au garage et de retour dans la pièce dit « Voila, je suis à votre disposition… ».

Je sors de ma chambre en glissant à plat ventre sur le parquet et du haut de la mezzanine je jette un coup d’œil à travers la balustrade, dans le salon-salle à manger juste en dessous.

Maman est assise sur le canapé et il y a trois hommes debout près d’elle. Elle porte encore son manteau et a les jambes croisées et on voit  le haut de ses cuisses.

Un homme d’environ 55-60 ans, petit, avec une moustache, se trouve de l’autre côté de la table basse, face à elle sur un fauteuil. Deux autres hommes plus jeunes sont un peu en retrait: L'un très mat de peau, d’environ 45 ans, typé maghrébin, athlétique et un autre plus jeune, environ 25 ans qui est blond, mince.

Le plus âgé demande aux deux autres d’installer une grosse caméra sur son trépied et un système d’éclairage, une sorte de parapluie et de tirer les rideaux de la pièce.

Ma mère interpelle le plus âgé : « Je n'avais pas compris pas que vous deviez filmer dès aujourd’hui ! Ce n’était pas précisé ! Sinon je me serais déplacée» L'homme plus âgé répond « C'est toujours comme ça, il est exigé que tous les entretiens des castings soient filmés. D’ailleurs je vais vous demander de lire ce contrat que j’ai apporté et de le signer si vous êtes toujours d’accord».

Je vois maman tendre la main pour saisir les feuillets et commencer à lire avec attention. Au bout de quelques longues minutes Elle dit « C’est d’accord mais juste une précision : Vous avez les droits de diffusion intégrale des images qui vont être tournées maintenant? » L’homme à la moustache répondit affirmativement « Oui les images appartiennent à la société de diffusion, mais elles ne pourront être diffusées qu'avec votre accord après avoir touché le cachet quand vous aurez tourné. Auparavant il faut que votre candidature soit retenue suite au casting d'aujourd'hui».

A seulement à cet instant que je finis par comprendre ce que ma mère fait là avec ces hommes et ce que le mot casting doit vouloir signifier. Elle veut tourner un film porno et ils sont ici pour la tester en quelques sortes.

Je ressens des frissons d’excitation dans tout le corps, mais en même temps un sentiment de honte vis-à-vis de ma mère m'envahit. Je suis médusé et je continue à regarder intensément la scène qui se déroule juste en dessous de moi.

L’homme à moustache dit « appelles-moi Henry et voila Kader et Franck. Toi c’est C. c’est ça ? (je remarque qu’il la tutoie maintenant…) Attend, je regarde un instant le dossier… Tu es plus branchée genre soumission et humiliation d’après le questionnaire que tu nous as renvoyé, pas trop maso…Tu n’as mis aucune restriction stricte par rapport aux scènes que tu ne souhaites pas tourner ? C'est toujours d'actualité, on est d’accord ? Tu as lu et signé le contrat, et je vais te faire un premier chèque comme cela était prévu. C'est d'accord? »

Ma mère lui réplique que c’était bien clair pour elle, qu'elle s’était déjà engagée par écrit, avec la personne de la société  qu’elle avait rencontrée initialement pour faire ce casting et qu’elle avait accepté en connaissance de cause l'option la mieux rémunérée qui était celle de tourner les scènes pornos qu’on devait choisir pour elle, et elle ne comprenait pas pourquoi on lui posait encore toutes ces questions maintenant.

Henry : « C'était seulement pour que tout soit clair. Nous allons commencer! Dans un premier temps, je te le rappelle, je te pose des questions auxquelles je te demanderai de répondre en toute sincérité. Si tu ne te tiens pas à la stricte vérité, tu risques au bout d'un moment de dire n’importe quoi et on sera obligés de tout reprendre, ce que je ne souhaite pas du tout !

Pour ce qui est du tournage ensuite, je compte sur toi pour faire de ton mieux car je le but c'est de te pousser le plus possible dans tes retranchements... Voir ce dont tu es capable pour être tout à fait clair.

Maman que je sens un peu agacée dit qu'elle est bien consciente de la situation et qu'elle l'a compris.

Henry : Tu es sur qu’on ne sera pas dérangés ?»

Maman : « On ne sera pas dérangés, en ce moment je suis seule avec mon fils . Il ne rentrera pas avant 18h30. »

Henry : « Ne réfléchis pas trop à ce que doit être la bonne réponse, mais soit sincère. C'est ce qu'on attend! Ok ? Ne cherche surtout  pas à te mettre en valeur»

H : « Franck ! Moteur  caméra ! Tu as quel âge ? »- 36 ans

« Tu es mariée depuis quand? » - Depuis 14 ans.

« Pas d'amant? » -Des aventures, mais rien de vraiment suivi.

« Tu n’as qu’un garçon? Quel âge ? » -Il a 13 ans mais j'ai deux autres enfants un garçon et une fille, plus jeunes qui ne sont pas avec moi pour l'instant.

 « Ta fille te ressemble physiquement ?" -Non pas du tout ! Moi comme vous le voyez je suis très brune et M. ressemble à son père, qui est châtain-roux.

(Maman est une femme encore séduisante même si elle n'est plus vraiment mince depuis sa dernière grossesse, très brune, les cheveux épais, coupés courts. Elle a les yeux marrons foncés, elle n'est  pas très grande, et une assez petite poitrine).

« Justement on va voir un peu à quoi tu ressembles ! Enlève ton manteau et ta robe ! Tu portes quoi dessous? Juste un porte-jarretelle et un soutif! Quelle chatte dis donc ! Tu ne te rases pas? C'est pour cacher la cicatrice de la césarienne?» -Oui, c'était à mon dernier accouchement je laisse pousser naturel depuis.

« Egalement pour faire plaisir à tes mecs ? - Tu trouves que ça fait plus cochonne?" - Peut être parce que j’aime bien comme ça.

« Ah bon ça te plait de faire la cochonne ?  Remarque je m’en doutais un peu quand même ! Enlève tout ! » (J’aperçois ma mère qui enlève rapidement ses bas et les portes jarretelles et qui se rassoit sur le canapé.)

« Ton soutif aussi. Tu ne veux pas nous montrer tes nichons ? » Elle enlève son soutien gorge sans répondre, ses seins sont assez petits et tombants.

C.096

« Pas mal, après trois grossesses! Ecarte bien les cuisses et montre nous ta chatte! "Tourne-toi maintenant. Montre bien ton cul. Pas mal non plus! Super poilue dis donc! Tu pratiques la sodomie ?" - Oui, ça m'arrive.

Il fait signe d'arrêter la caméra.

Il s'approche de maman et dit   «Je te rappelle que tu es censée jouer ton propre rôle dans le film et ce qu'on attend de voir, tu n'es pas une jeune pucelle dans le film, mais une mère de famille arrivant à la quarantaine qui a envie de se faire défoncer car elle est en manque. Alors ouvres ta chatte et fais en sorte qu'elle le soit toujours devant la caméra.

Elle répond qu'elle a compris et que c'est d'accord.

Henry fait signe au cameraman de reprendre.

 « Tu as commencé à te masturber à quel âge? Comment tu as commencé? Avec des copines? » - Vers 10 ou 11 ans, J'ai découvert que ma mère le faisait et j'ai fini par faire la même chose!

"Tu l'as surprise ou elle ne savait pas que tu la matais? -Je l'espionnais dans sa chambre ou dans la salle de bain, elle ne s'en ai jamais rendu-compte.

"Parce que c'est arrivé plusieurs fois? -Oui pas mal de fois.

« Et les godes ? » - J’ai commencé à l’adolescence, vers 14 ans mais pas avec des vrais godes, c’étaient des flacons de toilette, des bouteilles, parfois d'autres chose. C'est mon premier amant qui m'a acheté mon premier gode.

« C’est quoi le plus gros que tu te sois mis? Quel diamètre ? » - Je n'ai jamais vraiment mesuré Un gros gode qui fait environ 7 ou 8cm je crois.

« Ca remplit bien la chatte dis-donc 7cm ! Et sinon le plus gros autre chose que des godes ?"     -Avec des tubes pour les balles tennis et de base-ball.

«Je vois ! Tu dois accepter la fist-fucking? Et par le cul? tu te godes aussi avec? »

(je suis vraiment très excité de l’entendre répondre à toutes ces questions. Mais je me dis qu’y répondre soi-même doit être un plaisir beaucoup plus  fort).

- Oui je me gode aussi par derrière avec de gros godes, mais pas très souvent,  la plupart du temps  je me sers de  godes  réalistes.

Mets toi allongée sur le tapis, Kader, vire-moi la table et ces chaises. Ensuite tu lui mets les pinces à seins, (Kader avec Franck poussent tous les meubles du tapis et ma mère s’allonge sur le dos au milieu de la pièce, ensuite Kader prend deux grosses pinces à boules métalliques qu’il lui accroche sur les tétons. Elle gémit assez fort).

 « Tu mouilles non ? » -Oui mais ça fait mal !

« Tu vas t’habituer t’inquiètes ! Ouvre bien ta chatte ! »

« Tu as déjà baisé à plusieurs je suppose ? » - Oui.

« Double pénétration ? Détailles-moi » - Oui. Je fais les doubles pénétrations.

« Je te dis de préciser ! » - Double vaginale et double pénétration  vagino- anale

« Pas de double anale? " - Si, mais sSeulement quelques fois.

« Mais pourquoi tu le dis pas tout de suite? Tu as encore des réticences? J’aurais plus vite fait de te demander ce que tu ne fais pas ! On gagnerait du temps je crois !

« La fellation tu pratiques bien sur ? Remarque toutes les femmes le font ! Mais est-ce que tu avales ? » - Non je n’avale pas ! De toutes façons il y a des préservatifs non ?

« Si tu avais bien lu les clauses tu aurais du voir que pour les pipes c’était sans capote ! » - De toutes façons je n'avale pas.

« Mets-toi à genoux, Kader mets-toi derrière et tu la pénètres quand je te le dis Ok ? C., écarte bien les cuisses et ta chatte.

« Et ton fils? Je suis certain que tu dois l’avoir sucé quand il était plus jeune! Toutes les femmes de ton genre le font ! Kader encule là! (Je vois Kader derrière elle qui lui passe son sexe plusieurs fois entre les fesses et qui s’enfonce en elle d’un seul coup, elle crie assez fort .

« Alors tu l’as sucé ? Mais dis-le salope ! Maman ne répond pas et continue à gémir très fort, tout en ouvrant sa chatte des deux mains. Je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir… Certainement les deux.

«Franck tu lui mets le collier de chien et tu prépares le speculum » Puis il s’adresse à Kader « Attaches lui les mains avec les bracelets et tapes lui un peu sur les fesses» Kader enlève son sexe de l’anus de ma mère qui tombe, couchée à plat-ventre sur le tapis, puis il lui saisit les mains et lui attache dans le dos avec des sortes de menottes et lui donne quatre ou cinq bonnes claques sur les fesses qui la font crier, pendant que Mario lui place un collier de chien en cuir autour du cou et dépose un long objet métallique à côté d’elle.

« Tiens la court à la laisse Franck et toi Kader  remonte-lui les bras dans le dos, comme ça elle ne bougera plus » Il s’adresse à maman en lui mettant l’objet métallique juste devant le visage : »Tu connais ? Mais celui-ci c’est la taille au dessus tu vois ? 27 cm de long et 7 cm de largeur. Pour les juments ! C’est fait exactement pour toi en fait ! » Elle essaye de dire quelque chose que je ne comprends pas car son collier doit la serrer.

(A ce moment là je ne supporte plus la scène et je regagne ma chambre à plat ventre et la tête dans un oreiller je commence à pleurer, j’entends à peine le bruit des voix en sourdine qui montent du salon. Au bout d’un moment je me calme. Mon excitation  et mon envie de voir la suite  étant les plus fortes je retourne à mon poste).

Ma mère est toujours à genoux, allongée sur un plaid, elle ne dit plus rien, mais je l’entends d’ici respirer très fort et gémir un peu. Je vois que le gros speculum est introduit presque complètement dans son vagin et Henry, derrière elle, est en train de tourner la molette doucement. Ca dure pendant un bon moment, puis se il relève en disant : « Elle le prend quasiment entier sans problème ! Et pourtant il est ouvert à fond je crois ! Essaies Kader pour voir, toi, tu as plus de force ». Ma mère avec des sanglots dans la voix dit « Vous allez me défoncer ! Arrêtez ! » Kader tourne encore 2 ou 3 fois le papillon et dit « Il est ouvert au maxi, on peut lui mettre le poing entier dans la chatte, une vraie jument ! ». Et il introduit sa main fermée jusqu’à mi-coude dans l’engin, sans forcer, sans même que son poing touche les parois en inox.

H : « Elle a l’air de bien supporter malgré tout. Tu n’auras plus besoin d’écarter la chatte avec tes mains maintenant, elle restera grande ouverte toute seule ! »

C. 102-copie-1

Ma mère ne dit rien, elle gémit toujours un peu de façon continue, elle me fait penser à un chat qui pleure ou à un petit bébé.

Moi à cet instant, je me branle comme un fou. Je m’écarte les fesses avec les deux mains, imaginant que je suis à la place de ma mère, devant ses trois hommes qui feraient ce qu’ils veulent de moi. A cet instant je sais que moi aussi j’ai envie d’être humilié et forcé, prêt à tout pour m’exciter le plus possible, à jouir,  sans limite.

Au bout d’un long moment Henry dit : « Retire-lui l'engin Kader » ! Kader lui enlève le speculum qui tombe sur le plaid et maman toujours tenue en laisse par le cou et les mains dans le dos, tombe à plat ventre.

H: « remets toi en levrette jolie cochonne ce n'est pas fini ! » Maman ne dit rien. Elle se remet à genoux, les cuisses écartées et nous montre son vagin et son anus distendus sans aucune pudeur.

« Franck, mets lui ta queue dans la bouche. Franck baisse son slip et lui met son sexe en érection devant le visage. Il tire un peu sur la laisse et ma mère happe son membre avec ses lèvres et j'ai l'impression qu'elle le suce avec plaisir.

Kader lui enlève les menottes pour qu’elle puisse se tenir en avant sur les mains, il se place derrière elle et accroupi sur ses reins et lui enfonce comme tout à l’heure son énorme sexe dans l’anus. Maman a un râle, un peu étouffée par le sexe qu’elle a dans la bouche.

Je vois très bien par derrière les fesses et l’anus poilu de Kader qui la sodomise violemment. Henry pendant ce temps a enfilé des gants en latex bleu et sans plus attendre, lui introduit le poing droit dans le vagin. Cette fois ma mère relève la tête avec une sorte de long rugissement, sa bouche ignore le sexe de Franck quelques instants pour profiter au maximum de cette double pénétration hors norme. Henry rentre très vite le poing ganté le plus profondément possible et le retire aussi vite, pendant que Kader la sodomise dans un va et vient qui affole ma mère.

Elle bouge, crie se débat, elle dit qu’elle adore qu’elle va jouir, mais dit aussitôt que c’est trop, qu’ils vont la défoncer, elle dit « assez ! je n’en peux plus » Mais je la vois reprendre en bouche le sexe de Franck qui se masturbe en même temps. Il la tient serré avec la laisse et par les cheveux pendant que Kader s’est tourné dans l’autre sens et continue à l’enculer de haut en bas, ce qui lui permet d’écarter les fesses de  maman et de voir le fisting d’Henry.

Puis Franck lâche la laisse et il la tient à deux mains par le collier. Il dit « Je viens, je vais jouir, continue, suce-moi à fond ! » et je le vois agité de 3 ou 4 spasmes pendant qu’il éjacule dans sa bouche. Elle lui tient le sexe d’une main et le masturbe pendant qu’elle continue à sucer et à avaler jusqu’à la dernière goutte sans quitter Franck des yeux.

Henry sort sa main une dernière fois de sa chatte pendant que Kader jouit presque en même temps que Franck. Elle tombe en avant sur le tapis comme désarticulée sans un mot.

Moi aussi j’ai joui en solitaire en regardant cette scène de folie. Je file dans ma chambre et me rhabille très vite.

Quand je retourne à mon point d’observation, plus rien ne traîne dans la pièce : La caméra a disparu, les meubles ont repris leur place, Kader et Franck ne sont plus là. Ma mère, toujours nue discute calmement avec Henry comme si rien ne c’était passé.

H : « Je suis très content pour une première fois et je pense qu’on pourra faire un truc bien avec les prises. Et vous? comment avez-vous vécu les choses ? Vous n’avez pas trop de douleurs ?

M : « Si j’ai quand même assez mal et je crois que je vais aller prendre un bon bain et me coucher tôt ce soir. Un moment avec le speculum j’ai eu peur, mais en fait j’ai fini par me calmer. C’est impressionnant après coup de savoir que j’ai eue toute cette longueur d’enfoncée en moi ! C'était presque comme un accouchement!

H : « Un peu excitant aussi peut-être ? La prochaine fois vous n’aurez plus peur car vous saurez  à quoi vous attendre !

M : « C’est obligé d’utiliser ce speculum pour juments ?

H : «  Ce n’est pas obligé, mais on gagne du temps quand on veut faire des scènes de fist. On pourrait utiliser un gros gode aussi, mais le speculum n’est pas souvent employé car la plupart des femmes refusent. Donc vous avez toutes les chances de faire un film, car c'est très impressionnant à voir quand c’est filmé comme ça, de dos et à quatre pattes. Sinon je voulais vous proposer quelque chose de personnel.

M : « Je vous écoute, dites-moi tout ! »

H : « A titre personnel, je tourne aussi du porno et j’ai un petit studio bien équipé en Belgique. Vous seriez éventuellement intéressée ? C’est très bien payé et tous les frais sont remboursés.

M : « En Belgique ? Pourquoi si loin ? Et ça veut dire quoi très bien payé ?

H : « En Belgique parce que je suis belge ! Bien payé oui mais tout dépend de la prestation ! Je recherche des scènes originales, un peu hors du commun si vous voulez, pour des publics avertis. Je ne tourne pas les films classiques qu’on voit dans toutes les productions X. J’essaie de me démarquer un peu. Les acteurs qui travaillent pour moi sont tous des amateurs dans votre genre, branchés cul et que je recrute personnellement.

M : « Laissez-moi vos coordonnées et je vous contacterai pour vous donner une réponse, après avoir réfléchi et d’après les renseignements que vous me donnerez.

H : « C’est convenu comme ça ! Je vous laisse ma carte. Si par ailleurs vous avez une connaissance féminine qui est intéressée ou qui souhaite vous accompagner pour le tournage, faites le moi savoir ! Je suis toujours preneur ! A partir du moment où c’est une femme dans votre genre, sexuellement libérée qui aime prendre du plaisir tout en voulant gagner pas mal d'argent.

Il se leva et sorti sans que maman ne bouge du canapé. Elle avait l’air très fatiguée.

Elle se releva avec difficulté et se rendit à la salle de bain.

Au bout de quelques instants j'entendis l’eau qui coulait et je descendis de ma chambre.

Sur la table du salon je remarquais la carte de visite qu’Henry avait laissée.

Jenotais le numéro de téléphone et je me rendis au café du coin ou les jeunes avaient l’habitude de se réunir. Là, j’attendis l’heure où j’étais censé finir ma leçon de tennis en sirotant un chocolat chaud, avec des milliers de questions et d’idées dans la tête.

C. 062

 

Par billy - Publié dans : adolescence - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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