Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 08:09

J'avais 10 ans, presque 11, et j'étais en vacances au village de mon enfance, celui de mes grands parents. Mon cousin F. qui devait avoir 14 ou 15 ans, un grand brun avec un semblant de moustache qu'il n'avait jamais encore rasé, s'arrêtait de temps en temps nous voir quand il passait avec son vélo. Il venait de la région parisienne et était en vacances avec ses parents qui possédaient une petite maison au village, héritée de leurs parents.

Un jour, ma grand mère demanda à F. si ça ne le dérangerait pas de venir me chercher de temps en temps  pour s'amuser avec moi, faire du vélo avec lui. Elle avait besoin d'un peu de temps libre pour effectuer ses taches ménagères et s'occuper de ses poules lapins etc..

Un après midi, F. venait me chercher pour partir avec lui et rejoindre les autres enfants du village. Grâce à ses idées et son expérience, nous faisions un tas de jeu très amusants qu'il organisait. Jeux de balles, de raquettes, de cartes, avec des voitures ou des coureurs miniatures, et très souvent avec nos vélos. Le point commun de tous ces jeux c'est qu'il y a la plupart du temps un challenge à accomplir ou bien des gages pour le perdant. C'était unanime, tous les jeunes raffolaient de ça!

Un jour, il pleuvait, comme on ne pouvait pas jouer dehors F. m'emmena chez ses parents qui étaient absents. On joua aux cartes, au "pouilleux". Il avait établi un principe personnel au jeu: Celui qui perdait devait enlever un vêtement. Il tira les rideaux de la pièce et le jeu commença en faisant promettre de ne jamais parler de tous cela à qui que se soit. Je promis.

Très rapidement, comme je perdais presque à chaque fois, je me suis retrouvé avec pour tout vêtement qu' un seul t shirt. J'avais remarqué, malgré mon jeune âge que F. trichait souvent, à son avantage pour me faire déshabiller. Quand je n'eut plus rien sur le dos (lui était encore en slip et chemise) il me dit de me rhabiller pour aller finir le jeu ailleurs. On se rendit dans une grange par une échelle et on se retrouva dans le foin et la paille. Je du me remettre tout nu et lui se remit en slip. Là il me montra la manière de glisser sur la paille comme sur un toboggan, de sauter du haut des meules de foin en faisant des cabrioles et des roulades,

Bizarrement, je ne suis pas du tout gêné d'être nu devant lui, moi qui était suis pourtant très timide. C'est même paradoxalement le contraire, je suis très content de pouvoir m'exhiber ainsi devant mon cousin parce qu'il me regarde avec intérêt, je suppose. Une fois bien essoufflés, il décide de reprendre jeu de cartes là ou on l'avait laissé. Complètement nu et continuant à perdre au jeu de cartes, F. décide d'autres gages. Je dois monter sur le tas de paille en écartant les jambes avec les mains sur les hanches, me mettre à quatre pattes les fesses tournées vers lui, écarter les fesses avec mes mains le plus possible, me coucher sur le dos face à lui en tenant mes talons avec mes mains le plus haut possible etc. J'exécute mes gages et tout ce qu'il continue à me demander de faire sans rechigner, prenant goût au challenge. 

Tout à coup je m'aperçois qu'il remarque que je suis en érection. Il se met debout et s'approche de moi et enlève son slip. Je remarque son sexe beaucoup plus imposant que le mien et aussi les poils sur le pubis que je n'ai pas. Je remarque également que son sexe est très raide, arqué, avec le bout décalotté . A partir de cet instant là je dois avouer que cela me met dans un état d'excitation inconnu jusqu'à présent. Je commence à avoir le cœur qui bat dans ma poitrine, les mains moites et je n'arrive pas à détacher les yeux de son sexe.

Il le remarque certainement, car je suis haletant et j'ai les joues en feu. Immédiatement il m'explique comment je dois lui faire une fellation avec ses mots d'adolescent. Je refuse dans un premier temps, par amour propre, prétextant que c'est sale. Il réplique qu'il a pris une douche le matin même qu'il est donc parfaitement propre et qu'il va d'abord me le faire et qu'ensuite ce sera mon tour. Je ne résiste pas très longtemps à ses arguments, (l'honneur étant sauf) j'accepte. Je suis debout, il me tient par les hanches et pince mon sexe du bout des lèvres. C'est chaud et doux, mais ça ne dure que quelques instants.

" A ton tour maintenant!" dit-il. Je remarque qu'il est très rouge, qu'il a très chaud. Il s'allonge en se tripotant sans arrêt. Je m'agenouille à ses côtés et commence à prendre son sexe dans ma bouche. Pui je me positionne comme il veut, accroupi au dessus de lui en tenant son sexe avec ma main. Il me touche entre les fesses faire le mieux possible. Je suis très maladroit et il me conseille sans cesse sur la façon de faire avec ma bouche, avec ma langue et de le masturber en même temps. Je lui donne satisfaction et ça dure pendant un bon moment jusqu'à ce qu'il me dise d'arrêter.

 

Aujourd'hui, longtemps après cette journée, dont je me rappelle les moindres détails tant ils m'ont marqués, pour la première fois de ma vie j'ose dire que j'ai aimé ça dès la première fois.

Ce n'est pas  facile pour moi de le révéler même après tant d'années. Encore aujourd'hui j'ai du mal à me l'avouer à moi-même, à l'assumer et surtout à le mettre noir sur blanc et de le confier à celles (ou ceux) liront ce texte. Mais en même temps je dois avouer c'est aussi très jouissif.

 

Avant de se séparer cet après midi là, F. me dit qu'il avait beaucoup aimé ce que je lui avait fait. Il me demanda si moi j'avais apprécié. Je ne voulus pas lui répondre.

Il me fit jurer à nouveau que je garderai tout ça pour moi, comme un secret entre nous deux, que ça ne regardait personne d'autre et que si j'en parlais, de toutes façons ça se retournerait contre moi, car tout le monde se moquerait de moi. Je lui promis encore une fois le silence.

Pendant le reste des vacances j'ai souvent eu l'occasion de retrouver F. Nous avons plusieurs recommencé ces "jeux interdits", mais cette fois il n'y avait plus besoin de gages. Quand nous nous retrouvions seul chez lui ou dans une grange, la cave chez mes grands parents, une cabane de jardin, un chemin ou une haie discrète; je lui faisais une fellation. Il me demandait la plupart du temps (quand nous nous sentions en parfaite sécurité)  d'enlever mon short et mon slip, il me masturbait un peu jusqu'à ce que j'atteigne l'érection. Il me caressait les fesses et parfois me mettais les doigts dans l'anus. Ensuite il me demandait de prendre son sexe dans ma bouche. Je le faisaiss toujours avec plaisir. Jamais il ne m'a obligé ou menacé de quoi que ce soit. Je dois encore une fois admettre que je le faisais parce que j'aimais ça, ça me plaisait, ça m'excitait.

Depuis ces jeux sexuels, j'avais commencé à me masturber régulièrement, presque chaque soir dans mon lit et pour augmenter mon excitation je repensais à son sexe dans ma bouche, au plaisir que je donnais à F. et très souvent je me doigtais l'anus, comme il me le faisait.

On avait convenu d'un code tous les deux pour dire qu'il venait me chercher pour une fellation: Il disait "tu viens jouer au black man?" Je ne savais pas pourquoi il avait choisi cette phrase mais c'était un petit secret de plus entre nous et je m'y conformais. Une fois, alors qu'il n'était pas venu me voir depuis plusieurs jours, c'est moi qui étais aller frapper chez ses parents en disant fièrement: "j'ai envie de jouer à black man!" Je crois qu'il avait été très étonné de mon comportement.

Un jour ma grand mère (qui ne parlait pas l'anglais évidemment) a fait ce commentaire en entendant encore une fois cette phrase: "Aujourd'hui vous préférez donc les jeux étrangers? " Et comment! ma chère mémé!

Un jour, nous roulions à vélo dans les chemins. Il faisait très beau. F. s'arrêta dans un pré ou il y avait un talus. F. Il me demanda de me cacher derrière et d'enlever mon short et mon slip, ce que je fis. J'avais l'habitude. Il commença à me tripoter et me masturber doucement. Il introduit ses doigts dans mon anus après les avoir mouillés de sa salive. Il enleva lui aussi son pantalon et baissa son slip. Il était en érection. Les joues en feu je commençais déjà à faire un geste vers lui quand il me fit un signe négatif et me dit  de me retourner et de me coucher sur le talus. J'étais presque à 45°. Il écarta mes jambes, me plia un peu les genoux et il s'allongea sur moi. Je sentais très bien son gland contre mon anus, mais il n'alla pas jusqu'au bout des choses, il ne me pénétra pas. Aujourd'hui encore je ne sais pas pourquoi il ne l'a pas fait, car s'il m'avait pénétré de toutes façons je n'aurais pas protesté et je pense qu'il le savait. Peut être avait-il peur de passer à l'acte complètement? Peut être ne voulait il pas "m'abimer"? Avait -il peur que j'en parle un jour à quelqu'un? Aujourd'hui encore je ne le sais vraiment pas.

Puis il se releva sans rien dire, juste en me donnant une tape sur les fesses et en souriant sans que je comprenne pourquoi.

 

C'était la dernière journée de vacances en sa compagnie. Le lendemain, avec ses parents ils avaient quittés le village un peu à l'improviste.

 Je demandais à Thierry le meilleur camarade de mon âge de l'époque, s'il savait pourquoi F. était parti. Il me répondit que des gens disaient qu'il s'amusait souvent avec les enfants à de drôles de jeux. Que c'était pour ça que ses parents ne voulaient plus rester au village. Etonné, je lui demandais avec quels gamins? Thierry me dit qu'un jour F. avait voulu le faire déshabiller et qu'il avait refusé, mais que beaucoup d'autres avaient bien voulu avec des gages. Certains enfants en avaient parlé. Il ne savait rien d'autre.

Je n'arrivais pas très bien à dormir pendant quelques jours, car j'avais peur qu'avant de partir, les adultes aient fait parler mon cousin F.

Pour m'occuper et penser à autre chose, j'allais m'amuser avec trois filles d'une famille que mes grands parents connaissaient bien. Ces filles et leurs parents avaient quittés la région parisienne pour s'installer définitivement au village. Je trouvais l'aînée C. particulièrement jolie. Elle avait 2 ans de plus que moi et j'avais tout de suite remarqué ses petits seins qui pointaient sous son maillot. Mais c'était plutôt avec M. une de ses sœurs  jumelles, (de 2 ans de moins que moi) que j'avais le plus la côte. Elle avait confié à mon copain Thierry que j'étais "trop petit" pour intéresser C. sa sœur aînée.

Néanmoins, les jeux interdits avec les garçons étaient terminés pour moi et je me disais qu'il y avait peut être d'autres jeux interdits (mais un peu moins) à faire avec ces filles!

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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