Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 12:27

Mes expériences homosexuelles: Arrivée au Maroc

 

 

Les années passent et j'allais avoir 14 ans quand mon père obtint un emploi au Maroc auprès de la société des mines. En pleine année scolaire, en mars je crois, nous sommes arrivés dans ce beau pays ensoleillé. Un vrai dépaysement pour toute la famille, mais surtout pour moi qui était l'aîné, car j'avais laissé tous mes amis et camarade en France. A cet âge là c'était un déchirement.

Mon année scolaire était fichue. Il ne restait plus qu'un trimestre à faire dans l'internat du lycée français de Marrakech cette année là. C'était à plus de 120 kms de la ville où nous habitions. J'avais eu trop d'absence durant l'année scolaire à cause du déménagement et des délais d'inscription auprès du consulat et de l'établissement et je devais redoubler. Juste le temps de m'habituer à l'établissement et de me faire quelques copains avant que les grandes vacances arrivent.

Pendant l'année scolaire on ne rentrait à la maison qu'une semaine sur deux et les parents s'associaient pour  venir nous chercher en voiture à tour de rôle.

C'est ainsi que je fis connaissance avec G. et aussi avec ses parents. Il était fils unique. Son père était plus âgé que sa  maman; pas très grand, assez mince et sportif malgré ses cheveux grisonnant. Sa maman était une très jolie femme très brune, aux traits fins avec une très grande bouche et de beaux yeux noirs. Elle portait les cheveux courts, avait environ 35 - 40 ans et je la trouvais très attirante. Elle était d'origine pied noir. Son père s'occupait beaucoup de G. et en tant que fils unique, il s'employait à ce qu'il ne s'ennuie pas en lui faisant faire plein d'activités sportives et culturelles.

Un jour ils me demandèrent si cela me ferait plaisir de venir avec eux passer un w-end à la mer pour tenir compagnie à leur fils. Moi qui découvrais depuis peu la mer, le sable et le soleil du Maroc... J'étais très enthousiaste! Mes parents avaient donné leur feu vert et nous sommes donc partis passer trois jours sur une plage isolée de l'océan atlantique. On pouvait monter la tente sur le sable et personne n'y trouvait rien à redire à cette époque là. D'ailleurs à part un village de pêcheur, il n'y avait personne!

On profitait de l'eau et du soleil. J'appris à nager lors de ces w-end ou semaines passées avec eux. Ils y allaient assez souvent et je pouvais les accompagner quand je voulais, ce dont je ne me privais pas la première année de notre arrivée au Maroc.

Pour dormir dans la tente il y avait une chambre de 4 places. Je n'avais pas de matelas pneumatique et je dormais sur un couvre-pieds plié en deux mais je me trouvais très bien. Nos sac de couchage, étaient confortables et douillets. Jacqueline, la maman de G. était très maternelle avec moi et me traitait aussi bien que son fils. Elle me faisait la bise avant de me coucher et j'adorais ça. J'adorais l'odeur de son haleine et la douceur ferme de ses lèvres qui effleuraient les miennes avant de claquer sur ma joue.

3 fois son comportement m'a laissé perplexe.

-Le 1er comportement que je trouvais un peu particulier, c'est que comme je n'avais pas de matelas gonflable elle demandait à son fils que de temps à autre il me laisse le sien, par souci d'équité. Moi je disais que ce n'étais pas la peine, que j'étais très bien dans le fond de la tente, sur mon couvre pieds, mais elle insistait pour qu'il le fasse. Du coup je me retrouvais à côté d'elle. C'était un supplice pour moi de sentir son dos ou ses fesses me toucher pendant la nuit, d'avoir son visage tout près du mien et de sentir son souffle, alors qu'elle ne semblait même pas le remarquer.

-La 2ème fois nous étions au petit déjeuner et elle se trouvait en face de moi de l'autre côté de la table quand j'ai senti son pied entre mes genoux. Je l'ai regardée l'air surpris et elle me regardait aussi sans expression particulière. Au début, je pensais qu'elle faisait cela sans y prendre garde, mais quand son mari a bougé de son fauteuil elle a vivement retiré son pied et détourné son regard. Quelques minutes plus tard, son mari ayant recommencé à déjeuner elle remettait ses orteils au même endroit tout en me fixant dans les yeux.

-La 3ème fois j'étais allongé dans la tente, sur mon sac de couchage, en maillot de bain et je lisais depuis peu de temps. G. et son père venaient de partir pour aller chercher de l'eau potable à environ 45mn à pied du campement, quand j'entendis le zip de la fermeture, puis Jacqueline entra. Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais au lieu de rester naturel, j'ai fermé les yeux et fait semblant de somnoler. Elle était certainement surprise que je dorme déjà, elle se pencha au dessus de moi, mais ne dit rien. Elle était en maillot de bain et commença tranquillement à enlever le haut après avoir refermé la tente sans plus me prêter d'attention. Elle pris son temps accroupie en tailleur de se brosser les cheveux, puis se mit debout et fit glisser le bas du maillot et s'enduisit le corps de crème après solaire et elle s'allongea sur sa couchette, nue. Elle n'était pas juste à côté de moi mais je sentais son parfum,  l'odeur de son corps. Je fis semblant de remuer dans mon sommeil et me tournais sur le côté, vers elle. Je la regardais, les paupières mi-closes là, juste à portée de ma main qui tremblait. Elle avait une très belle poitrine avec des seins pointus et très écartés l'un de l'autre et un mont de vénus incroyablement bombé avec un pubis noir, long et bouclé qui montait très haut sur le ventre. J'attendais qu'elle se tourne vers moi, qu'elle me dise un mot d'encouragement ou que tout simplement elle me prenne contre elle dans ses bras. Mais rien de tout ça n'est arrivé. Au bout d'un moment elle se tourna de l'autre côté tout en poussant ses fesses vers moi; des fesses que j'avais trouvées trop grosses jusqu'à aujourd'hui, mais que maintenant je trouvais magnifiques et me mettaient dans tous mes états. 

Un moment plus tard, entendant de loin son mari et son fils qui revenaient chargés de jerricans d'eau en plaisantant, elle se leva très vite, se tourna vers moi, à genoux, impudique et magnifique. J'ai eu l'impression qu'elle allait me dire quelque chose, mais non, elle me fit seulement un petit baiser sur la joue et enfila sont maillot de bain, se donna un coup de peigne et sortit en chantonnant à la rencontre de ses deux hommes. Je l'entendis rire et dire très fort: "Je suis allée jusqu'à la falaise pour voir s'il y avait des oursins! W. a du s'endormir je pense, car il n'a pas mis le nez dehors."

G. mon copain n'était pas spécialement beau, il n'était pas vraiment gros mais bien portant. Blond foncé, pas très grand. vif d'esprit, il avait un parfois le comportement d'un fils gâté, mais n'était pas ennuyeux du tout et j'aimais beaucoup sa compagnie. C'était un des meilleurs copains que j'ai eu, indiscutablement. Alors que nous nous trouvions une nouvelle fois en campement à la plage, dans la tente, une nuit, je sentis une main qui se glissait dans mon sac de couchage. Elle se glissa sous mon pantalon de pyjama et fit une pause. Je bougeais un peu pour montrer que je  ne dormais pas et me rapprochais . Là il n'hésita plus et commença à me toucher le sexe et à me le masser jusqu'à ce qu'il soit en érection. Puis il me masturba très doucement et d'une façon que je trouvais très expérimentée. Ses parents étant juste à côté de nous, les possibilités étaient restreintes. J'avançais moi aussi ma main sur son sexe et on se masturba réciproquement pendant un très long moment. Il avait un sexe très dur et plus petit que le mien. Je remarquais aussi en le touchant et le caressant qu'il avait de nombreux poils sur le pubis.  Moi-même j'en avais aussi qui poussaient un peu partout depuis quelques temps mais je les rasais complètement. Très excité par la masturbation réciproque, j'aurais bien souhaité aller plus loin et je me tournais de l'autre côté pour lui présenter mon dos, mais il ne comprit pas ce que je lui proposais ou il n'osa pas, à cause de la présence de ses parents et notre expérience s'arrêta là. Durant la nuit je dormis très mal, faisant des tas de rêves érotiques et plus encore!

Le lendemain j'avais du mal à croiser le regard de G. Sa mère, perspicace, demanda si on s'était disputés la veille. Nous la rassurâmes tout en souriant. Elle nous dit: "Bougez-vous un peu allez donc reconnaitre les rochers après le village de pêcheurs; il y a certainement des  coquillages et des poissons prisonniers dans les trous. C'est presque marée basse! Profitez en! Et si vous trouvez que c'est bien, nous irons demain matin pour faire la marée."

 Armés de seaux et d'épuisettes nous voila partis. Au bout d'un moment sans parler je lui dis:  Tu as aimé cette nuit? Il répondit que oui mais qu'avec ses parents à côté c'était pas terrible. Il m'avoua en avoir très envie depuis longtemps et que cette nuit là, il n'avait pas pu se retenir. Il me demanda si je l'avais déjà fait avec un garçon. Je lui demandais "faire quoi exactement"? Il me répondit "faire l'amour évidemment!" Je dis que" pas vraiment non, que j'avais fait quelques jeux sexuels mais que c'était il y a longtemps quand j'avais 10 ans " et toi demandais-je?" G. me dit qu'il l'avait fait seulement avec 2 autres mecs, des grands à l'internat du lycée.  Je ne savais pas trop quoi répondre à tout cela et du coup je ne dis plus rien. Il me demanda si j'étais choqué par ce qu'il venait de dire. Je répondis que j'étais surpris mais pas choqué du tout. Il me demanda pourquoi je m'étais tourné tout en me poussant contre lui la nuit dernière. Je répondis simplement "à ton avis?".

Nous avions marchés pas mal le long de la plage, et le village de pêcheurs étaient loin derrière nous. G me dit "viens on va se mettre dans les dunes". Je le suivis et arrivés dans un creux il s'allongea à l'ombre d'un eucalyptus et je me mis à côté de lui. Tout de suite il me baissa le slip de bain et pris mon sexe dans sa bouche. J'entrais en érection presque immédiatement. Il continua à me sucer avec vigueur et beaucoup de douceur en même temps. Puis moi aussi je le pris dans ma bouche et commençais à le sucer du mieux possible comme je l'avais fait avec F. quelques années avant. Puis il me montra comment je devais me positionner, à genoux dans le sable. Il retira son maillot de bain entièrement et me mit de la salive sur l'anus tout en y enfonçant ses doigts. Je le laissais faire sans rien dire. Il fit aller et venir ses doigts en moi. J'aimais ça c'était très excitant. Il me demanda : "Tu l'as déjà fait mais tu n'oses pas l'avouer?" Je lui dit que "je n'avais jamais dit que je n'avais jamais été doigté". "Je ne parle pas de ça mais d'un sexe! tu l'as déjà fait ou pas?"  Je remarquai qu'il avait de tout petits testicules et un sexe pas très grand non plus, malgré une érection très raide.  Je répondis "non" avec la tête. Alors il s'enfonça en moi d'un seul coup et je ne pu retenir un cri qu'il prit pour un cri douleur alors que ce n'était que de la surprise. "je t'ai pénétré trop rapidement? Tu as eu mal?" Je fis "non" de la tête. Il continuait à me sodomiser très rapidement, mais je dois dire qu'à part le moment de la pénétration, je ne ressentais pas grand chose. Il allait et venait en me disant des mots grossiers comme "ah oui tu es bonne! j'adore ton cul, tu aimes te faire enculer hein? etc.."

Au cours des jeux sexuels avec mon cousin F., jamais il n'avait été violent avec moi, que ce soit en actes ou en paroles. Avec G. j'étais très surpris de sa façon de faire. Il avait pris du plaisir à me pénétrer sans me ménager, ainsi qu'à m'insulter. J'ai pensé que c'était une manière pour lui de s'exciter.

 (plus tard je me rendrai-compte que ces paroles que j'avais trouvées vexantes étaient bien innocentes par comparaison aux scènes d'humiliation  que j'allais vivre (en paroles et en actes cette fois) et que (je l'avoue) je finirais par apprécier, auprès d'hommes plus âgés, expérimentés et intransigeants).

 Mon plaisir était tombé, mais j'avais supporté son sexe en moi, en le laissant faire comme il voulait. Pui il s'est retiré et désirait que je le prenne dans ma bouche pour éjaculer, mais frustré, j'ai refusé ce qu'il voulait. Il était dépité de n'avoir pas joui. Pour moi c'était la même chose.

On s'est rhabillé et nous sommes rentrés à la tente, prétextant que la marée était montée trop vite, que nous n'avions rien pu attraper. Sa mère nous regarda d'un drôle d'air et j'ai eu le sentiment qu'elle s'était douté de quelque chose.

Par billy - Publié dans : adolescence - homosexualité - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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