Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 15:11

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Mars 1965, j’ai presque 13 ans et mon père est parti au Maroc pour le travail. On lui a fait un contrat dans une société minière qui exploite le phosphate. Maman est restée seule avec nous trois: Moi, ma sœur et mon frère, dans une maison louée près de Sèvres en région parisienne. Nous attendons quelques mois qu'il ait  fini sa période d'essai; ensuite il trouvera un logement et nous pourrons enfin le rejoindre. Depuis les fêtes de fin d'année, mon petit frère E. est chez mes grands parents et ma sœur M. chez sa marraine et son parrain, car maman a du se remettre à travailler dans une usine de cellophane depuis que papa est parti en début d'année. Elle a pas mal de problèmes financiers, car il est difficile d'envoyer de l'argent du Maroc, ce qu'il n'a su qu'une fois sur place. Maman m'a gardé avec elle, car je suis au collège et elle fait en sorte de perturber ma vie le moins possible en ne changeant pas trop mes habitudes d'adolescent. J'essaie d'être autonome et j'aide maman comme je le peux en m'occupant de ma chambre, mettant le couvert, faisant la vaisselle et parfois également quelques courses. Je suis content  de pouvoir continuer à faire de la gymnastique et du tennis les après-midi avec un copain dont le père est prof de sport. Un de ces jours là, c'était un jeudi, il y avait eu un problème de sécurité dans le gymnase à cause du chauffage, si j'ai bon souvenirs et je suis rentré directement à la maison juste après le repas de midi que je prenais à la cantine du collège.

Le père de mon copain me déposa à la maison. A cette heure-ci, maman n’était pas encore rentrée de son travail, mais j’avais ma clé. Je pris un bain bien chaud car j’avais des frissons par ce temps gris et glacé d'hiver. L’eau du bain me réchauffa. J’enfilais ma robe de chambre, de grosses chaussettes et j'allais dans la chambre de maman pour fouiner un peu partout à la recherche de "choses secrètes". J'adorais car ça m'excitait beaucoup depuis qu'une quinzaine de jours auparavant, par hasard, j'avais eu la surprise de m'apercevoir que dans un placard, le cadenas à chiffres qui fermait une malle métallique était resté ouvert. Depuis, dès que j'en avais l'occasion, connaissant les numéros, j'ouvrais la cantine et je passais mon temps à en faire l'inventaire. Elle contenait tout un tas d'objets personnels qui appartenaient à mon père, des actes de notaires et des vieux titres de propriété auxquelles je ne comprenais rien. Mais ce qui m'intéressais le plus dans tout cela, je dois l'avouer, c'était plusieurs dizaines de photos de ma mère nue ou à moitié dénudée. Sur certains clichés elle était très jeune, pas plus de 15 ou 16 ans. Pour la plupart elles étaient d'un assez grand format et en noir et blanc sauf quelques unes parmi les plus récentes qui étaient en couleur. Sur ces photographies, on pouvait voir ma mère poser dans toutes les positions, des plus soft aux plus osées. Certaines avaient été prises en extérieur mais pour la plupart c'était certainement des clichés de professionnels réalisés en studio . Dans la malle il y avait aussi toute une collection de godemichets de toutes les formes et de toutes les tailles (c'était la première fois que j'en voyais car je ne savais même pas que ça existait, ni comment ça s'appelait, mais vu certaines photos, je n'avais pas de doutes quant à leur usage... ) et aussi des piles de magazines pornographiques. Sur certains exemplaires qui étaient des sortes de romans photos, comme cela se faisait beaucoup à cette époque, je reconnus ma mère. Je remarquais très vite qu'elle n'avait jamais les 1ers rôles dans les scénarios classiques, mais que par contre, dans certains magazines qui montraient des scènes beaucoup plus trash, elle faisait souvent partie des "actrices" les plus représentées.

J'étais donc en train de consulter  mes découvertes quand tout à coup j'entendis le crissement des pneus d'une voiture sur le gravier dans la cour. Je paniquais un peu, mais j'arrivais malgré tout à ranger du mieux possible tout ce que j'avais sorti de la malle et je la remis dans le placard à sa place. Je retournais très vite dans ma chambre et regardais à l'extérieur de la maison. C'était la voiture de maman et aussi un autre véhicule. Vite, je m'allongeais sur mon lit, me demandant qui cela pouvait bien être et pour quelle raison maman inattendue ma mère rentrait si tôt car il n’était même pas 14h ! En plus elle n’était pas seule. J'entendis qu'elle tournait la clé dans la serrure et ensuite qu'elle parlait au chien pendant quelques instants puis elle l’enferma au garage et de retour dans la pièce dit « Voila, je suis à votre disposition… ».

Je sors de ma chambre en glissant à plat ventre sur le parquet et du haut de la mezzanine je jette un coup d’œil à travers la balustrade, dans le salon-salle à manger juste en dessous.

Maman est assise sur le canapé et il y a trois hommes debout près d’elle. Elle porte encore son manteau et a les jambes croisées et on voit  le haut de ses cuisses.

Un homme d’environ 55-60 ans, petit, avec une moustache, se trouve de l’autre côté de la table basse, face à elle sur un fauteuil. Deux autres hommes plus jeunes sont un peu en retrait: L'un très mat de peau, d’environ 45 ans, typé maghrébin, athlétique et un autre plus jeune, environ 25 ans qui est blond, mince.

Le plus âgé demande aux deux autres d’installer une grosse caméra sur son trépied et un système d’éclairage, une sorte de parapluie et de tirer les rideaux de la pièce.

Ma mère interpelle le plus âgé : « Je n'avais pas compris pas que vous deviez filmer dès aujourd’hui ! Ce n’était pas précisé ! Sinon je me serais déplacée» L'homme plus âgé répond « C'est toujours comme ça, il est exigé que tous les entretiens des castings soient filmés. D’ailleurs je vais vous demander de lire ce contrat que j’ai apporté et de le signer si vous êtes toujours d’accord».

Je vois maman tendre la main pour saisir les feuillets et commencer à lire avec attention. Au bout de quelques longues minutes Elle dit « C’est d’accord mais juste une précision : Vous avez les droits de diffusion intégrale des images qui vont être tournées maintenant? » L’homme à la moustache répondit affirmativement « Oui les images appartiennent à la société de diffusion, mais elles ne pourront être diffusées qu'avec votre accord après avoir touché le cachet quand vous aurez tourné. Auparavant il faut que votre candidature soit retenue suite au casting d'aujourd'hui».

A seulement à cet instant que je finis par comprendre ce que ma mère fait là avec ces hommes et ce que le mot casting doit vouloir signifier. Elle veut tourner un film porno et ils sont ici pour la tester en quelques sortes.

Je ressens des frissons d’excitation dans tout le corps, mais en même temps un sentiment de honte vis-à-vis de ma mère m'envahit. Je suis médusé et je continue à regarder intensément la scène qui se déroule juste en dessous de moi.

L’homme à moustache dit « appelles-moi Henry et voila Kader et Franck. Toi c’est C. c’est ça ? (je remarque qu’il la tutoie maintenant…) Attend, je regarde un instant le dossier… Tu es plus branchée genre soumission et humiliation d’après le questionnaire que tu nous as renvoyé, pas trop maso…Tu n’as mis aucune restriction stricte par rapport aux scènes que tu ne souhaites pas tourner ? C'est toujours d'actualité, on est d’accord ? Tu as lu et signé le contrat, et je vais te faire un premier chèque comme cela était prévu. C'est d'accord? »

Ma mère lui réplique que c’était bien clair pour elle, qu'elle s’était déjà engagée par écrit, avec la personne de la société  qu’elle avait rencontrée initialement pour faire ce casting et qu’elle avait accepté en connaissance de cause l'option la mieux rémunérée qui était celle de tourner les scènes pornos qu’on devait choisir pour elle, et elle ne comprenait pas pourquoi on lui posait encore toutes ces questions maintenant.

Henry : « C'était seulement pour que tout soit clair. Nous allons commencer! Dans un premier temps, je te le rappelle, je te pose des questions auxquelles je te demanderai de répondre en toute sincérité. Si tu ne te tiens pas à la stricte vérité, tu risques au bout d'un moment de dire n’importe quoi et on sera obligés de tout reprendre, ce que je ne souhaite pas du tout !

Pour ce qui est du tournage ensuite, je compte sur toi pour faire de ton mieux car je le but c'est de te pousser le plus possible dans tes retranchements... Voir ce dont tu es capable pour être tout à fait clair.

Maman que je sens un peu agacée dit qu'elle est bien consciente de la situation et qu'elle l'a compris.

Henry : Tu es sur qu’on ne sera pas dérangés ?»

Maman : « On ne sera pas dérangés, en ce moment je suis seule avec mon fils . Il ne rentrera pas avant 18h30. »

Henry : « Ne réfléchis pas trop à ce que doit être la bonne réponse, mais soit sincère. C'est ce qu'on attend! Ok ? Ne cherche surtout  pas à te mettre en valeur»

H : « Franck ! Moteur  caméra ! Tu as quel âge ? »- 36 ans

« Tu es mariée depuis quand? » - Depuis 14 ans.

« Pas d'amant? » -Des aventures, mais rien de vraiment suivi.

« Tu n’as qu’un garçon? Quel âge ? » -Il a 13 ans mais j'ai deux autres enfants un garçon et une fille, plus jeunes qui ne sont pas avec moi pour l'instant.

 « Ta fille te ressemble physiquement ?" -Non pas du tout ! Moi comme vous le voyez je suis très brune et M. ressemble à son père, qui est châtain-roux.

(Maman est une femme encore séduisante même si elle n'est plus vraiment mince depuis sa dernière grossesse, très brune, les cheveux épais, coupés courts. Elle a les yeux marrons foncés, elle n'est  pas très grande, et une assez petite poitrine).

« Justement on va voir un peu à quoi tu ressembles ! Enlève ton manteau et ta robe ! Tu portes quoi dessous? Juste un porte-jarretelle et un soutif! Quelle chatte dis donc ! Tu ne te rases pas? C'est pour cacher la cicatrice de la césarienne?» -Oui, c'était à mon dernier accouchement je laisse pousser naturel depuis.

« Egalement pour faire plaisir à tes mecs ? - Tu trouves que ça fait plus cochonne?" - Peut être parce que j’aime bien comme ça.

« Ah bon ça te plait de faire la cochonne ?  Remarque je m’en doutais un peu quand même ! Enlève tout ! » (J’aperçois ma mère qui enlève rapidement ses bas et les portes jarretelles et qui se rassoit sur le canapé.)

« Ton soutif aussi. Tu ne veux pas nous montrer tes nichons ? » Elle enlève son soutien gorge sans répondre, ses seins sont assez petits et tombants.

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« Pas mal, après trois grossesses! Ecarte bien les cuisses et montre nous ta chatte! "Tourne-toi maintenant. Montre bien ton cul. Pas mal non plus! Super poilue dis donc! Tu pratiques la sodomie ?" - Oui, ça m'arrive.

Il fait signe d'arrêter la caméra.

Il s'approche de maman et dit   «Je te rappelle que tu es censée jouer ton propre rôle dans le film et ce qu'on attend de voir, tu n'es pas une jeune pucelle dans le film, mais une mère de famille arrivant à la quarantaine qui a envie de se faire défoncer car elle est en manque. Alors ouvres ta chatte et fais en sorte qu'elle le soit toujours devant la caméra.

Elle répond qu'elle a compris et que c'est d'accord.

Henry fait signe au cameraman de reprendre.

 « Tu as commencé à te masturber à quel âge? Comment tu as commencé? Avec des copines? » - Vers 10 ou 11 ans, J'ai découvert que ma mère le faisait et j'ai fini par faire la même chose!

"Tu l'as surprise ou elle ne savait pas que tu la matais? -Je l'espionnais dans sa chambre ou dans la salle de bain, elle ne s'en ai jamais rendu-compte.

"Parce que c'est arrivé plusieurs fois? -Oui pas mal de fois.

« Et les godes ? » - J’ai commencé à l’adolescence, vers 14 ans mais pas avec des vrais godes, c’étaient des flacons de toilette, des bouteilles, parfois d'autres chose. C'est mon premier amant qui m'a acheté mon premier gode.

« C’est quoi le plus gros que tu te sois mis? Quel diamètre ? » - Je n'ai jamais vraiment mesuré Un gros gode qui fait environ 7 ou 8cm je crois.

« Ca remplit bien la chatte dis-donc 7cm ! Et sinon le plus gros autre chose que des godes ?"     -Avec des tubes pour les balles tennis et de base-ball.

«Je vois ! Tu dois accepter la fist-fucking? Et par le cul? tu te godes aussi avec? »

(je suis vraiment très excité de l’entendre répondre à toutes ces questions. Mais je me dis qu’y répondre soi-même doit être un plaisir beaucoup plus  fort).

- Oui je me gode aussi par derrière avec de gros godes, mais pas très souvent,  la plupart du temps  je me sers de  godes  réalistes.

Mets toi allongée sur le tapis, Kader, vire-moi la table et ces chaises. Ensuite tu lui mets les pinces à seins, (Kader avec Franck poussent tous les meubles du tapis et ma mère s’allonge sur le dos au milieu de la pièce, ensuite Kader prend deux grosses pinces à boules métalliques qu’il lui accroche sur les tétons. Elle gémit assez fort).

 « Tu mouilles non ? » -Oui mais ça fait mal !

« Tu vas t’habituer t’inquiètes ! Ouvre bien ta chatte ! »

« Tu as déjà baisé à plusieurs je suppose ? » - Oui.

« Double pénétration ? Détailles-moi » - Oui. Je fais les doubles pénétrations.

« Je te dis de préciser ! » - Double vaginale et double pénétration  vagino- anale

« Pas de double anale? " - Si, mais sSeulement quelques fois.

« Mais pourquoi tu le dis pas tout de suite? Tu as encore des réticences? J’aurais plus vite fait de te demander ce que tu ne fais pas ! On gagnerait du temps je crois !

« La fellation tu pratiques bien sur ? Remarque toutes les femmes le font ! Mais est-ce que tu avales ? » - Non je n’avale pas ! De toutes façons il y a des préservatifs non ?

« Si tu avais bien lu les clauses tu aurais du voir que pour les pipes c’était sans capote ! » - De toutes façons je n'avale pas.

« Mets-toi à genoux, Kader mets-toi derrière et tu la pénètres quand je te le dis Ok ? C., écarte bien les cuisses et ta chatte.

« Et ton fils? Je suis certain que tu dois l’avoir sucé quand il était plus jeune! Toutes les femmes de ton genre le font ! Kader encule là! (Je vois Kader derrière elle qui lui passe son sexe plusieurs fois entre les fesses et qui s’enfonce en elle d’un seul coup, elle crie assez fort .

« Alors tu l’as sucé ? Mais dis-le salope ! Maman ne répond pas et continue à gémir très fort, tout en ouvrant sa chatte des deux mains. Je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir… Certainement les deux.

«Franck tu lui mets le collier de chien et tu prépares le speculum » Puis il s’adresse à Kader « Attaches lui les mains avec les bracelets et tapes lui un peu sur les fesses» Kader enlève son sexe de l’anus de ma mère qui tombe, couchée à plat-ventre sur le tapis, puis il lui saisit les mains et lui attache dans le dos avec des sortes de menottes et lui donne quatre ou cinq bonnes claques sur les fesses qui la font crier, pendant que Mario lui place un collier de chien en cuir autour du cou et dépose un long objet métallique à côté d’elle.

« Tiens la court à la laisse Franck et toi Kader  remonte-lui les bras dans le dos, comme ça elle ne bougera plus » Il s’adresse à maman en lui mettant l’objet métallique juste devant le visage : »Tu connais ? Mais celui-ci c’est la taille au dessus tu vois ? 27 cm de long et 7 cm de largeur. Pour les juments ! C’est fait exactement pour toi en fait ! » Elle essaye de dire quelque chose que je ne comprends pas car son collier doit la serrer.

(A ce moment là je ne supporte plus la scène et je regagne ma chambre à plat ventre et la tête dans un oreiller je commence à pleurer, j’entends à peine le bruit des voix en sourdine qui montent du salon. Au bout d’un moment je me calme. Mon excitation  et mon envie de voir la suite  étant les plus fortes je retourne à mon poste).

Ma mère est toujours à genoux, allongée sur un plaid, elle ne dit plus rien, mais je l’entends d’ici respirer très fort et gémir un peu. Je vois que le gros speculum est introduit presque complètement dans son vagin et Henry, derrière elle, est en train de tourner la molette doucement. Ca dure pendant un bon moment, puis se il relève en disant : « Elle le prend quasiment entier sans problème ! Et pourtant il est ouvert à fond je crois ! Essaies Kader pour voir, toi, tu as plus de force ». Ma mère avec des sanglots dans la voix dit « Vous allez me défoncer ! Arrêtez ! » Kader tourne encore 2 ou 3 fois le papillon et dit « Il est ouvert au maxi, on peut lui mettre le poing entier dans la chatte, une vraie jument ! ». Et il introduit sa main fermée jusqu’à mi-coude dans l’engin, sans forcer, sans même que son poing touche les parois en inox.

H : « Elle a l’air de bien supporter malgré tout. Tu n’auras plus besoin d’écarter la chatte avec tes mains maintenant, elle restera grande ouverte toute seule ! »

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Ma mère ne dit rien, elle gémit toujours un peu de façon continue, elle me fait penser à un chat qui pleure ou à un petit bébé.

Moi à cet instant, je me branle comme un fou. Je m’écarte les fesses avec les deux mains, imaginant que je suis à la place de ma mère, devant ses trois hommes qui feraient ce qu’ils veulent de moi. A cet instant je sais que moi aussi j’ai envie d’être humilié et forcé, prêt à tout pour m’exciter le plus possible, à jouir,  sans limite.

Au bout d’un long moment Henry dit : « Retire-lui l'engin Kader » ! Kader lui enlève le speculum qui tombe sur le plaid et maman toujours tenue en laisse par le cou et les mains dans le dos, tombe à plat ventre.

H: « remets toi en levrette jolie cochonne ce n'est pas fini ! » Maman ne dit rien. Elle se remet à genoux, les cuisses écartées et nous montre son vagin et son anus distendus sans aucune pudeur.

« Franck, mets lui ta queue dans la bouche. Franck baisse son slip et lui met son sexe en érection devant le visage. Il tire un peu sur la laisse et ma mère happe son membre avec ses lèvres et j'ai l'impression qu'elle le suce avec plaisir.

Kader lui enlève les menottes pour qu’elle puisse se tenir en avant sur les mains, il se place derrière elle et accroupi sur ses reins et lui enfonce comme tout à l’heure son énorme sexe dans l’anus. Maman a un râle, un peu étouffée par le sexe qu’elle a dans la bouche.

Je vois très bien par derrière les fesses et l’anus poilu de Kader qui la sodomise violemment. Henry pendant ce temps a enfilé des gants en latex bleu et sans plus attendre, lui introduit le poing droit dans le vagin. Cette fois ma mère relève la tête avec une sorte de long rugissement, sa bouche ignore le sexe de Franck quelques instants pour profiter au maximum de cette double pénétration hors norme. Henry rentre très vite le poing ganté le plus profondément possible et le retire aussi vite, pendant que Kader la sodomise dans un va et vient qui affole ma mère.

Elle bouge, crie se débat, elle dit qu’elle adore qu’elle va jouir, mais dit aussitôt que c’est trop, qu’ils vont la défoncer, elle dit « assez ! je n’en peux plus » Mais je la vois reprendre en bouche le sexe de Franck qui se masturbe en même temps. Il la tient serré avec la laisse et par les cheveux pendant que Kader s’est tourné dans l’autre sens et continue à l’enculer de haut en bas, ce qui lui permet d’écarter les fesses de  maman et de voir le fisting d’Henry.

Puis Franck lâche la laisse et il la tient à deux mains par le collier. Il dit « Je viens, je vais jouir, continue, suce-moi à fond ! » et je le vois agité de 3 ou 4 spasmes pendant qu’il éjacule dans sa bouche. Elle lui tient le sexe d’une main et le masturbe pendant qu’elle continue à sucer et à avaler jusqu’à la dernière goutte sans quitter Franck des yeux.

Henry sort sa main une dernière fois de sa chatte pendant que Kader jouit presque en même temps que Franck. Elle tombe en avant sur le tapis comme désarticulée sans un mot.

Moi aussi j’ai joui en solitaire en regardant cette scène de folie. Je file dans ma chambre et me rhabille très vite.

Quand je retourne à mon point d’observation, plus rien ne traîne dans la pièce : La caméra a disparu, les meubles ont repris leur place, Kader et Franck ne sont plus là. Ma mère, toujours nue discute calmement avec Henry comme si rien ne c’était passé.

H : « Je suis très content pour une première fois et je pense qu’on pourra faire un truc bien avec les prises. Et vous? comment avez-vous vécu les choses ? Vous n’avez pas trop de douleurs ?

M : « Si j’ai quand même assez mal et je crois que je vais aller prendre un bon bain et me coucher tôt ce soir. Un moment avec le speculum j’ai eu peur, mais en fait j’ai fini par me calmer. C’est impressionnant après coup de savoir que j’ai eue toute cette longueur d’enfoncée en moi ! C'était presque comme un accouchement!

H : « Un peu excitant aussi peut-être ? La prochaine fois vous n’aurez plus peur car vous saurez  à quoi vous attendre !

M : « C’est obligé d’utiliser ce speculum pour juments ?

H : «  Ce n’est pas obligé, mais on gagne du temps quand on veut faire des scènes de fist. On pourrait utiliser un gros gode aussi, mais le speculum n’est pas souvent employé car la plupart des femmes refusent. Donc vous avez toutes les chances de faire un film, car c'est très impressionnant à voir quand c’est filmé comme ça, de dos et à quatre pattes. Sinon je voulais vous proposer quelque chose de personnel.

M : « Je vous écoute, dites-moi tout ! »

H : « A titre personnel, je tourne aussi du porno et j’ai un petit studio bien équipé en Belgique. Vous seriez éventuellement intéressée ? C’est très bien payé et tous les frais sont remboursés.

M : « En Belgique ? Pourquoi si loin ? Et ça veut dire quoi très bien payé ?

H : « En Belgique parce que je suis belge ! Bien payé oui mais tout dépend de la prestation ! Je recherche des scènes originales, un peu hors du commun si vous voulez, pour des publics avertis. Je ne tourne pas les films classiques qu’on voit dans toutes les productions X. J’essaie de me démarquer un peu. Les acteurs qui travaillent pour moi sont tous des amateurs dans votre genre, branchés cul et que je recrute personnellement.

M : « Laissez-moi vos coordonnées et je vous contacterai pour vous donner une réponse, après avoir réfléchi et d’après les renseignements que vous me donnerez.

H : « C’est convenu comme ça ! Je vous laisse ma carte. Si par ailleurs vous avez une connaissance féminine qui est intéressée ou qui souhaite vous accompagner pour le tournage, faites le moi savoir ! Je suis toujours preneur ! A partir du moment où c’est une femme dans votre genre, sexuellement libérée qui aime prendre du plaisir tout en voulant gagner pas mal d'argent.

Il se leva et sorti sans que maman ne bouge du canapé. Elle avait l’air très fatiguée.

Elle se releva avec difficulté et se rendit à la salle de bain.

Au bout de quelques instants j'entendis l’eau qui coulait et je descendis de ma chambre.

Sur la table du salon je remarquais la carte de visite qu’Henry avait laissée.

Jenotais le numéro de téléphone et je me rendis au café du coin ou les jeunes avaient l’habitude de se réunir. Là, j’attendis l’heure où j’étais censé finir ma leçon de tennis en sirotant un chocolat chaud, avec des milliers de questions et d’idées dans la tête.

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Par billy - Publié dans : adolescence - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 14:56

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Nous sommes au début du mois de septembre 1966, au Maroc. Le mois dernier j'ai eu 14 ans. La nouvelle année scolaire va commencer bientôt, dans moins d'un mois au lycée français de Marrakech, je suis encore en vacances d'été jusqu'au 30 septembre, mais auparavant nous devons nous rendre préalablement, mon père et moi, dans l'établissement pour préparer la rentrée à l'internat. Nous en profiterons pour faire des achats en ville et aller rendre visite à mes correspondants qui sont des amis de mes parents. (pour les internes qui n'ont pas de famille sur place, il faut quelqu'un de confiance, responsable, en cas de souci de santé ou de discipline etc.)

Vendredi 6 septembre, jour marqué à jamais dans ma mémoire, comme le point de départ d'une sexualité particulière qui allait durer plusieurs années. Cependant ce matin là, rien ne laissait présager ça et nous partons, papa et moi, en voiture, tôt le matin, pour éviter les grosses chaleurs. Nous arrivons au lycée Victor Hugo en début de matinée, nous nous rendons directement à l'internat pour prendre possession du coin de dortoir qu'on m'a affecté, enfin nous réglons le détail des inscriptions, les différentes formalités et remplissons tous les papiers en vue de  la prochaine rentrée scolaire.

Vers 11h00 tout est terminé et nous allons nous rafraichir en allant boire un pot en ville. En cette saison au Maroc il règne une chaleur orageuse écrasante à cette heure de la journée. Pendant le  déjeuné pris rapidement, mon père me demande si je souhaite venir avec lui chez les amis ou si je préfère faire autre chose, car nous ne repartirons qu'en fin de soirée, après diner, à la fraiche. J'imagine qu'il souhaite certainement passer l'après midi seul avec Marie, l'épouse du couple de mes correspondants, une jolie petite Belge blonde d'une trentaine d'années, à la poitrine avantageuse et aux yeux bleus pétillants. Comme je n'ai pas envie de passer ma journée à l'attendre, je préfère aller de mon côté et nous nous fixons rendez-vous ici à 19h. J'ai l'idée d'aller voir Estéban, le surveillant d'internat, qui m'avait débarrassé de Mo, mon "meilleur ami" du lycée, un marocain de 17 ans qui m'avait pris en main dès le début de l'année scolaire précédente, sous le prétexte pervers de me protéger et qui en fait, avait bien su profiter de moi et de mon besoin de sexualité, à chaque fois qu'il l'avait souhaité et de la façon qu'il avait voulu. C'est aussi Estéban, qui pour la première fois m'a fait enfin arriver à jouir par la sodomie passive, alors que je n'avais eu qu'un seul rapport avec lui, alors que Mo qui profitait pourtant de moi presque chaque nuit n'avait jamais réussi à me faire connaitre cela.

Je me rends tout d'abord chez un copain du lycée, pour lui demander qu'il m'accompagne chez Estéban, car cela me gène d'y aller seul; mais un voisin me dit que toute la famille est en excursion pour quelques jours. Un peu désemparé et ne sachant plus trop quoi faire, je décide d'aller chez les parents d'Estéban, mais c'est loin du lieu ou je me trouve et situé dans la vieille ville. Je prends un taxi pour m'y rendre, car ce n'est pas évident de trouver une adresse dans ce dédale de rues. Heureusement un commerçant fini par m'indiquer la porte de la maison. Je frappe avec le heurtoir et un homme vient m'ouvrir: je demande Estéban. Il me dit d'attendre un moment et c'est une jolie marocaine d'environ 45 ans qui se présente comme étant sa maman qui vient me saluer et me dire que son fils se trouve chez un ami pas très loin d'ici et que quelqu'un va m'y accompagner. Je la remercie et le domestique me précède dans les rues de la médina. En effet ce n'est pas loin, mais avec toutes ces petites rues, sans guide, je n'aurais jamais trouvé! Mon accompagnateur me laisse à la porte de la maison et repart aussitôt. Presque immédiatement un homme, noir, vient m'ouvrir. Il est torse-nu, vêtu seulement d'un bermuda, grand et corpulent il doit avoir dans les 40 ou 45 ans. Il me lance un regard interrogateur et me demande gentiment avec un fort accent portugais ce que je veux. Je lui dis que je cherche mon ami Estéban. Il répond qu'il est sorti pour aller déjeuner, mais qu'il devrait bientôt revenir, que si je veux, je n'ai qu'à entrer l'attendre. J'entre et me retrouve dans un patio avec dans son milieu un bassin en mosaïque ou coule une fontaine. Tout est carrelé en faïence bleue et blanche. C'est vraiment très joli. Il y a plusieurs pièces qui donnent sur la cour centrale où j'aperçois des canapés et de très beaux tapis partout. L'homme se présente en disant qu'il s'appelle Raphaël, qu'il est originaire de Guinée Bissau une ancienne colonie portugaise et me demande mon nom. Quand je le lui dis, je vois immédiatement qu'il réagit. Il dit avec un sourire entendu "Ah effectivement Estéban m'a parlé de vous! Vous préférez entrer dans le salon ou rester dans le patio? seulement à l'intérieur il fait très chaud à cette heure-ci." Je lui réponds qu'effectivement je préfère rester ici car c'est très agréable avec la fraicheur donnée par la végétation et l'eau qui coule. Je prends place sur un pouf et il revient sans tarder avec une cruche de jus d'oranges pressées, du thé à la menthe et un assortiment de "majouns", une sorte de petits gâteaux secs fourrés.

"Mettez vous à l'aise! faites comme moi enlevez votre chemise! Faites comme chez vous je vous en prie!" S'exclame le colosse africain. J'enlève ma chemisette avec plaisir car elle est trempée de sueur et je choisis un grand verre de jus d'orange.

Prenez des gâteaux, vous verrez ils ont été faits ce matin! Vous avez déjà gouté les majouns au beurre de Marrakech?

Je dois préciser que le "beurre de Marrakech" est un mélange de résine et de feuilles hachées de cannabis mis dans une pâtisserie pour ceux qui ne fument pas, le plus souvent consommé par les femmes et aussi par les jeunes. Cette préparation donne les mêmes effets que  le cannabis fumé, mais ils sont plus lents et par contre durent plus longtemps.

Mo m'avait incité plusieurs fois à gouter ces gâteaux, m'expliquant en détails que leur consommation augmentait le plaisir des filles qui pratiquaient l'amour à l'espagnole (la sodomie, pour ne pas perdre leur virginité) sous entendant que c'était exactement la même chose pour les garçons passifs. "Avec ça" disait il "tu ne seras plus du tout timide pour faire ce que tu aimes le plus". Mais j'avais toujours refusé, malgré, ma curiosité de tenter cette expérience, car consommer ce genre de produit à l'internat pouvait couter l'exclusion définitive. Ici c'était différent, je ne risquais rien et, espérant découvrir des choses nouvelles, je décidais d'en croquer quelques un,

Une demi heure plus tard, Estéban n'était toujours pas arrivé et je m'en inquiétais auprès de Raphaël, lui disant que j'allais finir par partir s'il ne revenait pas bientôt. Mais il me conseilla de patienter en me proposant de me baigner dans la petite piscine, un grand bassin de forme carrée, carrelé de faïence. Je lui dis que je n'avais pas de maillot. Il rétorqua qu'il pouvait me fournir une serviette, mais qu'il n'y avait pas de maillot de bain, que je pouvais me baigner sans rien, que d'ailleurs ici, tout le monde le faisait.

Je me souviens que l'effet des gâteaux, déjà à ce moment là, commençait à se faire sentir et qu'effectivement ça diminuait ma timidité et ma vigilance et j'acceptais son offre de baignade sans qu'il ait besoin d'insister plus que ça. J'enlevais mon jean et mon caleçon pour m'assoir dans l'eau fraiche. J'avais de l'eau jusqu'au cou, c'était très agréable et je posais ma tête sur le bord du bassin en fermant les yeux. Un petit moment après, Raphaël m'interpella gaiement en disant qu'il allait également venir se rafraichir. Il se déshabilla complètement et je remarquais immédiatement son sexe très épais et long qui lui battait la cuisse pendant qu'il avançait vers moi. Comme il était totalement épilé, on pouvait encore mieux se rendre-compte de ce format exceptionnel qui ne me laissait pas vraiment indifférent pour être tout à fait franc. Je me surpris à m'interroger sur la façon dont j'allais réagir s'il me proposait maintenant une relation sexuelle ou simplement une fellation. Mais il me proposa simplement eencore une boisson et des biscuits. Je le remerciais et répondis que j'allais aller me servir moi-même. Je sortis du bassin et me dirigeais vers la petite table où je mangeais encore plusieurs petits gâteaux fourrés, accompagnés d'un verre de jus d'orange pressé. Je sentais que Raphaël, pendant ce temps là, ne me quittait pas des yeux. Moi, c'était son énorme queue qui attirait irrésistiblement mon regard, et il ne manqua pas de le remarquer. Il sortit du bassin et s'approcha de moi tranquillement, prenant bien son temps afin de se faire admirer, ce qui accentua mon trouble. Arrivé tout près de moi il me demanda tout à coup "depuis quand exactement tu es "bon ami" avec Estéban?" Je lui répondis que je le connaissais depuis le début de l'année scolaire dernière, parce qu'il était surveillant de notre dortoir. En souriant il me dit sans "En disant "bon ami", tu comprends ce que je voulais dire? Je remarquais qu'il me tutoyait pour la première fois et je lui répondis en ressentant le feu sur mes joues: "c'était au début du mois de mai dernier". " Ah seulement? Tu sais, il a été tellement étonné par toi et par ta franchise, qu'il m'a raconté comment il t'avait questionné de façon intime et détaillée. Il t'a trouvé très expérimenté pour un garçon de ton âge." et il rajouta "Mais où tu l'a vraiment surpris, c'est que tu aimes vraiment ça et tu assumes. Tu es docile et tu ne le fais pas par intérêt. Je trouve aussi que c'est particulièrement rare et très excitant. C'est Mo qui t'avait pris en main au début? J'aimerais que tu me racontes tout ça en détails une autre fois, car je connais bien Mo et je suis certain qu'il t'a fait connaitre pas mal de choses? Tu as quel âge exactement? je dis " j'ai 14 ans" et j'osais rajouter "et vous?" "Ah oui, 14 ans! Tu fais plus je trouve. Moi j'ai 44 ans..." me répondit-il.  Puis, il inséra délicatement les bouts des doigts entre mes fesses, et me regardant dans les yeux il dit: "Tu as le sentiment que la différence d'âge est un problème? ne t'inquiètes pas, ce qui compte c'est l'envie".

Je remarquais qu'il était presque complètement en érection à présent. Je ne pus réprimer plusieurs violents frissons, peut être à cause des gâteaux, mais aussi des paroles me concernant qu'il venait de prononcer et moi aussi j'avais une érection.

 Puis Raphael me dit "tu ne veux pas qu'on rentre maintenant? c'est plus confortable à l'intérieur!" Je lui dis que pour le moment, je préférais attendre Estéban ici, près du bassin. Il dit "c'est comme tu voudras! peut être plus tard alors!"

A cet instant même, Estéban entra dans le couloir qui menait au patio. Il était accompagné d'un petit homme, d'au moins 50 ou 60 ans, maigre, qui était vêtu d'une sorte de djellaba en coton blanc et qui portait un petit bonnet également blanc. Estéban fut très étonné de me voir là, nu et en érection au bord de la piscine, auprès de son ami Raphaël. "Comment es tu arrivé là?" dit-il. Je lui expliquais sans vraiment entrer dans les détails. Il s'approcha de moi, entoura mon épaule de son bras de et me chuchota à l'oreille "Tu es venu parce que tu avais envie de ma grosse queue? et peut être aussi parce que je t'en avais promis encore d'avantage si tu venais chez moi? allez dis-moi la vérité! tu es venu avec l'intention de te faire mettre comme la dernière fois?" Blessé par ses propos et par le ton volontairement grossier qu'il employait envers moi, mais ne voulant surtout pas lui montrer qu'il m'avait vexé, je lui répondis sur le même ton, en lui disant qu'effectivement j'aimais les gros sexes, mais qu'il n'était pas le seul à en posséder un de cette taille, tout en dirigeant mon regard vers Raphael. Du coup, changeant de conversation, il me demanda soudain à quelle heure je devais repartir. Je lui répondis que j'avais rendez vous avec mon père vers 19h". "Ah! ça va!' dit-il "on pourra prendre tout notre temps cette fois." Puis il me désigna l'homme qui était à ses côtés "Je te présente Amar! C'est un homme dangereux!" Et ils rirent tous les deux. L'homme rajouta "mais tout le monde m'appelle Hamar" (si on prononce le H aspiré en arabe, cela se traduit par âne: d'ou le jeu de mot).

Ils avaient l'air bizarre tous les deux, les yeux qui brillaient et des rires un peu niais. Ils avaient dû boire de l'alcool ou fumer. Peut être les deux. Mais en fin de compte, je me dis que je n'étais pas beaucoup mieux qu'eux. Complètement désinhibé par les gâteaux au beurre de Marrakech, je ne me posais plus aucune question. J'étais curieux de voir ce qu'Estéban allait me proposer d'encore mieux, comme il l'avait laissé entendre dans sa chambre à l'internat. Je me sentais prêt à tout découvrir sans aucune angoisse. C'était très bizarre et agréable à la fois comme état d'esprit. J'avais un nœud brulant dans le ventre, une sorte de boule de chaleur qui irradiait dans mon sexe et jusque dans mon rectum.

Estéban me demanda pourquoi je n'étais pas venu comme prévu à son anniversaire et je répondis vaguement que cela n'avait pas été possible, inventant je ne sais plus quelle histoire. Il dit plus fort: "En tous cas vous n'aviez pas l'air de vous ennuyer tous les deux, j'ai l'impression d'être arrivé juste au mauvais moment" mais tout de suite il rajouta: "Je t'en prie, continue Raphaël! Fais comme si je n'étais pas là, je suis partageur et les amis de mes amis... tu connais le dicton? De toutes façons je dois m'absenter. J'ai seulement accompagné Amar jusqu'ici mais je repars immédiatement. Puis il me dit à l'oreille en me souriant d'un air entendu "Attends moi patiemment, je vais revenir, , profite bien de tout".

Et tout de suite après, il sortit dans la rue, mais je surpris son petit signe pour Amar et le clin d'œil adressé à Raphaël. Je ne savais plus quoi faire à présent,: Je me trouvais vraiment idiot d'avoir attendu aussi longtemps pour rien. Raphaël s'aperçu certainement de mon état d'esprit et s'approchant de moi, me dit "Ne t'en fais donc pas! Il va revenir! Allez viens, fais moi plaisir, on va aller à l'intérieur." Je le suivis dans un salon où se trouvaient un grand tapis bleu qui couvrait tout le sol et deux larges banquettes décorées  de coussins à frange dorées.

"Allez, installe-toi là" me dit il en m'indiquant celle qui se trouvait au fond de la pièce. Il ajouta plus doucement: "J'ai bien vu tes yeux sur moi, tout à l'heure avant l'arrivée d'Estéban! Tu ne vas pas me dire le contraire maintenant? je ne répondis rien, car j'avais la tête toute bizarre, qui tournait un peu, surement à cause l'effet de la résine des gâteaux. Je n'avais pas envie d'expliquer interminablement des évidences. J'avais seulement décidé de laisser faire les choses comme elles venaient. Je ne voulais pas me l'avouer à cet instant là, car mon amour-propre en souffrait, mais en réalité, j'étais quand même venu ici dans l'espoir de me "faire mettre" comme disait Estéban. Il était vrai que depuis le début des vacances je ne pensais qu'à revivre les moments intenses passés dans sa chambre.

J'ai vite compris que j'allais avoir bien plus que ce à quoi que je m'attendais avec Raphaël, car en m'entrainant près de lui il me dit: "maintenant tu vas faire exactement tout ce que je te dis!". Il enleva le peignoir qu'il avait enfilé à l'arrivée des deux autres et, nu, un coussin sous la tête, il s'allongea sur le divan, me fit assoir à califourchon sur ses jambes, face à lui, et me dit que je devais le masturber. Son sexe en érection était large, aussi gros que celui d'Estéban mais plus long et de couleur marron foncé, avec un énorme gland plus clair, rouge violacé. Raphaël n'était pas beau, de plus il était presque obèse. Je ne sais pas si c'est parce qu'il dégageait une sorte d'autorité naturelle ou le fait qu'il soit noir, mais son personnage me subjuguait. Le vieil Amar, s'était assis sur un pouf, à trois ou quatre mètres de nous et nous regardait avec attention. Je me souviens parfaitement encore aujourd'hui que cela ne me gênait absolument pas, mais qu'au contraire je ressentais du plaisir à ce qu'il me regarde, dans cette attitude soumise.

Pour être à la hauteur de la réputation qu'Estéban m'avait faite, je fis en sorte de le masturber avec application, très lentement, en mettant de la salive pour faire glisser son gland dans ma main, comme Mo m'avait appris. Pendant que je le branlais, Raphaël commença à me pincer le bout des tétons de plus en plus fort et cette douleur agissait directement sur mon sexe et mon anus en me donnant le besoin irrésistible de me faire pénétrer. Mon cœur battait très fort et mon souffle s'accélérait. L'excitation devenait si intense que ça me donna également l'envie de le sucer. Tout en continuant à le masturber, je pris l'extrémité de son sexe dans ma bouche, mais aussitôt il me gifla en disant "Je ne t'ai rien demandé! Pour le moment tu me branles et pour le reste c'est moi qui décide". Puis il appela Amar en disant "Si tu en as envie toi, viens t'occuper de lui, il n'attend que ça". Puis il s'assit au milieu du canapé, les pieds au sol et me fit tourner face à lui, à genoux, entre ses jambes écartées. Pendant que je me plaçais comme il le voulait, j'aperçus Amar qui s'approchait tout en enlevant sa djellaba. En dessous il ne portait qu'une sorte de pantalon bouffant de couleur bleue pâle, mais n'avait pas de chemise et on pouvait voir son torse maigre. Amar dit avec un fort accent arabe: "je préfère qu'il me branle avant, d'accord?" " Comme tu veux! on va faire autrement alors!" répondit Raphaël. Il me fit faire demi-tour et je me retrouvais à genoux face à Amar qui enlevait son saroual, laissant apparaitre un sexe énorme en semi érection, très épais et long, c'était étonnant pour un homme aussi chétif. Je n'avais jamais imaginé qu'un sexe d'homme de cette taille puisse exister. "Tu comprends maintenant, pourquoi Estéban disait que c'était un homme dangereux?" lança Raphaël en riant, et il m'attira par les hanches pour que je rapproche du bord canapé où il était assis, tout en se masturbant langoureusement. Il lança soudain: "Maintenant réponds! Je veux que tu nous dises de façon claire si tu as envie de nous deux en même temps? Oui ou non? "

Je ne répondis pas immédiatement, car je me rendais-compte, malgré mon jeune âge, que prononcer le mot "oui" c'était reconnaitre faire partie de ceux qui acceptent tout, sans aucune limite, même les choses les plus dégradante.. Dire "oui" était  difficile pour moi, car c'était accepter de m'abandonner aux mains ces deux hommes, dont l'un avait l'âge de mon père et l'autre celui de mon grand-père, alors que c'était la première fois de ma vie que je les rencontrais. J'avoue que cela me faisait un peu peur à ce moment là.

Mais je ne voulais pas me résoudre non plus à prononcer le mot "non" parce que cela allait me priver d'un plaisir que je n'avais connu vraiment qu'une seule fois, mais que j'avais imaginé, cent fois.. Dire "non", pour être honnête avec moi-même, c'était renoncer à ce que j'étais venu chercher là et à ce que ce qui était en train de se passer.

Dans ce moment d'excitation intense et bizarre où je me trouvais, je suis certain, après y avoir réfléchis de nombreuses fois, bien plus tard, que j'aurais vraiment tout accepté d'eux, même si l'envie leur avait pris de me proposer tout ce qu'ils auraient pu imaginer de plus bizarre et pervers. Je pense qu'à ce moment là, je n'aurais rien trouvé à redire.

Sur le moment, je me souviens que je regrettais seulement qu'ils ne comprennent pas le désir que j'avais qu'ils m'imposent leur volonté sans tenir-compte de moi et sans qu'ils aient à me demander mon avis sur quoi que ce soit. Cela aurait été tellement plus simple.

Mais, contrairement à ce que j'espérais il répéta à nouveau sa question: "Tu ne l'as encore jamais fait à plusieurs?" Je balançais négativement la tête de gauche à droite. Il continuait à se triturer le sexe qui était incroyablement raide maintenant: "Est que tu en as envie?" Je fis une petite moue dubitative. Il insista: "Bon, maintenant ça suffit! je veux que tu nous dises si tu en as envie ou pas? " Me rendant-compte que les choses pouvaient tourner court si je m'entêtais à rester silencieux, je laissais de côté mon orgueil à 2 balles et je m'abandonnais en frissonnant de plaisir anticipé. Je répondis: "Oui, j'accepte. Faites comme vous voulez."

Amar, debout devant moi me saisit par les cheveux d'une main, sans violence, mais avec fermeté et dit "Tu avais envie de sucer habibi? Alors mets-le dans ta bouche et branle-moi en même temps, il parait que tu le fais bien!". Ce vieux type maigre au sexe énorme et aux testicules pendantes n'était pas très attirant, mais franchement, malgré tout, je dois reconnaitre sa personnalité atypique avait quelque chose d'intrigant pour moi.

Alors je pris malgré tout son sexe dans ma main, dont j'arrivais tout juste à faire le tour, et commençais à le masturber sans grande conviction, alors que Raphaël derrière moi me caressait le sexe et les fesses tout en me faisant comprendre par des attouchements précis, qu'il voulait que je les écarte et que je me cambre. J'écartais donc les genoux et creusais les reins le plus possible comme il me le demandait et il commença à me doigter. Très progressivement, je me dilatais au fur et à mesure qu'augmentait le nombre de ses doigts, sans que je ressente la moindre douleur. Excité, je me mis à masturber Amar avec plus d'ardeur, fermant les yeux à demi. Je n'étais toujours pas décidé malgré tout à lui faire la fellation qu'il m'encourageait à lui prodiguer une fois encore en me tirant plus fort par les cheveux. Puis Raphaël commença à me malaxer le sexe, tout en continuant à me pénétrer de ses gros doigts et cette fois je commençais à gémir très fort et sans aucune retenue. Il me dit doucement l'oreille: "tu dois le prendre dans ta bouche". Ouvrant  les yeux, je me rendis compte qu'Amar s'était assis au bord du pouf, les jambes écartées. Il avait les yeux un peu hagards, la bouche humide et ma masturbation l'avait mis en complète érection. C'était incroyablement énorme. Il m'attira fermement entre ses cuisses, puis il se mit à me pincer très fort les tétons, à me les tordre et à me les tirer dans tous les sens.

Excité par cette intense et exquise douleur, comme dans un état second, je cessais de résister quand il me plaça fermement l'extrémité de son énorme engin entre les lèvres et je commençais à lui sucer le gland avec empressement. Raphaël me saisit les bras d'une main et me les maintint fermement dans le dos, alors que j'étais toujours à genoux sur le tapis. "Laisse toi aller tu vas voir, je suis sur que tu vas aimer." Mais paniqué d'être immobilisé de cette façon, je voulu résister, alors qu'Amar me tenait toujours par les cheveux. Raphaël continuait à me demander d'une voix douce mais ferme de me calmer. Je l'écoutais et repris ma sérénité petit à petit. Puis, je compris que maintenant il ne se servait plus de ses doigts, mais qu'il me sodomisait vraiment et à fond, car son bassin cognait fortement contre mes fesses et je sentais à certains de ses coups de reins, ses testicules toucher les miennes et que de ne pas pouvoir bouger augmentait mon plaisir. Sa grosse queue noire massait ma prostate au plus profond de moi, c'était le plaisir que je recherchais. Puis, Amar cessa de me pincer le bout des seins pour me maintenir la tête avec ses deux mains. Il m'insultait en arabe, puis aussi dans son mauvais français, disant que je suçais bien et qu'il n'avait jamais encore rencontré quelqu'un aimer ça autant que moi: Ca m'excitait énormément, je l'avoue, d'être bousculé de cette façon. Puis j'entendis Raphaël dire qu'il allait jouir, alors que son sexe qui allait et venait en moi faisait un bizarre bruit de succion. Il me lâcha les mains et se retira tout à coup pour me faire pivoter sur moi-même. Il me plaça son sexe entre les lèvres en disant "Allez suce! Tu vas aimer ce que je vais te donner" Amar en profita pour se placer derrière moi. Il était tellement pressé, tellement excité, qu'il me pénétra sans aucun autre préliminaire, d'un seul mouvement. Immédiatement je ressentis une vive douleur qui me fit grimacer et gémir, mais dilaté et mouillé comme j'étais, ça ne dura que quelques instants et la douleur se transforma très vite en plaisir. Je sentais son énorme morceau m'ouvrir et me remplir complètement. Il dit "je te la mets jusqu'aux couilles, petit enculé". Puis il commença à baiser de plus en plus fort. Il me secouait tellement qu'il était difficile pour moi de pouvoir garder le sexe de Raphaël entre mes lèvres qui, alors que son orgasme arrivait à son paroxysme, me traita de tous les noms, et il éjacula son sperme en trois ou quatre longues giclées. Je fermais les yeux et j'avalais tout. Je m'écartais les fesses avec les mains le plus possible pendant qu'il prenait plaisir à ralentir sa cadence et aussi à parfois se retirer complètement de moi quelques instants avant de me pénétrer de toute sa longueur ou bien seulement avec son gland.

Le plaisir devenait si intense que je suppliais Amar pour qu'il m'encule plus vite et plus violemment. Sans cesser de me pénétrer, il s'assit pratiquement sur le bas de mon dos et cette façon de faire me donna l'impression que son sexe avait encore augmenté de volume, ce qui me fit jouir presque immédiatement à deux reprises, presque coup sur coup. Puis à son tour le vieux me fit me retourner vers lui, me saisit la tête de ses deux mains, mit son sexe dans ma bouche et il jouit un peu de sperme très liquide, en poussant un cri rauque. J'avalais tout cette fois encore et je basculais, m'affalant sur le tapis.

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Un moment après, alors que je reprenais petit à petit mes esprits, allongé sur le tapis, je fus intrigué par des éclairs lumineux, je levais la tête et je me rendis-compte qu'Estéban était là, dans un coin de la pièce et photographiait au flash. Depuis quand exactement? Je ne m'en étais pas rendu-compte, mais j'imaginais bien qu'il n'avait pas dû se gêner pour nous mitrailler sous tous les angles. Que voulait-il faire de ces photos exactement?

Voyant que je l'avais aperçu, il me dit, avec l'air sérieux "Je t'avais dit que si tu venais me voir tu ne serais pas déçu!" il rajouta en rangeant son appareil photo reflex: "Il faudra que tu viennes passer quelques jours à Essaouira, au cours de prochaines vacances, j'ai un ami qui me prête sa villa. Tu verras c'est un cadre magnifique, en bord de mer et tranquille en dehors de la ville. Tu penses pouvoir te joindre à nous? Je répondis que je ne savais pas encore, peut être que oui, mais que de toutes façons il faudrait que j'ai l'autorisation. Il réfléchit quelques secondes et dit -"nous en reparlerons tranquillement après la rentrée, mais effectivement, tu devras demander à tes parents".

Il réfléchit quelques instant et rajouta -"il faudrait qu'un ami puisse venir aussi pour t'accompagner, sinon je ne pense pas que tu puisses avoir cette autorisation. Tu as une idée de qui ça pourrait être?". Je dis - "Il faut d'abord que j'en parle, j'ai le temps d'y réfléchir et il faudra que je cherche un prétexte également". Il acquiesçât en disant -"Oui tu as raison on a le temps d'y penser, mais j'y tiens absolument, tu sais! En attendant va prendre une douche bien fraiche, tu en as bien besoin non?" Encore tout essoufflé et en sueur, je ne me fis pas prier pour accepter ce qu'il me suggérait.

Encore nu, en passant devant lui alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je sentis son regard intense fixé sur moi.

Alors que j'étais sous le jet de la douche depuis seulement quelques instants il me rejoignit. Il était en slip.

- "Assied toi sur le banc je vais te laver".

Je m'assis sur le siège en bois où le jet de la douche tombait toujours sur moi. Estéban commença à me frotter le dos et la poitrine à l'aide d'un gant enduit d'argile. Je me rendis-compte tout de suite qu'il était en érection. Il me demanda de me remettre debout et commença à me laver le bas du dos, les cuisses et les jambes. - " Tu as vraiment une belle queue" dit-il en me caressant le sexe "elle est vraiment longue et je trouve que c'est excitant,  mais franchement, ce qui me plait le plus chez toi, ce sont tes jolies fesses musclées" Il resta quelques minutes sans rien dire et ajouta -"C'est vraiment rare, crois-moi, pour un garçon de ton âge d'avoir un cul comme le tien! Incroyable! Tu aussi large que certaines femmes qui pratiquent depuis des années! Tu sais, tout à l'heure, tu ne t'en es pas rendu-compte, mais j'étais là, depuis le moment où vous êtes allés à l'intérieur avec Raphaël et Amar". Il rajouta en souriant: -"Avec Raphaël ça s'est bien passé, je n'en suis pas surpris car comme il est membré à peu près comme moi, je savais que ça allait le faire, mais avec Amar, honnêtement au début, j'ai cru qu'il allait te défoncer... Mais en fin de compte, il n'a pas fallu longtemps pour que tu commences à apprécier!" Il sourit franchement en disant "Je n'en reviens toujours pas! Il faudra qu'on te prenne en double la prochaine fois, je suis sur que c'est ce qu'il te faut pour te calmer. Dis-moi espèce de petit cochon, tu avales la fumée de façon tellement naturelle... On voit que tu aimes ça... Ca donne l'impression que tu pratiques depuis longtemps, je me trompe?" Je fis "non" de la tête et dis "J'ai toujours fait ça depuis j'ai commencé à sucer mon cousin quand j'avais 10 ans. Au début ça me dégoûtait d'avoir le sperme dans ma bouche, mais F., mon cousin me disait que je devais avaler, alors je le faisais. Maintenant j'aime bien." je rajoutais " Mo disait que si je suis dilaté, c'est parce que j'ai commencé trop jeune à me doigter, mais Gisèle dit que c'est naturel, que c'est de famille, que je suis comme ça, en fait, elle pense que je tiens de ma mère".

- "Ah bon?" dit-il "ta mère est large? Comment tu l'as su?"

Je lui racontais, sans trop entrer vraiment dans les détails, comment j'avais assisté, sans qu'elle le sache, au casting que maman avait fait pendant que mon père était parti au Maroc et qu'il était difficile pour lui de nous envoyer de l'argent. Le monsieur responsable du casting lui avait dit qu'il n'avait jamais vu une femme comme elle".

- "Elle faisait un casting? Et ensuite elle a tourné un film porno?"

- "Je ne sais pas, je pense que oui, car elle était partie 2 ou 3 jours en Belgique avec un copain et je sais que Henry, le responsable du casting habitait la bas."

- "En Belgique? oui tu as raison ça devait être pour le tournage. Tu sais comment elle se faisait appeler par Henry ta mère?"

- "Oui il l'appelaient Claudia".

- "Claudia? je vais essayer de me renseigner si elle est connue dans le milieu du X. Et cette Gisèle dont tu parlais, c'est qui au fait?

- "Gisèle est ma meilleure amie. Elle a 25 ans, mais c'est ma confidente. Elle me raconte tout sur elle et moi je lui raconte tout sur moi aussi."

L'effet des gâteaux commençait à diminuer petit à petit et je me rendis-compte que j'étais allé un peu trop loin dans mes explications, il avait tellement hâte de tout savoir que j'avais peur qu'il ne garde pas ces secrets pour lui. Je répliquais simplement "Je t'expliquerai un autre  jour, ce serait trop long maintenant."

Il dit "Comme tu veux, tu me raconteras tout cela si tu en as envie une autre fois. Si tu viens à Essaouira peut être? Au sujet des photos tu serais d'accord pour en faire d'autres?" je fis la tête encore une fois de celui qui hésite. Il insista "Je commence à te connaitre et je pense que ça t'exciterait de te faire photographier ou filmer! J'ai raison?"

- Oui il avait raison ça m'excitait déjà juste de penser que je pourrai faire comme maman, mais je répliquai "Peut être, je ne sais pas on verra bien! Je ne sais même pas si je pourrais aller à Essaouira de toutes façons.

- "C'est vrai" dit-il "je suis un peu trop pressé" Il rajouta  "J'ai même pris pas mal de photos cet après-midi. Tu voudras les voir quand elles seront développées?" Je fis oui de la tête et dis "tu vas les montrer à qui ces photos?

- "A personne en particulier, ne t'en fais pas c'est seulement pour moi" Dit-il. Bon et bien rhabille toi maintenant, tu as vu l'heure? Ton père va s'inquiéter, je vais appeler un taxi pendant ce temps".

Vingt minutes plus tard j'avais rejoins mon père où nous avions rendez-vous. La nuit était presque tombée et la chaleur était beaucoup moins intense, nous allions pouvoir rouler sans trop souffrir, car il y avait presque deux heures de routes pour retourner chez nous. Papa me demanda comment j'avais passé l'après-midi, si je ne m'étais pas trop ennuyé. Je lui répondis que j'étais allé chez un copain de l'internat et que tout c'était super bien passé, qu'on s'était baigné et qu'on avait filmé et pris des photos. Il me demanda ne pas dire à maman que nous n'étions pas restés ensemble et dit que c'était un petit secret entre hommes. Je promis et j'en profitais pour lui dire qu'on m'avait invité à Essaouira pour un concert de musique (je savais que ce concert existait) et que j'aimerais bien y aller. Il me dit qu'il allait y réfléchir, en parler avec maman, mais qu'à priori il n'y voyait pas d'inconvénient à partit du moment où je n'allais pas y aller tout seul.

Il me restait à convaincre maman et aussi trouver quelqu'un qui voudrait bien m'y accompagner. J'avais bon espoir d'y arriver et j'avais vraiment envie de revivre encore des instants comme l'après-midi que je venais de passer.

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Par billy - Publié dans : adolescence - homosexualité - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 08:47

 

La sexualité de la mère est souvent tabou, cachée, inexistante aux yeux de ses enfants. Pourtant cela n'a pas été le cas pour moi. Difficile de voir nos mères comme des femmes à part entière!

Pour la plupart d'entre nous, nous souhaiterions que celles qui ont bercés notre petite enfance, nous ont aimés, qui nous ont soutenus et aidés pour nous accompagner jusqu'à l'adolescence pour qu'enfin nous puissions prendre seuls notre envol, soient uniquement des "mamans".

Impossible souvent de les voir autrement que sur leur piédestal de mères aimantes.

Quand parfois certains de leurs comportements nous incitent à penser qu'elles ne sont pas uniquement cela et que nous nous rendons-compte, que pour d'autres hommes elles sont des objets de désirs, de fantasmes et qu'elles-mêmes peuvent avoir des pulsions et des plaisirs sexuels, nous préférons l'ignorer ou même le nier. Peut être est-ce trop difficile à admettre mentalement? Cela heurte notre subconscient qui a été tissé par notre amour d'enfant.

Je vais m'efforcer de faire abstraction de ces préjugés, et raconter la sexualité d'une mère, à travers mes souvenirs d'enfance et d'adolescence. Essayer de retransmettre les faits tels que je les ai perçus à ces moments là, en essayant de ne rien oublier ou dissimuler ni modifier et sans me permettre de juger qui que ce soit. Simplement dire la vérité, même si elle n'est pas toujours bonne et facile, à dire, pour comprendre les choses.

Les dialogues que j'ai voulu retranscrire ne sont certainement pas ceux qui ont été vraiment et exactement dits à ce moment là, mais j'ai essayé de les faire revivre au plus juste sans jamais en inventer ni dénaturer leur sens afin de produire un texte vivant pour la lecture et le moins ennuyeux possible.

 

-C., ma mère, avait 22 ans quand je suis arrivé dans son ventre: Elle m'a elle-même raconté que lorsqu'elle est allée faire sa dernière visite médicale, avant  l'accouchement, le gynécologue qui lui avait demandé de se déshabiller a été tellement subjugué par son corps qu'il l'a montré à toute son équipe médicale et sous toutes les coutures. Elle était très fière d'avoir été ainsi le centre d'intérêt et de se faire admirer par tous ces docteurs pendant un long moment.

-Je devais avoir juste 3 ans quand C. m'a donné ma première émotion sexuelle. J'étais dans sa chambre où les rideaux étaient tirés, certainement pendant une après-midi de sieste. Ma sœur était toute petite dans son berceau à côté du grand lit de mes parents. J'étais allongé, il faisait chaud. Ma mère était avec nous, en culotte et la poitrine nue. Elle chantonnait pour ma sœur qui pleurait. Puis elle prit le bébé avec elle dans ses bras et se mit à genoux face à moi. Je voyais ses longs poils noirs qui dépassaient de chaque coté de sa culotte tirebouchonnée et sur son ventre, au dessus de l'élastique. J'étais comme hypnotisé par cette image et je ne pouvais plus en détacher le regard jusqu'à ce que ma mère, qui s'était rendue-compte de ma curiosité, me dise en riant: "Qu'est-ce que tu regardes comme ça? Hein, mon petit vicieux chéri?"  

-Je n'étais probablement pas beaucoup plus âgé, quand une nuit, j'ai été réveillé par des bruits inhabituels. Je devais être dans un lit d'enfant à barreaux, tout près de mes parents qui couchaient dans leur grand lit juste à côté. Je ne dormais plus vraiment, mais je n'étais pas vraiment réveillé non plus. Il devait être très tard. Probablement venaient-ils de rentrer au petit matin, après une fête ou une sortie nocturne. Puis, il y eu encore des bruits. J'émergeais de nouveau à moitié de mon sommeil. Je les revois nus dans le lit tous les deux. Tout d'abord c'était la vision de mon père qui chevauchait ma mère qui était à genoux devant lui. Ensuite, celle de ma mère qui semblait assise ou accroupie sur mon père allongé. Plus tard, de nouveau réveillé par des bruits insolites, je vis mon père qui était allongé sur elle qui avaient les jambes largement ouvertes et repliées. Il lui donnait des gifles sur les joues tout en prononçant des mots que je ne comprenais pas vraiment. J'imagine aujourd'hui sans devoir beaucoup me tromper que cela devait être un genre d'insulte excitante du genre: "Tu aimes ça hein? C'est bon salope? ". Et ma mère paradoxalement, lui demandait de ne pas s'arrêter, mais au contraire lui répondait:" oui! Oui! Oui! De plus en plus fort, affirmant sa jouissance d'être à la fois possédée et en même temps d'être corrigée.

-Vers mes 5 ans, mon père était souvent absent de la maison. Parfois nous allions le rejoindre en fin de semaine près de son chantier et nous prenions le train. Il repeignait les pylônes métallique des voies ferrées SNCF. Nous dormions dans des pensions, c'était amusant car il y avait plein d'autres enfants avec qui nous pouvions jouer.

Parfois papa était absent tellement longtemps que je ne me rappelais presque plus de lui et quand je le revoyais pour quelques jours, j'étais très intimidé lorsque il me parlait ou voulait s'amuser avec moi. Quand les chantiers étaient trop éloignés pour aller le voir, nous restions à la maison, sans le voir.

Parfois, certains jours, un ami de maman venait la voir. C'était souvent le soir, ou parfois l'après midi. Maman faisait en sorte de nous coucher très vite, ma sœur et moi car l'homme le lui demandait. Il s'amusait avec elle en lui tapotant les fesses et en l'embrassant dans le cou. Je devais me dépêcher de finir de manger et d'aller aux toilettes pendant qu'elle changeait le bébé. Ces jours particuliers j'avais remarqué qu'elle prenait toujours une douche et mettait kimono avant que son ami arrive à la maison. Son prénom était Mario, mais elle ne l'appelait jamais devant moi et il ne m'a jamais adressé la parole directement. Ensuite, quelques temps après qu'elle nous ait couchés, elle venait voir si nous dormions. Parfois plusieurs fois de suite pour s'en assurer. Certaines fois je m'endormais très vite et d'autres fois je n'avais pas sommeil et je fermais seulement les yeux, faisant semblant de dormir. Lorsque je les entendais rire, je me relevais du lit, je soulevais un petit coin du double rideau de la porte vitrée qui donnait du couloir dans le salon et je regardais leurs ébats sexuels. Je ne me souviens pas avoir été choqué par ce que je voyais, certainement parce qu'à cet âge là, pour moi, ma mère ne faisait que s'amuser avec un homme, comme elle le faisait parfois, de la même façon avec un autre homme qui était mon père. Je pensais que c'étaient une sorte de jeu qui était réservé aux adultes et qui semblait beaucoup plaire à maman.

Malgré tout, je me doutais bien que je n'avais pas le droit de regarder et je me cachais pour le faire. J'aimais bien la regarder pendant leurs rapports sexuels, pour moi c'était spectacle dans lequel ma mère avait le premier rôle. Tout est resté gravé dans ma mémoire malgré mon jeune âge et le temps qui a passé depuis.

Quand j'arrivais à mon poste d'observation, la plupart du temps, elle avait déjà enlevé son kimono et elle était toute nue. J'étais bizarrement excité par la vue de ses petits seins pointus et le triangle de longs poils noirs au bas de son ventre. Souvent, c'était elle qui enlevait le pantalon de Mario et lui touchait le sexe et avait l'air de prendre un très grand plaisir à le prendre dans sa bouche. Parfois c'était lui qui posait sa bouche sous le triangle de son pubis. Maman avait l'air de beaucoup aimer ça, mais il ne le faisait pas souvent. Elle se plaçait parfois sur lui, comme je l'avais vu faire avec mon père. Plus rarement, c'était elle qui était en dessous avec les jambes ouvertes sur les épaules de l'homme. Parfois Mario lui demandait d'accepter de faire d'autres choses, que je ne comprenais pas trop au début, mais elle n'acceptait jamais tout de suite. Je me rappelle très bien qu'elle lui disait ces phrases: "non pas aujourd'hui", ou bien "je n'en ai pas envie maintenant, peut être tout à l'heure" et aussi "Tu sais bien que je n'arrive plus à me contrôler quand je le fais, j'ai peur de faire trop de bruit et de réveiller les enfants".

Quand elle refusait ainsi, il insistait beaucoup et lui faisait plein de câlins et de caresses.

Elle finissait toujours par céder à sa demande en disant à chaque fois quasiment les mêmes paroles, comme si cela avait été une sorte de rite pour elle: "Je le fais pour toi, tu sais, car tu es vraiment beaucoup trop gros pour moi," ou "Je suis d'accord, mais fais doucement s'il te plait au début", également  "Ne sois pas aussi brutal avec moi, je n'aime pas ça". Mario ne répondait jamais rien, il la regardait en jouant avec son sexe et elle finissait par se mettre à genoux sur le tapis juste devant  lui. Elle se tournait vers lui en ouvrant ses fesses avec ses mains. Aussitôt, je voyais qu'il la pénétrait avec son sexe par l'anus sans tenir compte des recommandations qu'elle avait faites juste quelques instants auparavant. Elle n'avait pas l'air d'être fâchée contre lui, au contraire, dès qu'il la sodomisait elle le suppliait de ne pas s'arrêter et de la prendre encore plus fort. Pendant ces moments là, je ne reconnaissais plus ma mère, surtout quand avant de jouir elle se parlait à elle même en disant qu'elle n'était qu'une salope, une enculée et une chienne et encore plein d'autres choses de ce genre difficiles à entendre pour mes oreilles d'enfant.

Très longtemps je n'ai pas compris son comportement ni le plaisir qu'elle prenait à subir ce qu'elle refusait quelques instants auparavant. Plus j'y pensais au cours de mon adolescence et moins j'arrivais à la comprendre. Pourquoi ne pas tout simplement dire "oui, j'aime ceci" et je le fais ou "non je n'aime pas ça" et il n'est pas question que je me prête à ça! Elle faisait tout à fait le contraire de qu'elle avait envie de faire. Mais peut être aussi jouait-elle à "faire semblant de ne pas avoir envie"? Il est certain que pour elle, c'était assez compliqué et difficile d'assumer les désirs qu'elle avait et qu'elle suscitait en se libérant complètement sexuellement (certainement à cause de l'éducation religieuse qu'elle avait reçu). Je pense qu'il lui était également impossible de pouvoir contrôler sa sexualité à cause de sa libido très exigeante.

Un jour, son ami Mario qui n'était pas venu depuis plusieurs semaines, (nous étions allés en vacances quelques temps chez mes grands parents) reparu à l'appartement. Je m'en doutais bien avant même de le voir, puisque ma mère cet fin d'après-midi là, avait remis son kimono. Je sentais qu'elle était particulièrement nerveuse parce qu'elle supportait mal toutes mes questions d'enfant et ce n'était pas son habitude. Elle me pressait d'aller au lit,  alors que généralement après avoir couché ma sœur, elle aimait bien me garder un petit moment avec elle pour jouer ou dessiner etc. Je partis donc au lit sans rien dire pour ne pas l'énerver d'avantage et fis semblant de dormir quand plus tard elle revint m'appeler doucement par l'entrebâillement de la porte. Ma petite sœur dormait depuis un bon moment déjà. Un bon moment après, j'étais presque endormi quand j'entendis des voix dans le salon. Je bondis du lit pour me poster derrière les rideaux et je m'aperçus que l'ami habituel était bien là, mais il y avait un autre homme qui était avec lui. J'entendis ma mère qui disait quelque chose comme "je l'ai couché, ne vous en faites pas il dort déjà depuis un moment". Je voyais qu'elle était encore très nerveuse, car elle allait et venait, passait de la cuisine au salon et parlait beaucoup en riant pour un rien. Je vis aussi qu'elle avait oublié de fermer complètement la ceinture de son kimono et qu'on voyait presque toute sa poitrine et qu'on apercevait par moment le noir de sa toison pubienne. Elle avait allumé une cigarette. Ils étaient assis tous les trois et avaient un verre devant eux. Mario se plaça à côté d'elle sur le bras du fauteuil et lui désigna l'autre homme que je trouvais vraiment vieux, (beaucoup plus que mon père en tous cas) assis en face d'eux et dit "alors? tu es d'accord ou pas? Décide-toi! Tu sais que je ne t'oblige pas et qu'on en a encore discuté la dernière fois! Oui ou non?" Ma mère répondis "oui je veux bien, mais toi, tu veux aussi? tu en es sur?". Mario dit "ce n'est pas vrai! oui j'en suis sur! Combien de fois devrais-je te le dire?" Puis il demanda à l'autre homme "Farid? Tu veux la voir maintenant? Alors demande le lui! Je t'ai expliqué comment elle aime qu'on fasse avec elle. L'autre répondit "d'accord j'ai compris" et s'adressant à maman il dit "Allez ma belle! Montre-moi ça!" Elle se leva, écrasa sa cigarette dans le cendrier et se mit au milieu de la pièce. Elle avait les joues rouges et respirait très vite. Elle ouvrit son kimono et le laissa glisser à ses pieds. Elle resta là, debout sans bouger, les bras ballants ne sachant plus trop quoi faire. Farid lui demanda de bouger un peu et elle le fit immédiatement. Elle tourna plusieurs fois sur elle même en levant les bras et on apercevait des poils noirs et fournis sous ses aisselle ainsi que son magnifique triangle si émouvant pour moi. Mario dit encore à Farid "Tu sais, je t'ai expliqué qu'elle adore être commandée et mise devant le fait accompli. Même si elle dit non d'emblée, il ne faut pas l'écouter. N'est-ce pas ma chérie?" Ma mère dit "tu exagères un peu! Je sais dire non aussi parfois! Même si je reconnais que j'ai parfois du mal à prendre des initiatives" L'homme lui demanda quel âge elle avait. Elle répondit quelle avait bientôt 28 ans. Il dit "Tu pourrais largement être ma fille, ça ne te gêne pas? Est-ce qu'il y a des pratiques ou des tabous pour toi? Des choses que tu ne veux absolument pas aborder dans le sexe?". Elle réfléchit un peu répondit que non, elle n'avait pas vraiment de tabous, mais qu'en fin de compte elle n'était pas très compliquée. Que son âge ne la gênait pas et qu'elle avait eu des relations sexuelles avant d'être mariée avec des hommes plus âgés que lui.

Mario dit en souriant :"Tu sais Farid, on ne le croirait pas, à la voir comme ça, avec ses petits seins de pucelle, mais elle a déjà deux gosses! Et je peux te dire que ce qu'elle apprécie particulièrement ce n'est pas les petits formats. Recto-verso de préférence! Mais jamais elle ne l'avouera! N'est-ce pas petite cochonne?". Elle ne répondit rien, s'assit sur l'accoudoir du fauteuil, alluma une autre cigarette, sans paraitre se soucier de la vue que pouvaient procurer ses jambes largement ouvertes.

Farid dit "A ce moment là Mario leva la main et dit: "Vous entendez?"; Maman se leva précipitamment et remit son kimono très vite. On sonna à la porte. Elle fit signe aux deux hommes de se taire et de s'asseoir tranquillement. Elle passa sa main dans ses cheveux, serra la ceinture de sa robe de chambre et ouvrit. J'entendis une voix féminine, mais je ne voyais pas qui c'était. Je pris peur et retournais à toutes jambes dans mon lit. Tout essoufflé et la tête farcie des dialogues et des scènes auxquelles je venais d'assister. Je ne comprenais pas le comportement de ma mère, surtout avec un homme qu'elle ne connaissait pas.  Je ne comprenais pas non plus tout ce qui avait été dit et quelle était la finalité de ces choses. Je les acceptais sans trop me poser de questions malgré tout: C'était des histoires d'adultes. Souvent, on me répondait à toutes les questions que je posais sur tout et n'importe quoi: "Tu verras bien quand tu seras plus grand! Donc j'appliquais cette méthode, ça me permettait aussi je pense de calmer mes angoisses d'enfant sans trop chercher d'explications aux questions restées sans réponses.

Je n'ai jamais su pour quelle raison Mario avait amené Farid à la maison. Je me pose encore cette question parfois, bien que j'ai quelques idées sur la question.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, maman avait des cernes énormes. Je lui ai dit que je n'aimais pas le vieux monsieur qui était venu avec Mario. Elle failli s'étouffer en entendant ma phrase d'enfant. Elle dit" Comment tu sais ça toi?" J'ai bafouillé un peu et j'ai répondu que j'avais entendu la sonnette et que je m'étais levé. Elle m'interrogea le visage blême: "Après que Mireille (notre voisine qui gardait ma sœur parfois) soit repartie, tu es resté à regarder encore longtemps?" Je répondis que non, pas trop et que j'étais reparti ensuite dans mon lit. Ma réponse ne sembla pas la rassurer, même si elle sourit de nouveau, égale à elle-même.

Jamais plus des amis ne sont venus lui rendre-visite dans cet appartement.

Quelques mois plus tard mon père  trouvait un autre emploi dans son vrai métier, le dessin industriel et nous avons quitté Paris pour la Seine et Marne. Il rentrait chaque jour à la maison et la vie était devenue beaucoup moins angoissante. Un an plus tard mon frère naissait, j'avais 7 ans.

Par billy - Publié dans : enfance - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Mercredi 29 octobre 3 29 /10 /Oct 13:30

 

L'été passa, j'avais eu 15 ans en août et la rentrée scolaire s'était bien passée. Le dortoir des "moyens" se trouvait au 2ème étage et une aile du bâtiment nous était réservée. Je retrouvais quelques copains de l'année précédente, mais il y avait beaucoup plus d'élèves que je ne connaissais pas. Il restait quelques places dans le dortoir et je m'installais sur en bas du lit superposé. Les lits étaient séparés par des boxes .

Au lycée Victor Hugo de Marrakech de nombreux élèves étaient français, mais il y avait aussi des enfants de diplomates étrangers et sur la totalité des élèves de l'établissement, environ 50% étaient marocains. Le lycée était mixte et il y avait également un internat pour les filles dont l'accès était malheureusement parfaitement contrôlé.

Dès le premier jour, le garçon qui occupait le lit du dessus se montra très sympathique. Il était deux sections au dessus de moi et avait 17 ans. Il était Tunisien, grand et costaud, se prénommait Mohamed et tout le monde l'appelait Mo.

Il me mit en garde par rapport aux autres internes et particulièrement les plus grands, car parfois il y avait des petits problèmes de racket, de bagarres etc. Il fallait respecter certains codes, sinon on risquait d'être mis de côté ou d'être pris en grippe. Il se proposait d'être une sorte de protecteur pour moi. Je lui dit que j'étais d'accord. J'évitais ainsi "le bahutage" le sort que les nouveaux arrivés avaient à subir en se faisant barbouiller de dentifrice pendant la nuit ou en se faisant passer les fesses au cirage. Je lui demandais ce qu'il voulait en échange. Il me répondit qu'il voulait juste être mon ami et rajouta en souriant que si je voulais je pourrai lui donner mon dessert de temps en temps.

L'année scolaire passe tranquillement. Malgré tous nos efforts les filles restent quasi inaccessibles. Seulement quelques baisers échangés et quelques caresses dans les recoins noirs le soir... Mais rien de plus! J'avais fait la connaissance d'une fille qui me plaisait, Corinne, mais ce n'étaient que des rencontres furtives, la plupart du temps avec d'autres filles pas loin quand ce n'était pas la grande sœur. Frustration!

Mo me prêtait beaucoup d'attention. Après quelques semaines, le soir alors que nous étions couchés après l'extinction des lumières, il me demanda de tendre ma main par la tête de lit et il la prit dans la sienne. Par la suite c'était devenu une sorte d'habitude, de rituel et il était plaisant pour moi d'être apprécié par ce garçon fort, très gentil et doux.

 Je dois expliquer qu'au Maroc à cette époque (aujourd'hui je ne sais pas si c'est encore comme ça...) l'homosexualité était assez courante entre hommes et particulièrement dans les milieux qui manquaient de femmes. Cependant si le rôle du "mâle" était quelque chose d'acceptable et même de valorisant, celui de la "femme" l'était beaucoup moins et celui qui occupait ce "rôle" était déconsidéré, dans cette société arabe machiste. Comme pouvait l'être une  fille "facile" en France.

 Une nuit, il devait être au moins minuit, j'étais en caleçon au dessus de mes draps, il faisait chaud. Je sentis furtivement quelqu'un qui venait à côté de moi. Je reconnu très vite Mo qui s'allongeait à mes côtés. J'avais installé un drap, comme un baldaquin qui couvrait le côté et le pied du lit du haut et enveloppait le mien, pour m'isoler et me permettre d'allumer ma lampe en toute discrétion pour lire. Je lui saisis une main et tout de suite il m'enlaça. Il était torse nu aussi. Il colla son visage contre le mien et chercha à m'embrasser. Sa langue était chaude et bougeait dans ma bouche. Jamais une fille ne m'avais embrassé de cette façon et c'était le première fois qu'un garçon le faisait. Voyant que je me détendais, il fit glisser mon slip et me l'enleva. J'étais déjà en érection. Il touchait mes fesses et mon anus. Je commençais à haleter. Il prit ma tête et l'attira contre son sexe. Je le pris dans ma bouche. Il était plus gros que celui de F. le cousin de mon enfance qui m'avait initié à sucer. Son gros gland lui donnait l'aspect d'une sorte de champignon. Il n'arrêtait pas de me toucher les fesses, de me les écarter et de m'ouvrir l'anus avec les doigts. J'aimais ça. J'avais arrêté la fellation et j'avais mis le visage dans mon oreiller pour ne pas faire de bruit. J'étais tourné sur le côté pendant qu'il me pénétrait l'anus de ses doigts de plus en plus profondément. Puis, il guida son sexe avec sa main entre mes fesses et très lentement entra en moi. Je ne me souviens pas avoir eu mal, malgré la taille de son sexe, au contraire, c'était beaucoup mieux qu'avec ses doigts. Il s'activa assez longtemps, très lentement et profondément en me chuchotant à l'oreille des mots qui m'humiliaient, mais qui en même temps m'excitaient beaucoup. Je me souviens de quelques phrases qui m'avaient marquées comme: "Oui continue! Bouge bien les fesses!" " Dis-moi que ça te plait de te faire enculer!" "Tu aimes bien les grosses bites hein? Je suis sur que tu en voudrais une encore plus grosse!" "Avoues que tu meures d'envie de sucer et de te faire mettre en même temps!" etc. etc.

Cette première fois, m'avait plu et la sodomie m'avait apporté un plaisir extraordinaire, sans pourtant me combler car je n'étais pas allé jusqu'au bout, jusqu'à l'orgasme.

Je me disais aussi ,que cette fois c'était fait; Je m'étais fait sodomiser par un adulte... un marocain que j'avais réussi à faire jouir. Ce n'est pas que j'étais particulièrement fier de moi, mais malgré tout je ne regrettais pas non plus cette expérience très excitante et secrète.

Par la suite Mo vint me rejoindre dans mon lit régulièrement pour des fellations. Moi je préférais qu'il me sodomise ou qu'il joue avec mon anus. Il ne voulait pas que je me touche le sexe pendant qu'il le faisait, je ne savais pas vraiment pourquoi. Mais ça me frustrait. Il exigeait aussi que je me rase le sexe, les testicules et l'anus et que je me taille courts les poils du pubis. Il trouvait que ça faisait plus "propre" et trouvait également que c'était très "excitant". Lui-même ne se laissait jamais pousser les poils comme le font les occidentaux, il se les coupait courts partout. Je trouvais cela un peu bizarre, mais par la suite je m'aperçus que tous les musulmans faisaient la même chose...

Même si je n'arrivais pas encore à jouir en me faisant sodomiser j'éprouvais des sensations de plus en plus intenses à chaque fois.

Certaines fois, je ne faisais que le sucer pendant qu'il me doigtait. Il prenait particulièrement plaisir à me pénétrer l'anus en l'ouvrant le plus possible avec ses doigts et il tenta très souvent d'y introduire sa main entière. Mais malgré l'excitation et le plaisir que ça me donnait, c'était pour moi encore trop douloureux. Il faut dire que cela se passait dans un environnement vraiment restreint et particulier, où le bruit était proscrit. Je n'étais pas à mon aise du tout pour arriver à me libérer totalement mentalement. J'avoue aujourd'hui que si ces plaisirs, que je savais interdits me plaisaient de plus en plus ils ne me satisfaisaient pas totalement. J'aurais aimé partager cette expérience avec quelqu'un de confiance, quelqu'un qui comprendrait mes plaisirs et aussi mes frustrations, avec qui j'aurais pu parler sans aucune retenue de ces expériences secrètes, mais  c'était impossible, car trop tabou pour cette époque où tout évidemment se faisait ou se pratiquait, mais toujours de façon dissimulée. Donc je gardais ces relations sexuelles secrètes et intenses au fond de moi.

Mo me rédigeait des petites lettres, des sortes de mots d'amour assez confus qui ne parlaient jamais de sexualité mais où il m'expliquait son attachement et sa passion avec un style enfantin et oriental. Je les trouvais puériles et je les faisais disparaitre immédiatement dans les toilettes. Mais un jour je commis l'erreur d'en oublier une dans un livre qu'il m'avait donné (un prix qu'il avait gagné) .

En rangeant mes valises au cours de vacance scolaires, ma mère est tombée sur ce bouquin et m'a demandé des explications sur ce "Marocain" qui osait m'écrire des lettres de cette sorte!!! J'ai répondu que c'était simplement un ami, que c'était la façon du pays d'écrire dans un style oriental et précieux etc. Je n'en menais pas large! Ma mère a t elle cru à mes explications? Je me le suis longtemps demandé! Elle s'est rassurée en voulant les croire, ce qui est plus probable! En tous cas elle n'est jamais revenue sur cet épisode avec moi.

En colère contre moi-même, pour ma négligence et contre  maman qui fouillait dans mes affaires, je me disais que mes parents étaient injustes et n'avaient pas beaucoup de leçons à me donner de ce qui était "sexuellement correct ou tolérable" car de leur côté ils ne se privaient pas. Lors de joyeuses soirées (très arrosées et fumeuses.....) qui se déroulaient presque chaque samedi, parfois à la maison, ou bien chez un de leurs nombreux amis. Plusieurs fois j'avais surpris mon père en posture délicate avec l'une ou l'autre des femmes qui étaient présentes avec leurs maris à ces soirées un peu spéciales. Ma mère, je pense très délaissée, n'était pas en reste et elle participait comme presque toutes les autres aux "jeux entre adultes" qui commençaient toujours par des danses collectives et se terminaient la plupart du temps par de joyeuses cavalcades dans toute la maison et les jardins. Je n'ai jamais cherché à savoir quelles étaient les règles de ces jeux et en quoi ils consistaient vraiment.

Je pense que j'avais peur de le découvrir depuis que j'avais entendu deux hommes d'âge mur que je voyais pour la première fois à l'une de ces soirées, se murmurer en désignant discrètement ma mère, qui était en train de danser (Ils ignoraient qui j'étais et même que je leur prêtais attention et pouvais les entendre):

Le premier (un européen d'environ 50 ans) disait "C'est elle dont je vous est parlé! comment la trouvez-vous? "L'autre (un marocain d'à peu près le même âge) après un moment d'examen approfondi répondit: "Jolie, effectivement elle n'a pas l'air très farouche cette brune! Il rajouta en riant "Petits seins, mais quelle cambrure et quel cul!" Le premier reprit plus doucement "P. m'a dit qu'elle était vraiment chaude et expérimentée, elle ne refuse jamais rien, au contraire, elle adore les situations originales!". Le marocain rajouta en souriant " Un dicton arabe dit que les femmes qui ont des petites poitrines préfèrent toujours passer par la petite porte et moi j'adore ce genre de passage  réservés aux habitués!" Je ne voulus pas en entendre plus. Je ne le pouvais pas. Je me dis que ce n'était que des inventions, de la méchanceté et de la jalousie.

A partir de cette fois, je ne voulus plus accompagner mes parents quand ils étaient invités. Je préférais rester à la maison, seul ou avec 1 ou 2 autres copains pour me tenir compagnie. Quand c'était mes parents qui invitaient, j'allais chez G. que j'appréciais toujours en tant qu'ami (et j'aimais particulièrement revoir Jacqueline, sa mère qui parfois le matin se baladait en chemise de nuit jusqu'après le petit déjeuner).

Au retour des vacances (de Pâques je crois, je ne me souviens plus trop)  j'ai trouvé Mo différent. Il ne me disait rien mais je le sentais préoccupé. Le soir même il vint me rejoindre et me dit que son père repartait en Tunisie et que c'était ses dernières semaines à l'internat. Je ne vais pas dire que j'aimais Mo comme on aime une femme! Non! mais malgré tout j'étais désemparé de savoir qu'il allait partir et que nos jeux seraient terminés.

Au cours de ces dernières semaines avec lui je me souviens qu'il faisait très chaud dans le dortoir. Les surveillants étaient beaucoup moins à cheval sur la discipline car c'était la période des révisions pour les examens et les conseils de classes n'étaient pas loin. Un soir, il était tard et je dormais mal à cause de la chaleur, quand Mo s'approcha de moi. Il me souffla: Après ta douche tu iras dans la chambre du pion discrètement. Je te rejoins là bas car on ne doit pas nous voir y aller ensemble. Tu es d'accord? Puis il m'attira contre lui. Je demandais "Pourquoi dans la chambre du pion?" Il dit "Il veut te voir pour te demander un truc ne t'inquiètes pas"!

Je mis ma serviette autours de mes hanches, pris ma trousse de toilette et filais vers la douche. J'allais vers les cabines de douche. De nombreux gars venaient se rafraichir avant de dormir. Je passais sous l'eau fraiche et me savonnais énergiquement. J'essayais de comprendre pourquoi le pion voulait me voir à cette heure. Ce surveillant, Estéban (son père était d'origine Espagnole et sa mère Marocaine) était un étudiant en histoire qui complétait sa bourse d'étude en passant quelques nuits par semaine à surveiller les dortoirs. Ce n'était pas exceptionnel qu'un pion demande à voir un élève pour une raison ou pour une autre. Je me disais que ça allait durer quelques instants et qu'ensuite je rejoindrais mon lit. Puis, la serviette autours de la taille, je rejoins directement la chambre de service qui se trouve au bout du dortoir. Les rideaux sont tirés, il y a seulement une lampe d'allumée à l'intérieur, je distingue Estéban, assis à son bureau qui parle avec quelqu'un. Je vais  frapper mais je me ravise et je fais un pas en arrière, car je reconnais la voix de Mo. Ils se parlent assez bas. Je distingue à peine leurs paroles. Alors, j'approche mon oreille de la fenêtre qui est restée entrouverte: Maintenant j'entends parfaitement leur dialogue qui donnait à peu près ceci:

Estéban: Tu es certain qu'il va venir ici?

Mo: - Oui il va venir . Il ne va pas tarder, ne vous en faites pas!

E: -Tu lui as dit quoi exactement?

Mo: -Que vous vouliez le voir c'est tout.

E: -Bien! Alors tu me dis que ça vaut le coup?

Mo: (plus doucement) -Oui complètement.

E: -Tout?

Mo: - Oui. Pas de souci et il aime ça!

E: - Impeccable alors! (il rit un peu) Tu penses que c'est possible dès ce soir?

Mo: -Oui je pense que ce sera bon, mais il faut le prendre par la douceur! Pas le brusquer, sinon il pourrait refuser.

E: -Vas-voir où il est!

Je suis complètement sidéré parce que je viens d'entendre et sur ce que Mo a pu dire de moi. Je suis tellement déçu! Moi qui lui faisais totalement confiance... Je ne sais plus quoi faire, ni comment me comporter, je regagne mon lit, la serviette sur moi et je m'allonge. Je n'ai pas vraiment tout saisi de la situation, mais je sais bien maintenant pourquoi Mo m'a dit d'aller voir le surveillant et je suis un perdu à cause de l'angoisse, du stress et de la peur que cela me procure. Est-ce que je dois rester sur mon lit maintenant? Mo va certainement revenir me chercher et risque de faire du scandale et tout le dortoir sera mis au courant! Pourquoi toutes ces questions sur moi? Les idées se bousculent dans ma tête et je n'arrive pas à les mettre en ordre. Puis Mo est près de mon lit. Il dit " tu dors ?" Je ne réponds pas. Il dit encore "Pourquoi tu n'es pas allé chez le pion comme c'était convenu?" Je ne réponds toujours pas. Il me saisit un bras et me dit entre ses dents "allez! lèves toi!" Je fais "non" de la tête. Il commence à me tirer de force quand Estéban arrive. Il dit "C'est bon Mohamed laisse-le". Mo de nouveau essaie de me tirer pour me faire lever. Estéban lui prend le bras et dit "Je t'ai dit que c'était bon! Tu le lâches et tu nous laisses! D'accord?" Mo ne réplique pas et dit seulement "oui monsieur pas de problème". Estéban me regarde amicalement et dit: Toi, tu viens avec moi. J'enfile un slip et réajuste ma serviette et je le suis jusque dans sa chambre.

Il me dit après m'avoir fait assoir:  "Je vais être franc avec toi! Je t'ai remarqué depuis quelques temps, je te trouve mignon et tu as l'air très gentil et sympa et j'ai eu envie de te connaitre un peu mieux" Tu es d'accord? Moi, je ne savais pas quoi dire, surtout après ce que j'avais entendu. Il continua: Et moi comment tu me trouve?  Physiquement déjà? Sois sincère toi aussi!

Je lui répliquais que ça allait que je le trouvais bien (il était grand, assez maigre très brun avec une barbe courte et très noire.) Il dit! Ok! merci! Tu sais, je voulais te voir pour t'inviter le weekend  prochain chez moi... Enfin, chez mes parents qui ont un Ryad ici à Marrakech. On pourrait faire plus ample connaissance! Je ne veux pas t'obliger, mais si ça t'intéresse tu pourras te renseigner auprès  d'Antoine et de Dominique (deux gars de l'internat de mon âge), ils sont déjà venus à la maison, ils pourront te dire s'ils ont apprécié! Ils est prévu qu'ils viennent aussi. Il y aura plein de monde, des filles aussi, des marocaines et des européennes! Pour tous les gouts!  je fête mon anniversaire!

Et puis, tu sais il y a une grande piscine dans de magnifiques jardins. Et au menu il y aura le couscous et la pastilla...

Tu en penses quoi? Je n'avais pas la tête à réfléchir Je le remerciais  pour l'invitation et lui dit que c'étais promis, j'en parlerai à Antoine et Dominique!

Il me propose de boire quelque chose. Je choisis un coca. Il fait chaud et je l'apprécie d'autant plus. Je bois mon coca et mange 2 ou 3 biscuits marocains un peu huileux. Je regarde l'heure à la pendule: 1h30 du matin! Je le remercie pour son accueil et sa gentillesse envers moi et me lève en disant que je dois aller me coucher , mais que j'ai peur que Mo vienne m'ennuyer! Estéban me dit de ne pas me soucier de lui, qu'il va le faire changer de place dans le dortoir jusqu'à son départ;  mais que si je veux être certain d'être tranquille, je peux dormir dans sa chambre à côté et que lui dormira sur un matelas gonflable. Il m'emmène dans la chambre ou en effet se trouve un matelas pneumatique déjà gonflé.

Parce que c'est plus facile et aussi peut être par lâcheté (je ne veux absolument plus affronter cet hypocrite de Mo qui me fait peur)  j'accepte en ne me faisant pas trop d'illusion sur les intentions d'Estéban. Je m'installe dans le grand lit. Je m'endors presque immédiatement. Quand je me réveille   Estéban est entrain de me secouer en me disant de rejoindre mon boxe avant le réveil des autres. je ne sais plus ou je suis et je mets quelques minutes à me situer. Puis devant l'insistance du surveillant je finis par émerger et sors de la chambre pour me rendre aux douches.

Plusieurs jours passèrent sans que je ne revois Estéban car il n'était pas de service au dortoir. Puis un soir je vis que c'était lui qui était là. Il me cherchait du regard et moi je faisais tout pour qu'il ne croise pas le mien. Dans la nuit, une fois que tout le monde dormait il vint jusqu'à mon lit et me dit qu'il n'arrivait pas à dormir, qu'il pensait sans cesse à moi etc. Il me dit d'aller dans sa chambre et de l'attendre. J'attends quelques instants puis faisant semblant d'aller à la douche, discrètement je vais dans son bureau, puis dans sa chambre. Il n'est pas là. Je m'assoie sur le lit et j'attends. Un long moment passe, Estéban ne revient pas et je tombe de sommeil. J'ai envie de regagner mon lit, mais je n'ose pas le faire, alors je me couche sur celui du surveillant et je finis par m'endormir.

Quand je me réveille, je suis nu .Ma serviette a disparu, mon slip également. Estéban est à côté de moi dans le lit. La lampe de chevet est allumée avec un foulard posé dessus pour tamiser la lumière, et je vois qu'il est nu aussi. Il est en semi érection et la taille de son sexe, (particulièrement sa grosseur) me surprend. Il me caresse sur tout le corps et me demande si ça va, si je me sens bien. Je réponds que ça va, je ne suis pas trop mal, mais que je suis désorienté. Je me rends-compte que tout ce que j'ai besoin c'est de douceur et de réconfort et il continue à me caresser partout. Cela me donne la chair de poule. Il touche le bas de mon ventre et mes fesses tout en se masturbant doucement. Je ferme les yeux et le laisse faire. Un moment plus tard il me demande ce que je pense de son sexe. Sa question est incongrue mais ne me semble pas quelque chose de choquant à cet instant... Je lui réponds qu'il m'impressionne beaucoup parce que je le trouve très gros. Il sourit et dit que le mien n'est pas mal non plus et il continue ses caresses. Puis il s'assoie dans le lit et me demande s'il peut me poser quelques questions très personnelles?

j'ai le sentiment d'être détaché de tout et rien ne semble avoir d'importance, d'être en sécurité auprès de lui et je fais "oui" de la tête.

E: "Je pense que tu as tout entendu ce que Mo me disait l'autre jour?"

Je ne savais pas trop si je devais répondre, car l'affirmer c'était reconnaitre être celui que Mo avait décrit. Je dis donc "oui, mais que je n'avais pas tout pas vraiment tout compris".

Estéban répliqua que "Mo avait certainement voulu dire que tu étais doué pour baiser. Tu réponds quoi?"

Je répondis en évitant son regard "que c'était peut être vrai, que ce n'était pas à moi de le dire et que je ne savais pas trop."

Estéban continua en disant : "Justement, Momo me disait que tu faisais tout ce qu'il voulait avec toi, et que tu ne refusais rien! Et même que tu aimais".

Moi: "Pourquoi j'aurais dit non si ça me plaisait?"

E: "Donc tu vaux le coup, c'est vrai? Tu faisais quoi  avec Mo? Sois précis?"

Voyant que je me referme comme une huitre il dit " Bon ça va être plus facile pour toi si je te poses des questions ou tu répondras simplement par oui ou non, Tu es d'accord?" Je réponds que je suis d'accord en hochant la tête . Il continue "Tu aimes sucer?" Je réponds "oui". Tu avales? Je réfléchis quelques instants et fais "non" de la tête. Il me regarde bien dans les yeux et rajoute "c'est un vrai non ou un oui-non?" Je ne dis rien. Il poursuit "tu aimes te faire enculer? Tu aimes la bite?" je fais "oui en hochant la tête".

E: Bien! Au moins tu es franc! J'aime ça! Bon début! Et moi si je te demandais encore plus tu accepterais?

Je répondis que je ne savais pas ce qu'il voulait dire par "encore plus".

Il dit que j'étais loin d'avoir fait le tour de la question, qu'il y avait des façons beaucoup plus inventives, et originales de baiser et qu'il pensait que je méritais mieux qu'un type du genre de Mo. Il pourrait me faire découvrir certaines choses que je ne n'imaginais même pas .  

Je n'étais pas totalement convaincu par son discours. Même si ses paroles m'intriguaient beaucoup et me faisaient réfléchir, elles éveillaient en moi une certaine forme de curiosité malsaine et troublante.

J'avais aussi très envie de dormir; le réveil sur la table de nuit indiquait 3h1/2.

Estéban me dit qu'on reparlerait de tout cela bientôt et qu'il me donnait le temps d'y penser et de donner ma réponse. Il se leva pour aller aux toilettes. Il revint quelques instants plus tard et je vis qu'il était en érection complète.

Il s'allongea entre le matelas pneumatique et le lit et me demanda de venir m'asseoir sur le pied du lit à ses côtés . Je me glissais jusqu'à l'endroit qu'il désignait. Il se mit debout face à moi. Je trouvais son sexe en érection vraiment très gros. C'était impressionnant mais en même temps très excitant.

Il me fit signe de le prendre dans ma bouche et je lui obéis. Au bout de quelques instants,  le fait d'ouvrir si grand la bouche me donnait des crampes à la mâchoire et je me contentais de le lécher tout en le masturbant très vite. Il me fis signe d'arrêter en disant "Je vois que tu es doué, effectivement, mais tu n'as pas beaucoup d'expérience". Il me bascula en travers du lit sur le dos et me fit plier les genoux en maintenant mes chevilles de chaque coté de ma tête. Il dit: "Reste comme ça! " Il  approcha son visage de mes fesses et cracha un peu de salive sur mon anus. Je me tenais les cuisses avec les mains pour rester dans la position qu'il m'avait indiquée. Tu te rases l'anus depuis longtemps? Dit-il. Je répondis "non pas très longtemps, c'est Mo qui voulait que je le fasse." Il réplique "C'est bien! Comme ça on sait tout de suite à qui on a affaire! Pas besoin de grands discours! " Mais ne te tailles plus les poils du pubis à l'avenir! Le contraste sera vraiment bandant!". Il me doigta l'anus pendant un court moment. Je sentais que je m'ouvrais de plus en plus. Il dit "est-ce que Mohamed te fistait parfois?" Je n'avais jamais entendu ce mot, alors je répondis "non". Il dit" J'aurais vraiment parié le contraire pourtant!". Il écarta mes fesses de ses mains. Je fermais les yeux pour ne pas rencontrer son regard. Je me rendis-compte que je n'étais plus en érection. Il me pénétra très doucement et très progressivement, avec douceur et fermeté. Je me sentais remplis. Je n'avais pas mal, bien au contraire, c'était une sensation de plénitude incroyable, jamais ressentie auparavant. Mes jambes reposaient sur ses épaules et il faisait sortir à chaque fois complètement son sexe de mon anus avant de le faire entrer à nouveau et cela faisait un bruit assez désagréable, de ballon qui se dégonfle. Je sentais ses testicules qui cognaient mes fesses à chaque pénétration et je me disais que cet énorme sexe était entièrement entré en moi et cette idée était très excitante.

Un liquide translucide coulait abondamment de mon sexe presque en érection maintenant. Je n'avais jamais ressenti cette forme de jouissance avant ce jour là. Puis il me fit agenouiller par terre et il se mit accroupi derrière moi, il se retrouvait presque assis sur le bas de mes reins tout en me sodomisant. Je me souviens d'une sensation d'une jouissance infinie malgré la douleur due à certains coups de reins plus violents. Je mordis le traversin qui se trouvait contre mon visage pendant que je jouissais et que mon sperme giclait sur le drap du lit. Pour la première fois je connus une jouissance extrême.

Les jours suivants, Estéban n'était pas de service et je ne le revis qu'au bout de quelques jours et jamais seul à seul. J'avais demandé à Antoine et Dominique s'ils étaient effectivement allés dans le Ryad, chez ses parents et comment ça se passait. Mais ils étaient  restés assez vagues sur ce qui s'y passait vraiment sans pour cela me dire que ces invitations étaient formidables ou à éviter. Ils dirent simplement "Viens pour te faire une opinion toi-même! Tu ne risques pas grand chose, tu sais, tout le monde n'apprécie pas obligatoirement les mêmes choses. Cela pourrait te plaire!"

Après avoir longtemps hésité, car ces fêtes étaient rares pour un jeune interne comme moi, je décidais de ne pas me rendre à cette invitation. En effet les vacances d'été étaient proches et j'avais d'avantage envie de me projeter vers le voyage en France et en Italie que nous devions faire en famille au mois d'août, que de me replonger pour l'instant dans les milieux où Estéban voulait m'attirer. J'aurais le temps de l'envisager à la prochaine rentrée en septembre.

Par billy - Publié dans : adolescence - homosexualité - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 12:27

Mes expériences homosexuelles: Arrivée au Maroc

 

 

Les années passent et j'allais avoir 14 ans quand mon père obtint un emploi au Maroc auprès de la société des mines. En pleine année scolaire, en mars je crois, nous sommes arrivés dans ce beau pays ensoleillé. Un vrai dépaysement pour toute la famille, mais surtout pour moi qui était l'aîné, car j'avais laissé tous mes amis et camarade en France. A cet âge là c'était un déchirement.

Mon année scolaire était fichue. Il ne restait plus qu'un trimestre à faire dans l'internat du lycée français de Marrakech cette année là. C'était à plus de 120 kms de la ville où nous habitions. J'avais eu trop d'absence durant l'année scolaire à cause du déménagement et des délais d'inscription auprès du consulat et de l'établissement et je devais redoubler. Juste le temps de m'habituer à l'établissement et de me faire quelques copains avant que les grandes vacances arrivent.

Pendant l'année scolaire on ne rentrait à la maison qu'une semaine sur deux et les parents s'associaient pour  venir nous chercher en voiture à tour de rôle.

C'est ainsi que je fis connaissance avec G. et aussi avec ses parents. Il était fils unique. Son père était plus âgé que sa  maman; pas très grand, assez mince et sportif malgré ses cheveux grisonnant. Sa maman était une très jolie femme très brune, aux traits fins avec une très grande bouche et de beaux yeux noirs. Elle portait les cheveux courts, avait environ 35 - 40 ans et je la trouvais très attirante. Elle était d'origine pied noir. Son père s'occupait beaucoup de G. et en tant que fils unique, il s'employait à ce qu'il ne s'ennuie pas en lui faisant faire plein d'activités sportives et culturelles.

Un jour ils me demandèrent si cela me ferait plaisir de venir avec eux passer un w-end à la mer pour tenir compagnie à leur fils. Moi qui découvrais depuis peu la mer, le sable et le soleil du Maroc... J'étais très enthousiaste! Mes parents avaient donné leur feu vert et nous sommes donc partis passer trois jours sur une plage isolée de l'océan atlantique. On pouvait monter la tente sur le sable et personne n'y trouvait rien à redire à cette époque là. D'ailleurs à part un village de pêcheur, il n'y avait personne!

On profitait de l'eau et du soleil. J'appris à nager lors de ces w-end ou semaines passées avec eux. Ils y allaient assez souvent et je pouvais les accompagner quand je voulais, ce dont je ne me privais pas la première année de notre arrivée au Maroc.

Pour dormir dans la tente il y avait une chambre de 4 places. Je n'avais pas de matelas pneumatique et je dormais sur un couvre-pieds plié en deux mais je me trouvais très bien. Nos sac de couchage, étaient confortables et douillets. Jacqueline, la maman de G. était très maternelle avec moi et me traitait aussi bien que son fils. Elle me faisait la bise avant de me coucher et j'adorais ça. J'adorais l'odeur de son haleine et la douceur ferme de ses lèvres qui effleuraient les miennes avant de claquer sur ma joue.

3 fois son comportement m'a laissé perplexe.

-Le 1er comportement que je trouvais un peu particulier, c'est que comme je n'avais pas de matelas gonflable elle demandait à son fils que de temps à autre il me laisse le sien, par souci d'équité. Moi je disais que ce n'étais pas la peine, que j'étais très bien dans le fond de la tente, sur mon couvre pieds, mais elle insistait pour qu'il le fasse. Du coup je me retrouvais à côté d'elle. C'était un supplice pour moi de sentir son dos ou ses fesses me toucher pendant la nuit, d'avoir son visage tout près du mien et de sentir son souffle, alors qu'elle ne semblait même pas le remarquer.

-La 2ème fois nous étions au petit déjeuner et elle se trouvait en face de moi de l'autre côté de la table quand j'ai senti son pied entre mes genoux. Je l'ai regardée l'air surpris et elle me regardait aussi sans expression particulière. Au début, je pensais qu'elle faisait cela sans y prendre garde, mais quand son mari a bougé de son fauteuil elle a vivement retiré son pied et détourné son regard. Quelques minutes plus tard, son mari ayant recommencé à déjeuner elle remettait ses orteils au même endroit tout en me fixant dans les yeux.

-La 3ème fois j'étais allongé dans la tente, sur mon sac de couchage, en maillot de bain et je lisais depuis peu de temps. G. et son père venaient de partir pour aller chercher de l'eau potable à environ 45mn à pied du campement, quand j'entendis le zip de la fermeture, puis Jacqueline entra. Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais au lieu de rester naturel, j'ai fermé les yeux et fait semblant de somnoler. Elle était certainement surprise que je dorme déjà, elle se pencha au dessus de moi, mais ne dit rien. Elle était en maillot de bain et commença tranquillement à enlever le haut après avoir refermé la tente sans plus me prêter d'attention. Elle pris son temps accroupie en tailleur de se brosser les cheveux, puis se mit debout et fit glisser le bas du maillot et s'enduisit le corps de crème après solaire et elle s'allongea sur sa couchette, nue. Elle n'était pas juste à côté de moi mais je sentais son parfum,  l'odeur de son corps. Je fis semblant de remuer dans mon sommeil et me tournais sur le côté, vers elle. Je la regardais, les paupières mi-closes là, juste à portée de ma main qui tremblait. Elle avait une très belle poitrine avec des seins pointus et très écartés l'un de l'autre et un mont de vénus incroyablement bombé avec un pubis noir, long et bouclé qui montait très haut sur le ventre. J'attendais qu'elle se tourne vers moi, qu'elle me dise un mot d'encouragement ou que tout simplement elle me prenne contre elle dans ses bras. Mais rien de tout ça n'est arrivé. Au bout d'un moment elle se tourna de l'autre côté tout en poussant ses fesses vers moi; des fesses que j'avais trouvées trop grosses jusqu'à aujourd'hui, mais que maintenant je trouvais magnifiques et me mettaient dans tous mes états. 

Un moment plus tard, entendant de loin son mari et son fils qui revenaient chargés de jerricans d'eau en plaisantant, elle se leva très vite, se tourna vers moi, à genoux, impudique et magnifique. J'ai eu l'impression qu'elle allait me dire quelque chose, mais non, elle me fit seulement un petit baiser sur la joue et enfila sont maillot de bain, se donna un coup de peigne et sortit en chantonnant à la rencontre de ses deux hommes. Je l'entendis rire et dire très fort: "Je suis allée jusqu'à la falaise pour voir s'il y avait des oursins! W. a du s'endormir je pense, car il n'a pas mis le nez dehors."

G. mon copain n'était pas spécialement beau, il n'était pas vraiment gros mais bien portant. Blond foncé, pas très grand. vif d'esprit, il avait un parfois le comportement d'un fils gâté, mais n'était pas ennuyeux du tout et j'aimais beaucoup sa compagnie. C'était un des meilleurs copains que j'ai eu, indiscutablement. Alors que nous nous trouvions une nouvelle fois en campement à la plage, dans la tente, une nuit, je sentis une main qui se glissait dans mon sac de couchage. Elle se glissa sous mon pantalon de pyjama et fit une pause. Je bougeais un peu pour montrer que je  ne dormais pas et me rapprochais . Là il n'hésita plus et commença à me toucher le sexe et à me le masser jusqu'à ce qu'il soit en érection. Puis il me masturba très doucement et d'une façon que je trouvais très expérimentée. Ses parents étant juste à côté de nous, les possibilités étaient restreintes. J'avançais moi aussi ma main sur son sexe et on se masturba réciproquement pendant un très long moment. Il avait un sexe très dur et plus petit que le mien. Je remarquais aussi en le touchant et le caressant qu'il avait de nombreux poils sur le pubis.  Moi-même j'en avais aussi qui poussaient un peu partout depuis quelques temps mais je les rasais complètement. Très excité par la masturbation réciproque, j'aurais bien souhaité aller plus loin et je me tournais de l'autre côté pour lui présenter mon dos, mais il ne comprit pas ce que je lui proposais ou il n'osa pas, à cause de la présence de ses parents et notre expérience s'arrêta là. Durant la nuit je dormis très mal, faisant des tas de rêves érotiques et plus encore!

Le lendemain j'avais du mal à croiser le regard de G. Sa mère, perspicace, demanda si on s'était disputés la veille. Nous la rassurâmes tout en souriant. Elle nous dit: "Bougez-vous un peu allez donc reconnaitre les rochers après le village de pêcheurs; il y a certainement des  coquillages et des poissons prisonniers dans les trous. C'est presque marée basse! Profitez en! Et si vous trouvez que c'est bien, nous irons demain matin pour faire la marée."

 Armés de seaux et d'épuisettes nous voila partis. Au bout d'un moment sans parler je lui dis:  Tu as aimé cette nuit? Il répondit que oui mais qu'avec ses parents à côté c'était pas terrible. Il m'avoua en avoir très envie depuis longtemps et que cette nuit là, il n'avait pas pu se retenir. Il me demanda si je l'avais déjà fait avec un garçon. Je lui demandais "faire quoi exactement"? Il me répondit "faire l'amour évidemment!" Je dis que" pas vraiment non, que j'avais fait quelques jeux sexuels mais que c'était il y a longtemps quand j'avais 10 ans " et toi demandais-je?" G. me dit qu'il l'avait fait seulement avec 2 autres mecs, des grands à l'internat du lycée.  Je ne savais pas trop quoi répondre à tout cela et du coup je ne dis plus rien. Il me demanda si j'étais choqué par ce qu'il venait de dire. Je répondis que j'étais surpris mais pas choqué du tout. Il me demanda pourquoi je m'étais tourné tout en me poussant contre lui la nuit dernière. Je répondis simplement "à ton avis?".

Nous avions marchés pas mal le long de la plage, et le village de pêcheurs étaient loin derrière nous. G me dit "viens on va se mettre dans les dunes". Je le suivis et arrivés dans un creux il s'allongea à l'ombre d'un eucalyptus et je me mis à côté de lui. Tout de suite il me baissa le slip de bain et pris mon sexe dans sa bouche. J'entrais en érection presque immédiatement. Il continua à me sucer avec vigueur et beaucoup de douceur en même temps. Puis moi aussi je le pris dans ma bouche et commençais à le sucer du mieux possible comme je l'avais fait avec F. quelques années avant. Puis il me montra comment je devais me positionner, à genoux dans le sable. Il retira son maillot de bain entièrement et me mit de la salive sur l'anus tout en y enfonçant ses doigts. Je le laissais faire sans rien dire. Il fit aller et venir ses doigts en moi. J'aimais ça c'était très excitant. Il me demanda : "Tu l'as déjà fait mais tu n'oses pas l'avouer?" Je lui dit que "je n'avais jamais dit que je n'avais jamais été doigté". "Je ne parle pas de ça mais d'un sexe! tu l'as déjà fait ou pas?"  Je remarquai qu'il avait de tout petits testicules et un sexe pas très grand non plus, malgré une érection très raide.  Je répondis "non" avec la tête. Alors il s'enfonça en moi d'un seul coup et je ne pu retenir un cri qu'il prit pour un cri douleur alors que ce n'était que de la surprise. "je t'ai pénétré trop rapidement? Tu as eu mal?" Je fis "non" de la tête. Il continuait à me sodomiser très rapidement, mais je dois dire qu'à part le moment de la pénétration, je ne ressentais pas grand chose. Il allait et venait en me disant des mots grossiers comme "ah oui tu es bonne! j'adore ton cul, tu aimes te faire enculer hein? etc.."

Au cours des jeux sexuels avec mon cousin F., jamais il n'avait été violent avec moi, que ce soit en actes ou en paroles. Avec G. j'étais très surpris de sa façon de faire. Il avait pris du plaisir à me pénétrer sans me ménager, ainsi qu'à m'insulter. J'ai pensé que c'était une manière pour lui de s'exciter.

 (plus tard je me rendrai-compte que ces paroles que j'avais trouvées vexantes étaient bien innocentes par comparaison aux scènes d'humiliation  que j'allais vivre (en paroles et en actes cette fois) et que (je l'avoue) je finirais par apprécier, auprès d'hommes plus âgés, expérimentés et intransigeants).

 Mon plaisir était tombé, mais j'avais supporté son sexe en moi, en le laissant faire comme il voulait. Pui il s'est retiré et désirait que je le prenne dans ma bouche pour éjaculer, mais frustré, j'ai refusé ce qu'il voulait. Il était dépité de n'avoir pas joui. Pour moi c'était la même chose.

On s'est rhabillé et nous sommes rentrés à la tente, prétextant que la marée était montée trop vite, que nous n'avions rien pu attraper. Sa mère nous regarda d'un drôle d'air et j'ai eu le sentiment qu'elle s'était douté de quelque chose.

Par billy - Publié dans : adolescence - homosexualité - Communauté : Secrets d'enfance et d'adolescence
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