Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 08:50

Ma première émotion sexuelle, la première dont  je me rappelle, en tous cas, m'a été donnée par ma mère. Je devais avoir 3 ans 1/2 environ, puisque ma sœur était bébé et nous étions dans la chambre de maman. Ma sœur était dans son berceau, il faisait chaud et nous étions là pour faire la sieste, il me semble. J'étais couché en slip, sur le lit de mes parents et ma mère elle aussi ne portait qu'une culotte. Nous nous reposions dans la pénombre, rideaux tirés. A un moment, maman s'est levée pour prendre le bébé qui pleurait pour la coucher avec nous. Elle lui parlait, essayait de la calmer tout en étant à genoux. Tout cela a du me faire sortir un peu de ma torpeur et d'un œil, je les regardais toutes les deux s'agiter. Maman tout bas disait: Chut mon bébé, tu vas déranger ton grand frère! Moi, pas vraiment réveillé, mais malgré tout conscient,  je ne bougeais pas, ce qui ne m'empêchait pas de voir .

Je fixais sa toison pubienne de poils noirs qui s'échappait de sa culotte blanche sans élastique et  tirebouchonnée, au niveau des aines et sur le ventre.

Je ne me souviens pas si ce jour là j'ai eu une érection, je ne le crois pas... Mais c'était malgré tout c'était une grande émotion sexuelle.

 

La seconde expérience (plus qu'émotion) m'a été donnée un peu plus tard par une gamine, une voisine, chez mes grands-parents avec qui je m'amusais. Nous jouions à la dinette je crois et aussi au papa et à la maman. Dans l'atelier de son grand- père, tout à coup elle baissa son slip et me montra son sexe et me demanda de "faire voir" le mien. Je baissais le mien immédiatement. Je l'examinai de près sous toutes les coutures et elle fit la même chose avec moi. Elle s'appelait Eliane. Je ne me souviens pas que nous ayons été plus loin, mais la scène s'est reproduite souvent, à chaque fois pratiquement que nous jouions ensemble. Plus tard alors que je venais de me marier pour la première fois, nous nous trouvions chez ma grand mère et Eliane qui se trouvait chez la sienne vint me rendre visite. Nous étions très contents de nous revoir depuis toutes ces années.

Elle a eue une phrase ambigüe que j'ai gardé en mémoire: "Tu te souviens comme on s'amusait bien tous les deux quand nous étions petits? J'ai adoré nos jeux et après tout ce temps passé j'y pense encore très souvent et toujours  avec énormément de plaisir" .

Elle dit ça en me regardant d'un air amusé et taquin, car ma jeune femme était là et entendait ce qu'elle disait sans en comprendre le sens exact naturellement. J'en suis resté sans voix et c'est quand elle a prononcé cette phrase que le détail des jeux que nous faisions m'est revenu soudain en mémoire. Elle était devenu une très belle femme rousse aux yeux verts que j'ai trouvé particulièrement intelligente et sensible. J'ai fini par répondre en la regardant dans les yeux: "oui moi aussi je me souviens et qu'est-ce que j'aimais aller jouer chez ta grand-mère,  avec toi à l'époque! On ne devrait pas grandir trop vite".

 

Ensuite vers 10 ans j'ai eu des plaisirs secrets avec ma cousine C. (qui avait un an de plus que moi) et était venue avec nous en vacances avec nous (mes parents, ma sœur M. et mon petit frère qui venait de naitre) dans une petite maison inoccupée qui appartenait à la famille. C'était un tout petit village du Berry. Pour descendre à la rivière qui se trouvait tout près il fallait prendre un chemin creux qui serpentait dans les rochers. On habitait en région parisienne à cette époque et pour nous cet endroit était presque le paradis, petits et grands. Mon père passait ses journée à la pêche et maman tachait de nous occuper avec des jeux et nous emmenait chaque après-midi nous baigner à la rivière.

La maison était petite, il y avait une cheminée qui sentait la suie dans laquelle parfois nous faisions des gaufres, surtout quand le temps était à la pluie. Il y avait deux chambres, un petit cabinet de toilette et la pièce principale avec la cheminée. Mes parents et le bébé occupaient la première et ma cousine, ma sœur et moi étions dans l'autre. Avec C. nous dormions dans l'ancien lit bateau, très haut, pas très large, je me souviens et ma sœur dans un petit lit à côté de nous.

Une nuit alors que je dormais C. me tira et me fit signe d'écouter et mit son doigt devant sa bouche. J'entendis comme quelqu'un qui gémissait et également les ressorts du lit qui grinçaient dans la chambre d'à côté. Elle vint près de moi et mit sa bouche contre mon oreille et chuchota: "Je crois que ton père et ta mère font l'amour, tu entends?" Je répondis aussi doucement que possible à son oreille: "Comment tu le sais?" (je savais à peu près cette signification sans vraiment connaitre aucun détail) Elle chuchota de nouveau: "J'ai déjà vu papa et maman le faire, un après-midi chez moi, ne bouge pas je vais aller voir." Elle descendit du lit et à 4 pattes elle se dirigea vers l'autre chambre tout doucement. Me redressant sur un coude je la distinguais à peine car il faisait très sombre , je vis quand même qu'elle me refit encore le signe de me taire et j'obéis et me rallongeais.

Un bon moment après elle remonta dans le lit. On entendait toujours le bruit du sommier et les cris étouffés de ma mère. Elle me dit à l'oreille "ils sont tout nus sur le lit et ta mère est assise sur ton père à quatre pattes. " Elle rajouta "je crois qu'ils le font, mais pas pareil que mon père et ma mère. Eux  c'était mon père qui était sur ma mère"

Je ne savais plus trop quoi dire." Pourquoi maman avait elle ces gémissements? Mon père lui faisait peut être mal en lui mettant son sexe entre les fesses, comme le décrivait C.?"

C. se rapprocha de moi et me demanda si je l'avais déjà fait?

Je lui répondis que non (question idiote je trouvais!) Elle me dit: Moi je l'ai déjà fait avec deux garçons. Tu veux que je te montre? Je ne répondis rien. Elle enleva sa chemise de nuit et baissa le bas de mon pyjama et saisit mon sexe qu'elle commença à tripoter , puis elle prit une de mes mains et me la mit sur sa vulve et me l'appuya très fort dessus, me montrant ce qu'elle voulait pendant un quelques instants. Elle n'avait qu'un peu de poils au pubis et pas de poitrine du tout . Je la frottais, en appuyant comme elle voulait. Ensuite elle me dit "nique moi" et elle se mit en dessous de moi en écartant les jambes. Elle frottait son ventre et son sexe contre les miens mais je ne la pénétrais pas. Je ne pense pas qu'elle savait vraiment comment le faire; pas plus que moi. Quand j'y pense aujourd'hui, je me dis que les deux garçons n'avaient certainement pas été plus loin non plus....

Par la suite cet été là, nous avons recommencé plusieurs fois nos jeux, pendant les nuits quand tout le monde dormait mais aussi parfois la journée, dans des endroits isolés, lorsque nous nous retrouvions seuls. Jamais nous n'avons été plus loin que ces simulacres de coït copiés sur les grandes personnes.

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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